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Rendez-vous planétaire !

Le gotha monde du sport à l’échelle planétaire se retrouve à Paris du 26 juillet au 11 août 2024. La capitale française, l’épicentre des rencontres sportives de haut niveau, accueille pour la troisième fois les Jeux olympiques d’été après 1900 et 1924. La France toute entière et les délégations s’impatientent d’assister à de grandes compétitions.
Les Jeux olympiques s’organisaient pour la première fois en l’an 776 avant JC à Olympie, en Grèce. Il s’agissait au tout début d’une manifestation à caractère sportif et religieux.

Le Festival international de kitesurf, soutenu par Telma Madagascar, revient pour sa troisième édition cette année. Lors d'une conférence de presse tenue hier après-midi dans les locaux de l'opérateur télécom à Andraharo, les organisateurs ont dévoilé les détails de cet événement tant attendu. Du 23 au 25 août 2024, la baie de Sakalava, située au large des côtes de Diego Suarez, dans le Nord de Madagascar, accueillera de nouveau le « Festikite ». Cette compétition internationale réunira des participants confirmés et des amateurs aguerris de diverses nationalités. Les compétiteurs auront l'occasion de s'affronter dans plusieurs disciplines, telles que le Windfoil, le Kitesurf Slalom, le Windsurf Slalom, le Big Air, le Freestyle et le Best Impression.

Un événement qui célèbre l'humour sous toutes ses formes en réunissant à la fois des jeunes humoristes prometteurs et des figures établies de la scène comique. Après une longue année d’attente, le festival du rire « Jôkôsô » arrive enfin à sa quatrième édition. Actuellement, les organisateurs peaufinent les préparatifs. Pour cette année, cet évènement se déroulera du 11 au 15 septembre prochain. Vu le succès des éditions précédentes, cet événement s’annonce déjà cocasse et promet d’être convivial avec plus de cinq spectacles portés par une brochette de comédiens dans différents endroits de la Capitale. 

Le Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, a annoncé sur ses réseaux sociaux qu’il se rendra à l’Aéroport international d’Ivato ce mardi 23 juillet, à 15h30, afin de prendre en compte les préoccupations des citoyens concernant l’accès et les services de l’aéroport. Cette visite a pour but de répondre aux nombreuses plaintes reçues à ce sujet. Le Président Rajoelina s’est engagé à améliorer les infrastructures de l’aéroport d’Ivato. Il a déclaré : « Pour améliorer l’accès, l’arrivée et le départ à l’aéroport d’Ivato, suite à vos plaintes et inquiétudes que j’ai entendues, je descendrai personnellement sur place pour inspecter toutes les étapes et proposer des solutions durables avec tous les responsables. »

Une collaboration renouvelée et renforcée entre la Banque mondiale et la Grande île. La directrice du Groupe économique, commercial et d'investissement de cette institution, Manuela Francisco, effectue une mission spéciale à Madagascar. Cette visite a été marquée par des discussions importantes avec le Premier ministre Ntsay Christian, mettant en lumière divers aspects liés au développement du pays. Lors de sa rencontre avec le Premier ministre, elle a abordé plusieurs points clé. D’abord la croissance du Produit intérieur brut (PIB) qui est d'un facteur clé pour stimuler l'économie et améliorer le niveau de vie des malagasy. Ensuite, la création d'emplois  afin de réduire le chômage et favoriser l'inclusion sociale. 

