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La une du 24 février 2022

Publié le mercredi, 23 février 2022

Du machiavélisme !

Publié le mercredi, 23 février 2022

Du machiavélisme dans tous ses états ! Toujours en état d’alerte, le régime Orange de Rajoelina Andry Nirina n’a aucun répit ni repos. Des perturbations climatiques successives aux manœuvres de déstabilisations récurrentes en passant par des affaires internes de la plateforme présidentielle compromettantes, les tenants du pouvoir au sommet de l’Etat ont fort à faire pour tenir d’une main de fer le contrôle de la situation. Toutes les occasions sont bonnes pour semer le désordre.
Que personne ne soit tentée d’insinuer que les perturbations atmosphériques à répétition sur le territoire national sous forme de tempêtes ou des cyclones tropicaux en causant des ravages et des pertes de vies humaines relève d’une quelconque malédiction qui frappe le pays et ce à cause, dirait-on, des incuries des tenants du régime en place. Certaines voies dénuées de tout sens invoquent l’idée de « punition » divine pour expliquer les sautes d’humeur récurrentes et violentes de la nature. Qu’on se le dise, les climatologues et météorologues précisent et insistent qu’il s’agit d’un simple concours de circonstances naturel sinon climatique en cette période, allant de décembre à avril, propice aux dépressions tropicales ou aux cyclogenèses. La Grande île se plaçant dans l’axe de la trajectoire se trouve naturellement dans l’œil du cyclone ou de la tempête avec tout cela suppose d’adversités et de lourds dégâts.
Certains acteurs politiques évoluant dans l’orbite de l’Opposition, mobilisés par l’esprit diabolique, tentent de remettre les impacts de ces aléas climatiques sur le compte du régime, en particulier sur les épaules du locataire d’Iavoloha. En plus, ils profitent bassement des difficultés entraînées pour semer la pagaille. Du machiavélisme pur ! A un moment où l’on a besoin de la solidarité nationale, les détracteurs éprouvent le malin plaisir d’envenimer l’atmosphère, de polluer l’ambiance.
Certes, quelques membres influents du régime, des parlementaires, des membres du Gouvernement et des proches collaborateurs du numéro un du pays et bien d’autres font montre d’écarts de conduite ou d’égarement de comportement ou tout simplement victimes d’accusations gratuites mais de tels cas ne signifient nullement que le pouvoir en place vogue à la dérive.
La perfection n’est pas de ce monde. Un régime politique idéal, sans défauts, ne se rencontre pas sous le ciel. Cela ne veut pas dire qu’on rejette les critiques. Le système politique fondé sur le socle de la démocratie admet le principe basé sur la remise en cause de la gestion des affaires mais tout en prenant la peine de bien vouloir vérifier le bien-fondé de la chose et avoir le réflexe de proposer. La tactique selon quoi on balance sur la place publique via la presse audiovisuelle ou par réseaux sociaux interposés des informations, pour la plupart des cas non fondés, porte atteinte gratuitement à l’image du régime et crée des troubles auprès de l’opinion.
Larousse définit le terme « machiavélisme » en « politique faisant abstraction de la morale » et « action tortueuse et empreinte de perfidie ». Dénués du sens de la morale et imbus de l’esprit des traîtres, les actes des ennemis du progrès ne visent qu’à discréditer l’homme fort du pays ainsi que ses proches collaborateurs.
Avec le passage de ce cinquième cyclone en un mois, l’essentiel qui vaille la peine consiste à unir nos forces.
 


