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Covid-19 - Jackpot pour la FMF

La FIFA répondra aux aides des 211 fédérations membres. Comme toutes les autres disciplines sportives, le football traverse aussi des moments difficiles en cette urgence sanitaire contre le coronavirus qui touche tous les pays du monde. Dans le cadre de cette crise sanitaire mondiale, la Fédération internationale de football disposera des aides aux 211 fédérations de football membres, en guise d’aide pour faire face à cette période difficile. Une déclaration officielle annoncée par le président de l’instance de football Gianni Infantino après une assemblée générale extraordinaire du comité exécutif.
Madagascar bénéficiera logiquement de cette aide en tant que membre à part entière. Selon une organisation interne de la FIFA, les subventions 2019-2020 seront réglées le plus tôt possible et celles 2020-2021 seront avancées préalablement que prévu.
La FIFA vient en aide aux 211 fédérations membres à travers 150 millions de dollars à cause du Covid-19. Dans un premier temps, 500 000 dollars soit environ  194 millions d’ariary vont être versés dans les caisses de la FMF dans les prochains jours.
La compétition a été interrompue à mi-parcours pour Madagascar à cause du Covid-19, tandis que l’île Maurice a décidé de mettre fin prématurément son championnat à la saison 2019-2020. Malgré cela, la MFA ( Moris Football Association) bénéficiera pleinement de ses droits en tant que membre de la FIFA. Car cette décision n’était pas unilatérale pour la MFA  vu le contexte, pour la sécurité des joueurs, des supporteurs et du pays.
Quant aux Seychelles, ils ont décidé de reporter leurs championnats au mois de juin. Pour Madagascar, la suite des championnats dépendra de la décision de l’Etat malagasy.
Elias Fanomezantsoa




Les malfaiteurs profitent de la crise sanitaire. Le dernier cas recensé date du 14 avril dernier à Mahajanga. Un trafic de bois de palissandre a été intercepté par la Direction régionale de l’environnement et du développement durable de la région, et ce, grâce à une initiative citoyenne. Une soixantaine de traverses de palissandre ont été  saisies par les autorités. En effet, conformément aux règlementations et lois en vigueur, toute exploitation de ces bois précieux est totalement interdite et répréhensible. Et ce n’est qu’un cas parmi tant d’autres, appréhendés par les autorités dans le pays. Depuis le début de la crise, les autorités ont recensé pas moins de cinq cas d’exploitation illicite des ressources naturelles, et pas seulement dans le secteur forestier. « A cause de la mesure de confinement pour éviter la propagation du Covid- 19 dans le pays, les pressions anthropiques sur les aires protégées prennent de l’ampleur. En effet, les activités illicites s’accroissent dans les aires protégées telles que l’exploitation minière, la surpêche dans les zones côtières, la chasse d’espèces protégées, les trafics de bois, sans oublier la prolifération des feux de brousse et des coupes illicites. D’où la hausse du taux de criminalité environnementale » déplore Vahinala Baomiavotse Raharinirina, ministre de l’Environnement et du Développement durable.
Renforcement
Toutefois, le ministère et ses collaborateurs ont déjà pris les dispositions pour prévenir et contenir cette augmentation exponentielle des pressions anthropiques sur les réserves naturelles du pays. « Outre la fermeture de toutes les aires protégées dans la Grande île, un « task force » a été mis en place au niveau de chaque région pour suivre de près la situation et appréhender toute tentative de trafic. Face à ces crimes environnementaux, nous avons également décidé d’appliquer la « tolérance zéro ». De ce fait, aujourd’hui, nombreux cas de déferrement et d’emprisonnement ont été recensés », a expliqué le ministre. Ainsi, dans le parc d’Ankarafantsika par exemple, ce « task force » se compose des Directions régionales de l’environnement et du développement de Boeny et de Betsiboka, de Madagascar National Parks (MNP) mais aussi des associations communautaires locales et de la Gendarmerie nationale. La collaboration de tous est effectivement primordiale pour assurer la préservation et la protection de nos ressources naturelles.
Rova Randria