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La une du 22 juillet 2024

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Fin de parcours


Nouveau départ. Sur le tremplin. Mis à l’écart. En fin de carrière du moins parcours. Tel peut être le tableau exprimant la nouvelle donne, la nouvelle configuration politique à Madagasikara à l’issue des législatives du 29 mai. Un tableau encourageant ou prometteur pour les uns, inquiétant pour d’autres et désolant pour certains ! En tout cas, ce fut une manne du ciel pour les uns, un véritable tsunami pour d’autres !
Heureuse opportunité. Le scrutin des législatives du 29 mai 2024 apporte un lot de belles surprises, de belles promotions pour une partie des acteurs politiques du pays. L’élection au Parlement introduit sinon propulse les heureux gagnants ou les heureuses élues dans le cercle du pouvoir. Faire partie de l’Assemblée nationale, une Institution de poids au sein de la République, n’est pas chose donnée à tout le monde. Qu’on le veuille ou non, on fait partie de l’élite … politique nationale. C’est un prestigieux poste politique pouvant vous propulser dans les hauteurs de l’Etat. Aux Etats-Unis, le seul fait de décrocher un siège électif au Congrès surtout au Sénat peut très bien vous offrir un ticket pour atterrir à la Maison Blanche. En effet, c’est un bon tremplin ! Les Kennedy ou les Barack Obama, entre autres, en savaient bien. A Madagasikara,  l’élection pour le renouvellement des membres de la Chambre basse a fait, comme il fallait s’y attendre,  des heureux et heureuses. Le renouvellement, par la suite, des membres du bureau permanent presque en totalité, présente des opportunités aux nouveaux élus pour accéder aux postes clés de l’Assemblée nationale. Une belle ascension vers le cercle restreint du pouvoir à Tsimbazaza. De nouvelles figures trônent au Palais. Evidemment, certaines têtes ayant réalisé une performance sujette à caution, quelque peu en déclin, ont été reléguées au second plan. Ce qui n’est pas sans fâcher certaines têtes brûlées ! 
Par ailleurs, le scrutin du 29 mai crée, pour d’autres, des houles, des vagues frôlant les hauteurs des tsunamis de 2004. Le mandat du désormais législature précédente  sise à Tsimbazaza touche à sa fin. Il valait  la peine de passer au crible des urnes les prétendants pour « trier » les méritants afin de les installer, les nouveaux ou les redoublants sinon les triplants, au Palais. Les ondes de choc provoquées  par le séisme ont été tellement fortes que des personnalités incarnant l’image de l’AN durant le précédent mandat se trouvent écartées. Les puissantes vagues du changement ont été telles, trop hautes et puissantes, qu’elles ont emporté nulle part ces figures jugées indésirables. On dirait que la nouvelle Assemblée nationale, épurée de ces frondeurs, semble donner l’image d’une Assemblée assagie sinon … docile !
En dernière tranche, l’élection législative du 29 mai parait sonner le glas de certaines figures politiques tant dans le cercle du pouvoir qu’au sein de l’Opposition. Des personnalités proches du régime ayant échoué à l’implacable test des urnes semblent sombrer dans le naufrage. Le remaniement à venir va-t-il les repêcher ou non ? Si tel ne serait pas le cas, leur avenir parait compromis. C’est déjà ou presque une fin de parcours. Certains ténors de l’Opposition qui n’ont recueilli, jusque là, que des échecs, doivent logiquement plier bagages. Il faut se rendre à l’évidence qu’ils sont en fin de carrière.
Ndrianaivo



Clarification des faits. Depuis quelques jours, une vidéo circulant sur les réseaux sociaux a suscité une vague d'indignation concernant des incidents présumés à l'aéroport international d'Ivato. Dans cette vidéo, Jackson Jaojoby rapporte une série d'événements déconcertants impliquant la disparition temporaire de ses effets personnels lors d'un contrôle de sécurité à la partie Scanning Départ, disparition qu'il laisse clairement entendre être volontaire de la part d'agents de la douane. Cependant, une récente clarification apportée par les autorités douanières met en lumière une version des faits bien différente.
Selon les explications fournies par le receveur des douanes dans un entretien en visioconférence avec Jackson Jaojoby, l'incident s'est avéré être le résultat d'une confusion lors du processus de sécurité à l'aéroport. Contrairement aux allégations initiales, aucune tentative de vol n'a été constatée par les caméras de surveillance de l'aéroport.
Ce qui s'est réellement passé ? Jackson Jaojoby a placé ses effets personnels, y compris son téléphone, son portefeuille et son ordinateur portable, dans un bac destiné à être scanné. Par inadvertance, ledit bac et ses objets ont été cachés sous un autre bac contenant ses vêtements, à la sortie du scanner. Lorsque l'agent de sécurité a vu que le bac du haut avait été vidé par Jackson Jaojoby, il a supposé que le bac du bas était également vide, lequel contenait encore les effets personnels dudit passager. Dans le cadre de sa procédure, l'agent a empilé d'autres bacs vides sur le dessus avant de les récupérer pour les réintégrer dans le processus de départ pour d'autres passagers.
Cette confusion a conduit à une brève disparition des effets personnels de Jackson Jaojoby sous les yeux attentifs des caméras de sécurité. A aucun moment, il n'y a eu d'intervention malveillante ou de tentative de vol de la part des agents de sécurité ou de la douane, comme initialement suggéré.
Suite à ces événements, Jackson Jaojoby a présenté ses excuses publiques pour toute confusion causée par sa vidéo initiale, soulignant qu'elle était motivée par la surprise plutôt que par une intention de nuire à l'honneur des agents de sécurité ou de la douane. Il a également reconnu une méconnaissance des procédures spécifiques mises en place à l'aéroport.
En réponse à d'autres rumeurs infondées et autres accusations à tort concernant la douane, notamment des allégations de dommages à des biens ou des pratiques douteuses à la douane de Toamasina, les autorités douanières ont rappelé fermement que de telles accusations devraient être vérifiées attentivement avant d'être amplifiées sur les réseaux sociaux. Elles ont réaffirmé leur engagement envers des pratiques transparentes et souligné que toute critique injustifiée peut avoir des conséquences graves sur la réputation des agents de sécurité et de la douane.
La Rédaction