Aucune tolérance pour les transporteurs irréguliers. Un grand soulagement pour les usagers, après des années de galère et de souffrance. Après un avertissement, la Police nationale inflige des sanctions à l’égard des taxis- be indisciplinés, exerçant dans la zone urbaine et suburbaine. Hier, un taxi –be de la ligne 133 reliant Ambodifilao et Itaosy a été mis en fourrière. Ce dernier a délaissé ces passagers à Ampefiloha au lieu de les déposer à Ambodifilao où se trouve le terminus. Mais ce comportement indigne des transporteurs n’est pas un cas isolé dans la Capitale. La majorité d’entre ces derniers exercent cette pratique, notamment durant la matinée et en fin de soirée. En conséquence, les usagers sont obligés de payer le double, voire même le triple du tarif s’ils ne veulent pas rentrer à pied. Le statut de service à utilité publique remis en question. Outre le non-respect des gestes barrières, les transporteurs ne se soucient plus que de leurs propres intérêts. Pour les lignes reliant le centre-ville avec les zones lointaines comme Ambohimangakely, Itaosy ou encore Ivato et Ambohidratrimo, Anosiala, Ambohitrimanjaka, seulement quelques-unes arrivent à destination, à partir de 16 heures. Certains sont même équipés de GPS, mais aucune amélioration sur la qualité de leur service n’a été constatée, jusqu’à ce jour. Pour la ligne Ivato et Ambohidratrimo, les taxis-be ne rejoignent plus leur terminus à Vassacos, mais s’arrêtent aux 67ha. Ainsi, certains transporteurs augmentent discrètement les frais de bus, notamment durant l’après-midi, et qu’ils n’acceptent plus le tarif demi-trajet.
Anatra R.



Alternative. En janvier 2022, la consommation des produits pétroliers s’élève à 98 914m3, en hausse de +15,8% par rapport à 2021, et de +11,1% par rapport à 2020. C’est le constat exposé par l’Office malagasy des hydrocarbures dans le bilan flash sur le marché pétrolier que cette institution vient de publier concernant la consommation de ces denrées périssables pour le premier mois de cette année. Selon ce rapport, la consommation du gaz affiche une nette évolution de + 72% en janvier 2022 comparée à la même période pour l’année dernière. Même cas pour le pétrole lampant qui affiche une hausse de + 13%. En effet, en cette période d’intempéries, il est fort possible que l’utilisation du gaz se vulgarise avec le pétrole lampant au détriment du charbon de bois qui devient un luxe en temps de pluie avec son aspect qui est loin d’être pratique. Par ailleurs, devenu presque prohibitif, le prix du charbon de bois a doublé en quelques mois. Passant de 15 000 ariary le sac de 50 kg à presque 30 000 ariary sur les étals de la Capitale. En même temps, la déforestation continue de faire des ravages. Selon un technicien environnemental, l’utilisation du charbon de bois figure parmi les facteurs qui détruisent l’environnement à Madagascar dans la mesure où ce genre de source d’énergie est lié aux besoins des villes qui ont, actuellement, une croissance vertigineuse de leur population. D’après les chiffres, entre 200 000 et 300 000 ha de forêts disparaissent chaque année à Madagascar. En plus d’être contreproductif en termes de conservation, le charbon de bois est devenu de plus en plus inaccessible pour ses principaux usagers, à savoir les familles aux revenus modestes qui ont du mal à couvrir des dépenses en termes d’énergie autre que cette denrée.  Autant de raisons qui amènent en tout cas à conclure que le pays a intérêt à trouver rapidement des solutions durables contre cette déforestation. D’un autre côté, l’initiative du ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD) de vulgariser le gaz butane pour diminuer la dégradation forestière aura porté ses fruits dans certains cas. Pour rappel, cette institution a établi dernièrement une convention avec le Comité malgache de butane (CMB) comprenant quatre sociétés gazières ainsi que le ministère de l’Economie et des Finances (MEF). En ce sens, un premier pas a été fait afin de diminuer de 20% à 5% la TVA sur le gaz butane dans la loi de finances initiale 2021. Sachant que 97% des ménages malagasy utilisent du bois pour la cuisson induisant un rythme de consommation de 18 millions de m3 de bois par an.