Plus que trois jours. Le Gouvernement devrait se prononcer le 30 avril prochain concernant le plan de relance économique. Il s’agit de présenter au secteur privé ainsi qu’au grand public un plan de mitigation permettant de repositionner l’économie de Madagascar. Durant la fermeture des frontières et l’application des mesures de confinement, les entreprises privées ont eu du mal à préserver l’emploi. Certaines d’entres elles ont déjà envoyé en chômage partiel leurs salariés, et d’autres font actuellement face à un problème de trésorerie. Le secteur touristique a, pour sa part, accusé une perte de 1 900 milliards d’ariary depuis le début de la pandémie. Une réunion s’est déjà tenue en début de ce mois entre les autorités et les présidents du groupement, y compris les secteurs informels. « L’objectif étant de lancer une mesure de sauvegarde pour préserver les acquis, les avancées réalisées et maîtriser les impacts. Puis, on passe à la relance afin d’anticiper dès aujourd’hui les opportunités d’établir de nouveaux mécanismes pour repositionner Madagascar », explique Lantosoa Rakotomalala, ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat. Le secteur privé a déjà proposé plusieurs points pour structurer le document comme le soutien aux coûts liés à la protection du personnel et l’appui à la trésorerie des opérateurs.
Selon le ministre de l’Economie et des Finances, Richard Randriamandrato, le Gouvernement s’est déjà approché de la Société financière internationale (SFI) afin de soulever un fonds. Cette institution rattachée à la Banque mondiale a récemment débloqué 20 millions de dollars à titre d’appui au secteur privé. Le montant du financement attribué pour Madagascar n’est pas encore annoncé officiellement jusqu’à présent. Plusieurs pays ont déjà adopté un plan de sauvetage de l’économie. En France, le Gouvernement a dédié une enveloppe s’élevant à 100 milliards d’euros pour accompagner le secteur privé. Quoi qu’il en soit, les autorités malagasy priorisent le maintien de l’emploi.
Solange Heriniaina


Un cri de joie pour les fidèles qui ont pu assister aux premiers cultes de dimanche après des séances à huis clos, depuis un mois. La surveillance a été stricte dans l’enceinte des églises quant au respect des barrières sanitaires. D’ailleurs, avant leur ouverture, tous les dispositifs sanitaires mis en place par l’Etat et exigés par les chefs d’églises ont été suivis, notamment la désinfection, le prélèvement de la température, le lavage des mains, le port obligatoire des masques et l’écart d’un mètre.
Des temples FJKM comme celui d’Andravoahangy Fivavahana, Ankazomanga, Atsimon’i Mahamasina ont organisé jusqu’à 7 entrées, hier. Afin de mieux respecter les barrières sanitaires,  une distribution de jetons a eu lieu deux jours avant les cultes et l’assistance a été sollicitée de venir un quart d’heure avant l’entrée. Toutefois, beaucoup ont décidé de suivre la retransmission en direct des cultes via les réseaux sociaux, la radio, les télévisions et les web radio. C’était le cas pour les fidèles de l’église FJKM Tranovato Faravohitra, Ambatonakanga, Anjanahary et Ankadimbahoaka, ceux des églises luthériennes de Madagascar (FLM), les églises Jesosy Mamonjy, la FPVM Antaninanandrano et les églises catholiques dans le diocèse d’Antananarivo.
Toutes ces églises ont prévu de réouvrir leurs portes depuis hier à travers des cultes matinaux. D’autres ont choisi le dimanche 3 mai prochain pour ne pas précipiter les choses quant au respect des dispositifs sanitaires. Pour l’Union des églises chrétiennes de Madagascar (FFKM), un culte est retransmis chaque dimanche à 17h à la Télévision et la Radio nationale malagasy.
Anatra R.


L’apparition du Covid -Organics (CVO), le remède mis au point par l’Institut malagasy de recherches appliquées (IMRA) en guise de réponse au Covid-19, a suscité des réactions diverses, notamment au niveau de la presse internationale. Si certains organes se sont contentés de traiter l’information avec réserve par l’utilisation du conditionnel, d’autres n’ont pas pu s’empêcher d’ironiser sur ce qu’ils considèrent comme une histoire à dormir debout. Ces derniers, en agissant ainsi, semblent être persuadés que la découverte d’un quelconque remède pour une quelconque maladie est l’apanage des pays développés et relèverait de l’impossible autre part qu’en occident. Ces esprits éclairés ignorent visiblement, par exemple, que la « vincristine » et la « vinblastine », deux molécules utilisées dans le traitement chimio thérapeutique de nombreux cancers -  dont le cancer du sang ou la leucémie  - ont été isolées par l’IMRA et sont issues d’une herbacée pérenne originaire et endémique de la Grande île, à savoir la pervenche de Madagascar (Catharanthus roseus).

