Publié dans Sport

Rugby - Les ligues poussent le bouchon plus loin

Publié le jeudi, 13 octobre 2022


Normalement, le mandat de l’équipe dirigeante de l’instance nationale de rugby a  pris fin depuis le mois de janvier 2021. Une élection était prévue après les Jeux olympiques de Tokyo mais à cause de la pandémie de Covid-19, qui suscitait des confinements partiels dans plusieurs régions, tout cela a contraint de repousser les élections.
Un amendement des lois électorales, notamment sur les conditions d’éligibilité au-delà de ce délai s'avère donc illégal, selon un communiqué des ligues. Ces dernières réclament donc la démission du président Marcel Rakotomalala.  Cela permettra aux ligues nouvellement élues de tenir une assemblée générale extraordinaire pour mettre en place un comité ad hoc qui sera chargé d’organiser une élection. « La démission de Marcel Rakotomalala, le seul élu des membres du comité exécutif entraîne la dissolution des membres de la fédération.  En tant qu’organe suprême de la fédération,  il revient aux présidents des ligues nouvellement élues de mettre en place un comité ad hoc pour organiser une élection dans le plus bref délai », lit -on dans un communiqué.
Ces nouvelles ligues souhaitent aussi que les élections qui n’ont pas encore été tenues au niveau des différentes instances : ligues, sections et clubs soient faites au plus vite tout en respectant le statut initial.
Rappelons que les ligues, sections et clubs qui n’ont pas encore procédé à une élection devraient le finir durant le mois de novembre et au plus tard au début du  mois de décembre. Effectivement, le successeur de Marcel Rakotomalala devrait être connu avant le début de l’année 2023.
Notons que parmi les ligues votantes, la ligue de Menabe, la dernière-née en 2021, n’est pas concernée par cette élection.
Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Post – pillage
    Le redressement post-pillage s’organise. Une cellule du genre comité de pilotage se met en place pour étudier au cas par cas et évaluer le cas échéant les besoins en collaboration avec les représentants directs des « sinistrés ». Constatant les dégâts potentiellement dévastateurs et les ruines subies en un coup de vent par les opérateurs, le Gouvernement prend ses responsabilités. Dans les faits, l’Etat va agir en tant que facilitateur dans toutes les démarches auprès des banques ou autres institutions dispensatrices de crédit. Il (l’Etat) prendra en charge en totalité les intérêts bancaires. L’objectif étant de permettre aux opérateurs ou propriétaires victimes de vandale, de braquage ou de pillage de se remettre dans les meilleurs délais.

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