Hary Rakoto



Après une rencontre avec le Premier ministre la veille, la délégation de la Banque mondiale dirigée par Idah Z.Pswarayi-Riddihough, directrice des opérations de la Banque mondiale (pour les Comores, Madagascar, Maurice et le Mozambique), s’est entretenue avec le Président de la République Andry Rajoelina, hier au Palais d’Etat d’Iavoloha. Une rencontre au cours de laquelle les deux parties ont passé en revue les projets financés par cette Institution financière à Madagascar, mais surtout « de discuter des défis et des perspectives d’amélioration des relations de coopération en vue d’un meilleur soutien au développement de la Grande Île », selon un communiqué conjoint publié à l’issue de l’entrevue. Ladite missive qui note par ailleurs « L’appui de la Banque mondiale en faveur de Madagascar s'est renforcée de manière significative durant la crise sanitaire liée à la Covid-19. »
En outre, « Les projets mis en œuvre récemment traduisent une amélioration de la coopération avec la Banque mondiale dans différents secteurs », renchérit le communiqué. Une partie de ces nouveaux projets concerne la lutte contre la pandémie, avec des investissements dans le secteur de la santé. L’éducation, la protection sociale, le secteur agricole et les technologies de l’information ont également bénéficié du soutien de l’institution de Bretton Woods. « Autant d’étapes qui ont permis à Madagascar de bénéficier d’un soutien financier de l’institution au même niveau que les autres pays du continent », souligne le communiqué conjoint.
Les axes de coopération pour l’année 2022 ont aussi été abordés durant la rencontre. Parmi eux figure notamment le soutien de la Banque mondiale au programme national de reforestation de la Grande île qui vise à restaurer 4 millions d’hectares de paysages et de forêts d’ici 2030. Il a également été évoqué, un appui technique et financier au Plan Emergence de Madagascar qui fournit une stratégie détaillée pour hisser Madagascar au rang de pays émergent d’ici 2040. Dans cette optique, l’organisation d’un Groupe Consultatif dans les locaux de la Banque mondiale a été citée. Par ailleurs, l’obtention d’un aval de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) pour le financement de l’hôpital de la Nouvelle Ville figure aussi parmi les pistes de coopération avancées par la partie malgache lors de cette rencontre.
La Rédaction


La poursuite des faussaires d’œuvres malagasy ne s'arrête pas à Antananarivo et les résultats sont déjà concrets depuis 6 mois. Pour preuve, La Brigade anti-piratage(BAP) de Fianarantsoa et Antananarivo a arrêté l’un des gros poissons de falsificateurs de livres, le week-end dernier. Il a été arrêté  pour contrefaçon et copie (photocopie et fichier PDF ou image postée sur FB) de plusieurs  livres malagasy. Ce fraudeur sera traduit en justice après son arrestation. Une action qui a pu aboutir grâce à la BAP, les Editions Ratsimaholy, Lauréat membre de l’Association des Editeurs de Madagascar (AEDIM) et surtout le ministère de la Communication et de la Culture. En effet, l'AEDIM dispose déjà d’un organe qui surveille les fabricants et éditeurs de livres contrefaits sur les réseaux sociaux, raison pour laquelle ces faussaires ont été toute suite localisés par la BAP. De nombreux auteurs et auditeurs se plaignent de l'existence de ces fraudes causant de grandes pertes aux éditeurs des livres. Et ce, allant jusqu'à 60%. Ces fraudeurs vendent un livre au format PDF pour 2000 ariary sur les réseaux sociaux alors que le prix d'un livre publié par les éditeurs coûte vers les 20 000 à 30 000 ariary. Des prix que les éditeurs sont incapables de baisser en raison de la complexité à la tâche d'écriture du livre mais surtout du coût des matières premières. Ces acteurs de la littérature continuent de lancer un appel pour intensifier la poursuite de ces fraudeurs de livres par l'application du Code Pénal Art 425-428 et des Lois 94. -036.
Si.R