Cet apriorisme d’une frange de la presse occidentale a suscité le courroux de bon nombre de citoyens malagasy, dont le nommé Georges Ratrimoarivony qui, dans une publication bien pesée et bien emballée sur sa page facebook (voir encadré), a remis à leur place  ces médias étrangers imbus de complexe de supériorité mêlé de mépris. Une attitude totalement à contre-pied de la réalité sur le terrain lorsque l’on sait que l’Europe et le Nouveau monde sont actuellement les plus touchés par la pandémie de Covid-19 alors que l’Afrique, où l’on prédisait une hécatombe de plusieurs millions de morts, est plus ou moins préservée jusqu’ici. On serait curieux de voir la réaction de ces journalistes occidentaux qui ont raillé sur ce qu’ils désignent ironiquement par « vrai-faux remède miracle », en parlant de la tisane CVO, en apprenant que les autorités sanitaires françaises, pour cause de pénurie de médicaments, préconisent la prescription de…produits vétérinaires aux humains (véridique, voir ci-après).

« Je voudrais m’adresser à certains medias de l’occident .
Vu les condescendances et ironies sur les réseaux sociaux.
Notre Président a proposé sa solution sur une chaine malgache, en malgache et pour les Malgaches.
Ce n’est pas votre problème.
Pour information, pour le moment, il n’y a pas de mort chez nous et je crois qu’aucun respirateur artificiel n’est utilisé.
Notre Président ne vous impose ni même vous propose d’utiliser notre solution (Covid- Organics), comptez vos malades et vos morts, on comptera les nôtres.
A Madagascar, lorsque notre voiture est en panne, on n’attend pas le diagnostic du constructeur ni l’arrivée des pièces d’origine, on dépanne et on roule ».
Georges Ratrimoarivony

Les Français seront soignés avec des médicaments pour…animaux
L’information a été balancée hier sur les ondes de la Radio France internationale (RFI). La France risque de connaître une pénurie de certains produits qui lui sont indispensables pour faire face au déconfinement à venir. Outre les masques, dont le port obligatoire dans les transports en commun va doper la demande, on anticipe également que certains médicaments seront insuffisants. En ce qui concerne ce dernier cas, les autorités sanitaires françaises ne voient d’autres solutions, pour les thérapies
similaires, que l’appel aux médicaments pour… animaux.

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la une du 25 avril 2020

Après la déclaration du président de l’Eglise de Jésus Christ de Madagascar (FJKM), le pasteur  Irako Andriamahazosoa Ammi, sur la rouverture des temples, chacun d’entre eux est libre de choisir les décisions qui leur convient. Par conséquent, beaucoup ont choisi de rouvrir les cultes aux fidèles, tandis que d’autres continuent encore les réunions de prières en lignes, c'est-à-dire à travers l’utilisation des réseaux sociaux.
Pour la FJKM Tranovato Faravohitra, les membres du bureau de l’église ont décidé de ne rouvrir ses portes que le dimanche 3 mai prochain, pour ne pas se précipiter sur le respect des dispositifs sanitaires. Sur ce, le culte sera encore retransmis en directe sur les réseaux sociaux à partir de 10h du matin.  Les membres du bureau de la FJKM Ankazomanga et le pasteur titulaire, quant à eux, organisent 7 entrées le dimanche 26 avril dont la première est programmée à 6h et la dernière à 12h. Toutes d’une durée d’une heure. Le jour du culte, les fidèles devront arriver un quart d’heure avant l’entrée pour que tous les dispositifs de sécurité et le respect des barrières sanitaires soient conformes. Comme ce dernier, le pasteur Ranaivoniaina Olivier et ses collègues du temple FJKM Andravoahangy Fivavahana, programment 4 entrées dont la première commencera à partir de 6h de la matinée et la dernière à 10h. Pour les deux temples, une distribution de jetons sera aussi prévu ce jour et demain. Mais pour la FJKM Andravoahangy Fivavahana, 135 personnes pourraient assister à chaque culte, dont 45 à l’intérieur de l’église, 45 dans chaque Akany. D’après le pasteur, les personnes vulnérables et les seniors, pourront suivre le programme qui sera diffusé en direct sur la page facebook du temple.
En rappel, pour  les temples ouverts, ils doivent respecter les barrières sanitaires mises en place comme le port de masques obligatoire pour les fidèles et les pasteurs durant les cultes, le lavage de mains à l'entrée du temple, le respect de la distanciation d’un mètre, ainsi que les mesures sur le regroupement dans les temples ainsi que la fermeture à 13h.
Anatra R.


