Publié dans Sport

Formation en médecine sportive - Le Taekwondo écarté par le Comité olympique

Publié le lundi, 09 décembre 2024
Séminaire médecine sportive et antidopage océan Indien 2e édition Séminaire médecine sportive et antidopage océan Indien 2e édition

Le Taekwondo, bien qu'étant une discipline olympique, ne bénéficie pas de la reconnaissance du Comité olympique malagasy (COM).
La Fédération malagasy de taekwondo (FMTKD) n’a pas été invitée au séminaire sur la médecine sportive et le dopage, organisé depuis hier à l’hôtel Tometal, à Mahamasina, pour les pays de la Zone 7. Presque toutes les autres disciplines sportives ont reçu une invitation, à l’exception du Taekwondo WT. Selon le COM, « cette absence d’invitation est due au fait que la Fédération de Taekwondo n’a pas encore obtenu l’approbation officielle de la part de l’organisation.»
De son côté, un responsable de la FMTKD a précisé que tous les documents requis ont bien été envoyés au Comité olympique. De plus, « Le COM a indiqué qu’une réunion spécifique concernant la discipline du Taekwondo serait organisée prochainement », a tenu à dire la source au sein de la Fédération.
Il est important de noter que c’est sous cette nouvelle gestion que le Taekwondo malagasy WT se voit refuser l’approbation du COM, alors qu’auparavant, sous la direction de l’ancien président de la Fédération, cette discipline en bénéficiait régulièrement.  Ce dernier, actuellement absent du  territoire national, a porté plainte à l’instance internationale. Ce  qui empêche la Fédération actuelle d’envoyer des athlètes en compétition à l’étranger.
Par ailleurs, 25  participants malagasy participent à cette formation, accompagnés de représentants venus de l’île Maurice, des Seychelles, de Mayotte et des Comores. Le séminaire va se clôturer ce vendredi 13 décembre.
Rappelons que la première édition de ce séminaire avait eu lieu en 2018.
E.F.

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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