Publié dans Sport

Nicolas Dupuis - « Je n’ai pas le sentiment d’avoir terminé mon travail »

Publié le lundi, 19 avril 2021

Après les contre-performances des Barea lors de leurs deux derniers matchs de qualification à la CAN 2021, Nicolas Dupuis, sélectionneur de l’équipe nationale malagasy de football, veut encore rester et continuer à entraîner les Barea. 

En contrat jusqu’en novembre 2023, il veut laisser quelque chose avant que quelqu’un d’autre arrive. Il a des projets d’avenir pour faire avancer le football malagasy et les Barea avec. « Je veux que le football à Madagascar s’inscrive dans la durée », annonce-t-il dans une interview accordée à 2424.mg.  Le sélectionneur national n’a pas caché son ambition de rajeunir l’équipe et d’intégrer plus de locaux dans son effectif tout en gardant des cadres pour encadrer les nouveaux venus. Pour la prochaine journée FIFA, Coach Dupuis projette déjà sur le rassemblement de 24 locaux pour que 50% des futurs Barea soient des locaux lors de la prochaine échéance des Barea.

Nicolas Dupuis a également confirmé ses contacts avec un attaquant en avant-centre, qui évolue en ligue 2 française, et un autre joueur qui joue en latéral gauche dans le championnat allemand. Sans mentionner des noms et à entendre le coach des Barea, il est entré en contact avec Rémy Vita (Latéral gauche en D3) et de Wesley Saïd (Attaquant en Ligue 2) afin de rejoindre les Barea pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2022.

Le patron de la sélection a également annoncé que l’un des membres de son staff a été en contact  avec Freddy Grecko, le capitaine de la sélection italienne U19 qui est malagasy de naissance. Mais ce dernier opte plutôt pour la sélection italienne que celle malagasy. Effectivement, Freddy Greco a donné deux réponses, d’après les propos du coach, qu’il préfère d’abord attendre sa chance d’être convoqué à la sélection A italienne avant de pencher vers les Barea.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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