Trêve de polémique ! L’Académie Nationale de Médecine de Madagascar (ANAMEM) vient de clarifier sa position  par rapport à l’utilisation du remède Covid-Organics à travers une déclaration en date d’avant – hier. Mercredi dernier, les membres de l’Académie de Médecine ont été reçus par le Président Andry Rajoelina au palais d’Ambohitsorohitra. L’audience a également vu la présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ainsi que d’un représentant du ministre de la Santé. Une rencontre qui a été visiblement déterminante dans la prise de position de l’Académie car a « permis de lever les doutes et les réserves de l’Académie quant à l’utilisation du Covid Organics (Tambavy CVO). », selon les précisions qu’on peut lire dans la déclaration.
L’Académie profite de l’occasion pour expliquer la différence entre le médicament et le remède traditionnel amélioré auquel appartient le CVO. Par conséquent, elle affirme n’émettre aucune opposition quant à l’utilisation de cette tisane et « la laisse à la libre appréciation de chacun sous réserve de respect de la dose indiquée, notamment pour les enfants.»
Recommandation
Sur cette lancée, l’Académie déclare avoir pris connaissance des vertus des plantes médicinales contenues dans la composition du CVO telles que spécifiées dans les documents techniques et scientifiques qui ont été mis à leur disposition. Néanmoins, à titre de recommandation, elle suggère la mise en place d’un système de suivi des personnes qui ont consommé la tisane.
Faut – il rappeler qu’au lendemain du lancement  officiel du Covid-Organics au siège de l’IMRA à Itaosy, l’Académie Nationale de Médecine de Madagascar avait, dans un premier temps, émis des réserves par rapport à utilisation dudit remède, soutenant qu’« il (le CVO) s’agit de médicaments dont les preuves scientifiques ne sont pas encore élucidées et qui risquent de porter préjudice à la santé de la population, en particulier à celle des enfants. » Ce qui a contribué à accentuer le doute chez certains citoyens encore réticents par rapport au remède CVO, élaboré par les chercheurs de l’IMRA à base d’Artemisia entre autres. L’obtention de plus amples informations concernant la tisane a ainsi permis à cette Académie de changer son fusil d’épaule.
Bizarrement, les médias étrangers qui, afin de mieux discréditer le remède CVO, ont été si prompts à relayer leur désaveu par les scientifiques malagasy, en parlant de l’ANAMEM, traînent des pieds jusqu’ici à répercuter  cette nouvelle donne. En tout cas, au final, cette institution ne manque pas de réitérer son soutien à la volonté de l’Etat Malagasy pour la recherche de toute solution dans la lutte contre la pandémie liée au Covid-19, au même titre que les efforts des scientifiques et chercheurs malagasy.
La Rédaction



 


La Confédération africaine de football (CAF) ne s’est pas encore prononcée sur l’avenir de la CAN 2021 qui est programmée pour  janvier et février de l’année prochaine au Cameroun. Et avec la dernière sortie du vice- président de la FIFA, Victor Montagliani, qui a affirmé cette semaine que tous les matchs internationaux, prévus cette année, pourraient être annulés en raison de la pandémie mondiale, on peut facilement en déduire que la question du report de la CAN-2021 devient de plus en plus plausible.
 En effet, le doute s’installe aujourd’hui sur le maintien de la date initiale de la CAN 2021 au Cameroun, prévu du 9 janvier au 6 février 2021, à cause du coronavirus.
Cette compétition continentale pourrait être reportée, dans la mesure où plusieurs rencontres des éliminatoires de la CAN-2021, prévues pour cette année, ont été ajournées à cause de la pandémie du Covid-19. Et pour cela, la CAF a déjà son plan de reprogrammation des matches éliminatoires afin de faire respecter le rendez-vous de l’année prochaine. Dans le cas de figure dans lequel les journées FIFA du mois de juin et septembre et octobre ne seraient pas atteintes pour terminer les quatre matches éliminatoires restants, l’instance africaine de football va certainement se diriger vers la programmation de la coupe d’Afrique des nations durant l’été 2021 ou de la reporter carrément à l’année 2022.
E.F.