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Actu-brèves

Formation de 53 militaires malgaches en Chine
La Chine et Madagascar entretiennent des liens forts, notamment dans le domaine militaire, favorisant ainsi le renforcement des relations bilatérales. Récemment, une opportunité de formation a été offerte par la Chine à 53 membres des Forces armées malgaches, incluant l'Armée et la Gendarmerie, pour l'année universitaire 2024-2025. Cette initiative témoigne de la confiance et de la maturité de la coopération militaire entre les deux pays, soulignant l'importance des échanges et du partage de connaissances dans le domaine de la défense. L'annonce a été faite lors de la commémoration du 97e anniversaire de la fondation de l'Armée populaire chinoise à l'ambassade de Chine à Madagascar. Le ministre des Forces armées malgaches, le Général Sahivelo Lala Monja Delphin, a représenté le Gouvernement et le peuple malgaches lors de cet événement, transmettant les salutations à la nation chinoise et à l'Armée populaire. Il était accompagné du ministre de la Sécurité publique et du ministre délégué de la Garde nationale, ainsi que de nombreux officiers supérieurs des Forces armées.


Renforcer les liens entre les pays africains dans le domaine du commerce lors du Caucus Africain 2024 d’Abuja. Une délégation malgache se prépare à participer aux réunions des gouverneurs africains du groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, lors du Caucus Africain 2024. Cet événement crucial se tiendra du 1er au 3 août 2024 au Transcorp Hilton d'Abuja, au Nigéria. Le thème de cette année, « Faciliter le commerce intra-africain : catalyseur d’une croissance économique durable en Afrique », met en lumière l'importance du commerce régional pour stimuler la croissance économique en Afrique. Cette thématique souligne la nécessité de renforcer les échanges commerciaux entre les pays du continent pour favoriser un développement économique durable. Ce sommet s'annonce comme une occasion importante pour discuter des enjeux économiques du continent et renforcer les liens entre les pays africains dans le domaine du commerce. Le Caucus Africain se réunit annuellement sous la présidence actuelle du Nigéria pour coordonner et harmoniser les positions des gouverneurs africains. L'objectif principal de ces réunions est de préparer le mémorandum annuel qui sera soumis au Fonds monétaire international et à la Banque mondiale. Ce document crucial reflète les points de vue des gouverneurs africains et est présenté lors des assemblées annuelles de ces deux institutions financières internationales.



Les élus de la Région du Sud de Madagascar doivent prendre leur responsabilité.  Lors de son déplacement dans les Régions d’Androy et d’Anosy, le Premier ministre Christian Ntsay a eu l'occasion de rencontrer les responsables gouvernementaux et les élus de la Région d'Anosy. Cette rencontre a mis en lumière les principales responsabilités qui incombent à ces élus pour contribuer au développement du pays, en particulier dans leurs circonscriptions respectives. Parmi les priorités discutées lors de cette réunion, on retrouve notamment l'engagement des élus dans la lutte contre la corruption, l'importance de la discipline de travail et la nécessité d'avoir la capacité de diriger efficacement. Le Premier ministre a insisté sur le rôle crucial des élus locaux dans ces domaines pour assurer le progrès et la bonne gouvernance au niveau régional. Lors d'un entretien avec les ministres accompagnant le Premier ministre, des discussions ont eu lieu concernant les travaux à entreprendre dans la Région d'Anosy. Il a été question de la construction de routes et de l'approvisionnement en eau potable, des aspects essentiels pour le développement socio-économique de la Région. La réunion s'est conclue par un examen du bien-être social de la population. Cette réunion fait suite à une visite précédente du Premier ministre dans la Région, au cours de laquelle il a pu constater les progrès réalisés dans la réhabilitation de la RN°13 et le projet Pipeline d’Efaho. Ce dernier, une fois achevé, fournira de l'eau potable pour l'agriculture et l'élevage aux habitants des Régions d’Androy et d’Anosy, soulignant ainsi l'engagement du Gouvernement envers le développement durable et le bien-être des populations locales.