Le Président de la République Andry Rajoelina l’avait annoncé lors de son séjour en France, en août de l’an dernier. La diaspora devrait avoir le droit de vote à partir de l’élection présidentielle 2023. Une première étape allant vers la réalisation de ce souhait maintes fois exprimé par la diaspora est aujourd’hui enclenchée. Le ministère des Affaires étrangères annonce une enquête de recensement des ressortissants malagasy résidant à l’étranger. Un recensement qui concerne particulièrement ceux vivant en Europe dont en France, en Espagne, au Saint Siège (Vatican), en Israël, à Monaco et au Portugal, selon un communiqué publié mardi par l’ambassadeur de Madagascar en France.
La représentation malgache rapporte ainsi que « suite à l’adoption de la Lettre de Politique Nationale pour l’Engagement de la Diaspora (LPNED) par le Conseil des ministres en février 2021, le Gouvernement malagasy s’est engagé à rendre effectif l’exercice du droit de vote de la diaspora malagasy ». Ce recensement doit ainsi permettre de « disposer de données statistiques fiables et des informations plus précises sur les membres de la diaspora ainsi que leurs caractéristiques, et de produire des données essentielles pour la délimitation des circonscriptions électorales lors de I‘organisation des prochaines élections à Madagascar », précise le communiqué.
A lire cette missive, ce recensement se fera exclusivement en ligne. En effet, il y est dit que tous les membres de la diaspora malagasy sont invités à remplir le formulaire de recensement en ligne avant le 31 mars 2022. L’agence de presse nationale Taratra rapporte par ailleurs l’invitation lancée par l’Ambassade aux ressortissants « qui ne sont pas encore immatriculés » à procéder à l’inscription consulaire pour « bénéficier d’une carte consulaire qui est utile pour les démarches administratives a l’Ambassade et indispensable lors de la mise en œuvre du processus électoral ». Certaines étapes restent encore à franchir avant l’effectivité de ce droit de vote. Il reste notamment une révision du cadre juridique des élections, une modification de la liste électorale pour intégrer les électeurs qui résident donc à l’étranger. Une réflexion sur le système de vote idoine est également nécessaire.
La Rédaction


 «  Le peu de choses laissées par Batsirai sont détruites par Emnati ». Telle est la situation désolante après le passage dudit cyclone dans le District de Mananjary. Dès la matinée, les habitants ont commencé à rejoindre leurs foyers pour constater de visu les dégâts. Outre les cases inondées et décoiffées, nombreuses ont été totalement détruites sans parler des arbres à terre ainsi que quelques poteaux de la JIRAMA. De plus, les réseaux d’eau et d’électricité sont coupés. Selon le représentant du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) sur place, les dégâts sont moins importants que ceux engendrés par Batsirai. Et peut-être que tout a été déjà détruit durant le passage de ce cyclone intense, se plaint-il. Cependant, les eaux commencent à se retirer.
Contrairement à cela, les Districts de Vohipeno et Farafangana ont été totalement ravagés. Selon le député élu à Vohipeno, Tsabotokay Honoré, durant son intervention sur une chaîne privée de la Capitale, la ville est détruite à 95%. Toutes les maisons en cours de réhabilitation ont été de nouveau détruites. Heureusement, aucun décès ni portée disparu n’ont été enregistrés, du moins hier. Les habitants ont tiré des leçons de Batsirai. Dès que la pluie a commencé à tomber, ils ont quitté les quartiers bas pour rejoindre leurs familles respectives ou les sites d’hébergement, sans attendre les directives des Forces de l’ordre. Pour Farafangana, les réseaux d’électricité et d’eau sont coupés. Plusieurs infrastructures détruites dont des bureaux administratifs, habitations, écoles et églises. « A une heure du matin, nous avons dû quitter notre maison qui était en train de s’effondrer. Nous avons rejoint la Sacristie. Le toit a été aussi emporté par le vent, mais du moins, nous étions en sécurité la –bàs », raconte un pasteur de l’église luthérienne (FLM) de Lohatranambo, Farafangana.
Les autorités locales sont déjà à pied d’œuvre pour rétablir l’eau et l’électricité dans les plus brefs délais.
Recueillis par Anatra R.


