L’importance de l’échange et du dialogue est requise au niveau des Comités territoriales décentralisées. Une formation d’une durée de deux jours a été organisée, la semaine dernière, par le Comité national d'observation des élections (KMF/CNOE - éducation citoyenne). 13 maires issus des 7 Districts de Madagascar, à savoir Toamasina I, Marolambo, Antanambao-Manampotsy, Mahanoro, Vatomandry, Brickaville, Tsiroanomandidy y ont participé. Outre le partage d’expériences entre les participants sur le développement des Communes, cette formation entre également dans le cadre de la mise en place d’une Structure locale de concertation (SLC)  pour les Communes bénéficiaires. 

C’est quoi, au juste, être fidèle ? En attendant la nomination des membres du nouveau Gouvernement, le quatrième du genre pour compter de janvier 2019, qui devrait avoir lieu normalement ce jour, mercredi 16 mars, les esprits avisés s’interrogent sur la notion de fidélité, ne serait-ce que dans les relations d’ordre politique. Compte tenu des propos sans équivoque annoncés par le Chef de l’Etat lors de ce dernier Conseil quand il a adressé ses remerciements à l’endroit des ministres présents de tout ce qu’ils ont pu faire ou réaliser durant leur séjour au Gouvernement. Et donc, le prochain Conseil hebdomadaire, en l’occurrence ce jour, verra la présence des nouveaux nommés. Et on arrive à se demander « la fidélité existe-t-elle réellement, du moins politiquement parlant ? ».

Incontrôlable. Pas moins de 3 000ar le kilo, le prix du « vary gasy » devient prohibitif pour les ménages à faible revenu, autant pour l’huile, le sucre, ou encore les savons en poudre qui sont passés de 200ar à 300ar le sachet pour la plupart des marques. Cette flambée du prix touche presque la totalité des PPN. « Les couches pour bébé qui étaient à 700ar l’unité s’achètent à présent à près de 1000ar dans certaines épiceries. Les petits biscuits à 200ar que nous avions l’habitude d’acheter à nos enfants coûtent maintenant le double.

Il est temps de redonner du nouveau souffle au cinéma malagasy. Effectivement, depuis plusieurs décennies, bon nombre de failles ont été constatées dans la réalisation et la production de films locaux. Un manque de compétences que le ministère de tutelle compte combler à travers un renforcement des capacités et une mise en place d’un dispositif d’accompagnement pour les professionnels du cinéma.