Publié dans Sport

Football-Barea de Madagascar - Une nouvelle recrue dans le viseur de Dupuis

Publié le mardi, 04 février 2020

Un ancien joueur de l’équipe nationale espoir des bleus vient d’annoncer son intention de renforcer le rang des Barea de Madagascar.  L’équipe nationale malagasy vient donc de s’offrir un nouveau numéro 9. Si les Cœlacanthes des Comores l’avaient tant espéré, le jeune de 22ans a fait son choix. Celui d’évoluer avec les Barea de Madagascar.  Né à Saint-Leu La Réunion, il est le fils de Yousouf, ancien gardien du Club M. Il se pourrait qu’il dispute son premier match avec les Barea au mois de mars contre la Côte d’Ivoire.  Il s’agit de Hakim Djamel Abdallah. Il évolue en ligue 1 Français avec le FC Nantes équipe B.  

 

Il y a  trois ans en 2016, Hakim Abdallah portait encore le maillot de l'équipe de France, celui des U19. Il a déjà endossé aussi le maillot des tricolores U14 en 2014. Il a signé avec le FC Nantes en 2018. « J'ai résilié mon contrat avec Stoke City Angleterre juste avant la fin du mercato hivernal. J'étais sans club et Nantes m'a proposé de venir faire un essai. Je n'ai pas hésité, j'y suis allé et ça s'est super bien passé », raconte-t-il.

Après avoir porté le maillot espoir tricolore, après la fin de son aventure en Espagne avec El Ejido, le jeune attaquant Hakim Abdallah (20 ans) fait de nouveau un retour en France en s’engageant au FC Nantes depuis avril 2018. Recruté par Stoke City en janvier 2016 en provenance de Brest, Hakim Abdallah n’a pas pu trouver sa place chez les Potters en 2018-2019. Prêté dans un premier temps par l’US Avranches (National France) 2015-2016, il a été ensuite prêté par le club anglais au CD El Ejido, en D3 espagnole en 2017-2018.

Recueillis par Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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