 



Ame sensible s’abstenir ! Des faits horribles se sont produits à Antokazo, Commune rurale de Manakambahiny, District d’Ambatondrazaka, lundi dernier. Une fillette a été décapitée par ses geôliers, dans le cadre d’un sacrifice rituel en vue de se procurer du mercure dans un gisement de ladite localité. La découverte macabre de la petite innocente a donc mis le feu à la poudre. Heureusement, l’enquête menée par la Gendarmerie a rapidement permis l’arrestation de deux suspects. Il s’agit de cette femme qui louait les services de la petite victime qui travaillait comme commissionnaire à ses dépens, mais aussi de cet homme, un ami intime de la première, selon la Gendarmerie. Lors d’une perquisition à leurs domiciles, les Forces de l’ordre y ont trouvé des amulettes. “Les parents des deux suspects seraient des mpimasy ou devins, spécialisés dans ce genre de rituel barbare”, commente une source auprès de la Gendarmerie.
Aux nouvelles de leurs arrestations, les villageois d’Antokazo étaient donc entrés dans une très violente colère qu’ils ont cherché à faire à tout prix la peau aux suspects. Du coup, la Gendarmerie, par souci d’éviter une effusion de sang, a dû transférer les personnes suspectes à la brigade de gendarmerie d’Ambatondrazaka-ville. Ce qui a pour effet de décupler la colère des habitants. “Les villageois soupçonnent la Gendarmerie d’avoir donné la chance aux suspects de s’échapper”, renchérit cette source. Faute de suspects à lyncher, les villageois ont donc déversé leur colère sur les maisons appartenant aux personnes suspectes dans l’affaire, maisons qui furent complètement mises à sac sinon détruites par les flammes. Ces faits remontent lundi soir même.
Mais hier matin, les membres du Fokonolona n’ont toujours pas décoléré. Car ils étaient censés accompagner les proches de la victime jusqu’à Ambohitsilaozana où l’enterrement était prévu. “Au lieu de se rendre à cette inhumation au côté de la famille de la petite, les villageois s’étaient au contraire rués vers le domicile des parents de l’un des suspects. Mais puisque les parents n’étaient pas là, les émeutiers se sont alors jetés sur leurs biens dont les rizières, les saccageant. Ils les ont fait avec un motoculteur lorsque les gendarmes sont finalement intervenus”, ajoute notre interlocuteur. Autant dire que cette intervention des Forces de sécurité et de défense a donc permis d’éviter un bain de sang inutile dont le risque existait réellement, sur place. Actuellement, tout peut arriver à tout moment, et les gendarmes sont complètement aux abois.
Pour revenir à la genèse de cette affaire, les parents de la fillette victime se sont vivement alarmés en ne la voyant pas toujours rentrer au foyer alors qu’il était déjà 21h le jour des faits. Ils ne comprennent pas ce retard car leur progéniture était censée être déjà à la maison depuis quelques heures juste après un visionnage de film vidéo ce jour-là. Or, c’est la mort qui l’a donc emportée.
Franck R.

Après des pluies persistantes et des vents violents depuis hier matin, Emnati a touché terre entre les Districts de Mananjary et Manakara, hier soir aux alentours de 22 heures locales, au stade de cyclone tropical (140 km/h).  Depuis, il a poursuivi son parcours vers l’intérieur des terres pour ensuite une sortie en mer dans le canal de Mozambique, dans la Région d’Androy, prévue ce soir même. Si la prévision de l’intensité du cyclone a été revue à la baisse, la situation auprès des Régions classées « zone rouge » est alarmante.

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Editorial

  • Flamme éternelle !
    « Feux de l’amour », une série américaine créée par les Bell (William Joseph et Lee Phillip) dont la première diffusion du premier épisode datait du 26 mars 1973, doit fêter avant-hier son cinquantième plus un anniversaire. Du 26 mars 1973 jusqu’à ce jour, les « Feux de l’amour » continue d’accrocher des milliers sinon des centaines de férus à travers le monde. « FA » avec ses 12 500 épisodes jouit d’un record de longévité que rares sont les feuilletons capables de le défier. « Dallas », un autre feuilleton américain le talonne de près. Créé par Larry Hagman et consorts, Dallas dont la diffusion du premier épisode datait de 2 avril 1978 pour se terminer le 3 mai 1991 continue aussi de fasciner jusqu’à aujourd’hui.

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