Publié dans Sport

Football - Jeux africains - Rosa Rakotozafy induite en erreur

Publié le mardi, 06 août 2019

Les Barea de Madagascar ne participent pas aux Jeux africains qui se dérouleront du 19 au 31 aout à Rabat Maroc. Pour cause, cette compétition est réservée pour les U20 pour la discipline football. Effectivement, l’allégation du directeur général du sport, Rosa Rakotozafy dans la station de la radio nationale a étonné plus d’un. En mentionnant que « les Barea ne seront pas qualifiés car, pour être qualifié, seules les disciplines médaillées d’or aux Jeux des îles de Maurice ont été sélectionnées ». Pourtant, au mois de mai, la CAF a déjà annoncé  que « ce sont les équipes nationales U20 qualifiées pour la dernière CAN de la catégorie au Niger qui disputeront le tournoi de football des Jeux africains 2019 (19-31 août) au Maroc. « Ce changement est dû au fait que le dernier tour des éliminatoires de le CAN U23 aura lieu en septembre prochain et non en juin afin d’éviter le déroulement des matchs pendant la CAN Egypte 2019 », lit-on dans le courrier adressé pour l’instance continentale aux associations membres.
Ainsi, les Jeux des îles ne sont pas du tout un critère de qualification aux Jeux africains pour le football encore moins pour les régions de l’Océan indien.

Depuis, on sait déjà que les Barea n’ont jamais été qualifiés à cette joute africaine.Initialement, ce sont les formations U23 qui participent à cette compétition. Ainsi, le Nigeria, le Burundi, le Ghana, l’Afrique du Sud, le Burkina Faso, le Mali et le Sénégal seront au Maroc.
Elias Fanomezantsoa

Fil infos

  • Actu-brèves
  • Andry Rajoelina sur la JIRAMA - « Aucune privatisation en perspective »
  • Carburant frelaté - Des groupes électrogènes de la JIRAMA mis hors service dans le Sud-Ouest
  • 45e Sommet de la SADC - Madagascar entend marquer les esprits
  • Société civile - « Mahitsy Fijery », une nouvelle sentinelle citoyenne pour Antananarivo
  • Procureur général près la Cour d’appel -La vigie de l’action publique
  • Investissements - Mamy Ravatomanga répond à ses détracteurs
  • Crânes du Roi Toera et ses guerriers - Retour au pays au mois août
  • La société civile à la France - La restitution des îles Eparses est une question de dignité, de justice et de droit inaliénable  
  • Baccalauréat 2025 - Un dispositif de sécurité drastique mis en place
Pub droite 1

Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

A bout portant

AutoDiff