Inquiétant. La dernière enquête de la Banque centrale de Madagascar, publiée le 19 du mois dernier, met en évidence un contraste saisissant entre grandes entreprises et petites structures. Alors que les premières anticipent une progression de leurs bénéfices de 41,3 %, les petites et microentreprises restent fragiles et peinent à profiter de la reprise amorcée en 2024. Les secteurs porteurs comme le textile, les mines ou encore les services, soutenus par des investissements conséquents et des marchés ouverts à l’international, expliquent en partie cette dynamique. Les grandes sociétés disposent de moyens pour investir dans de nouvelles technologies, sécuriser leur approvisionnement…