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Coronavirus - La prudence est de mise


Port de masque obligatoire, respect des barrières sanitaires et prise du Covid-Organics… Avec de telles mesures, les Malagasy semblent armés pour éviter une résurgence des cas de coronavirus dans le pays. Avec un bilan encourageant de 122 cas contaminés, 0 décès et 61 personnes guéries, Madagascar fait partie des pays les moins touchés par le Covid-19 qui, à l'heure actuelle, a fait plus de 192 000 morts dans le monde entier. Confiants avec le nombre croissant des patients guéris et l'absence de nouveau cas déclaré ces dernières heures, des Malagasy croient que le mal est passé, et font preuve d’un certain relâchement. Erreur car la prudence doit être de mise...
Faut-il en effet souligner que, selon les scientifiques, le pic d’une épidémie survient généralement entre le deuxième et le troisième mois faisant suite à son apparition sur un territoire. Le coronavirus est apparu à Madagascar le 20 mars dernier, ce qui pourrait signifier que la maladie n’a pas encore atteint son pic dans la Grande île. Un pic qui pourrait être atteint au cours de ces prochaines semaines. Des experts qui expliquent également qu’il peut y avoir des vagues d’épidémie.
Par ailleurs, des scientifiques occidentaux, à l’instar du professeur Raoult, estiment que le virus pourrait disparaître dans le courant du mois de mai en Europe, tablant notamment sur la fin de l’hiver et l’arrivée des beaux jours. A contrario, Madagascar, comme les pays de l’hémisphère sud, entre dans quelques jours dans la période hivernale, surtout sur les hautes terres comme Antananarivo et Fianarantsoa où les cas de contamination recensés ont été les plus nombreux.
Qui dit période hivernale dit retour progressif des basses températures, ce qui fait craindre un risque de propagation du coronavirus. En effet, cette période est favorable aux virus respiratoires. Si les informations sur le virus à l’origine du Covid-19 sont encore peu fournies, beaucoup de spécialistes s’accordent à dire qu’il est probablement un virus saisonnier, tout comme les autres virus respiratoires. Il faut pourtant savoir que différents facteurs réunis durant la période hivernale favorisent la propagation de ces virus.
De nombreux virus des voies respiratoires sont plus stables à basse température. Cela leur permet de rester plus longtemps en suspension dans l’air et sur les surfaces. De plus, nous sommes plus vulnérables à ces virus lorsque les températures chutent. Le climat sec et froid caractéristique de l’hiver influe sur les parois des voies respiratoires. Les températures hivernales nous incitent également à passer plus de temps en intérieur, ce qui entraîne une chute des niveaux de vitamine D et accentue la vulnérabilité aux maladies.
Pour le moment, il n’y a qu'une seule option : se préparer à affronter la  situation. C'est pour affronter cette période cruciale que des remèdes tels que Covid-Organics s’avèrent nécessaires pour renforcer le système immunitaire. C’est également en prévision de cette période hivernale qu’il est important de respecter scrupuleusement les mesures sanitaires.
La Rédaction

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Editorial

  • A chaud !
    « Madagascar persiste et signe » ! Tel est le gros titre « à la Une » d’un quotidien de la Capitale avant-hier. Dans la précédente édition du journal, dans la même colonne éditoriale d’hier, nous avions émis le souhait d’entendre sinon de lire quelque part la réaction du Gouvernement à propos de la déclaration nettement « négative » du Chef d’Etat français Emmanuel Macron sur l’éventuelle restitution des îles Eparses. Voilà, c’est fait ! Madagasikara persiste et signe. Félicitations à notre MAE, SEM Rasata Rafaravavitafika qui certainement parle au nom du Gouvernement malagasy.

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