La Suisse, un modèle de réussite dans le développement durable pour Madagascar. Les relations entre Madagascar et la Suisse sont fondées sur des valeurs communes telles que la paix, la promotion des droits de l'homme et la solidarité. Depuis leur établissement en 1961, ces liens se sont renforcés au fil des décennies, reposant sur un respect mutuel et une communauté de valeurs profondes. Le 19 juillet 2024, le ministre des Affaires étrangères par intérim, le Général Lala Monja Delphin Sahivelo, a représenté le Président de la République Andry Rajoelina et le peuple malagasy à la célébration anticipée de la fête nationale suisse, le 1er aout, à Antananarivo. Cette célébration revêt une importance particulière pour les deux nations. Le ministre a souligné l'importance de la tradition de neutralité et de démocratie de la Suisse, qui en fait un modèle de réussite dans le développement durable. Il a également rappelé l'engagement de la Suisse envers des idéaux d'humanisme et de solidarité, illustré par la création du Comité international de la Croix-Rouge. La journée du 1er août, jour de la fête nationale suisse, va au-delà d'une simple célébration. Elle marque également la commémoration de la signature du Pacte fédéral de 1921, symbole de l'unité des communautés suisses des vallées d'Uri, de Schwyz et de Nidwald.



Tout a commencé par la rougeole. Damyan R. a subi trois interventions chirurgicales entre avril et juillet 2019, à l’âge de 4 ans. Des opérations suite à des convulsions à cause d’une méningo- encéphalite tuberculeuse compliquée d’une hydrocéphalie d’une part et d’une infection respiratoire, de l’autre. Cinq ans après, son état ne s’est pas amélioré puisque le petit continue à faire des crises et est hospitalisé lors des complications. Ses parents semblent désorientés quoi qu’ils gardent espoir pour la guérison de leur fils, à Madagascar ou à l’étranger...

“ Damyan était en bonne santé avant ses 3 ans et 5 mois. Il était comme les autres petits garçons de son âge. Il parle, court, joue et était très dynamique. Mais tout s’est basculé en décembre 2018, lorsqu’il attrapait la rougeole et a souffert pendant 2 semaines. Pis, sa santé s’est dégradée petit à petit, avec une forte fièvre, de la toux et une perte de poids considérable. C’est là que notre calvaire a commencé”, se souvient N.R., le père du petit patient. Depuis, ses parents partagent les souffrances de leur fils, outre les faux-espoirs occasionnés par les complications, les promesses non tenues, les diverses tentatives pour arriver à la guérison ainsi que les arnaques.
Damyan a été admis à l’hôpital d’Ambohimiandra, où il était inconscient, voire quelques jours dans le coma suite à des convulsions et une paralysie de sa partie gauche. Sa première opération s’est tenue à l’HJRA le 17 avril 2019 pour une mise en place de valve de dérivation externe. Le 05 mai, un pédiatre lui a diagnostiqué une méningo-encéphalite tuberculeuse compliquée d’une hydrocéphalie quadri-ventriculaire. Mais il avait également attrapé une infection respiratoire à l’hôpital, avant de subir une opération trachéotomie, le 17 mai. Il se trouvait dans un état comateux pendant 1 mois et demi. Après un scanner cérébral, le petit garçon de 4 ans a été opéré d’une dérivation ventriculo-péritonéale. Mais son état ne s’est pas amélioré, contrairement aux attentes de ses parents. Il est souvent inconscient tandis que son trouble respiratoire persiste. Outre les spasmes de ses membres supérieurs et inférieurs, son regard dans le vide et ses crises, Damyan ne parle et ne voit plus.
De nombreux sacrifices
Damyan a 7 frères et sœurs, âgés entre 5 et 17 ans. Avec leurs parents, ils n’ont manqué de rien puisque le père avait une boutique de CD, logiciels, jeux et sérigraphie tandis que la mère gérait une gargote à Andravoahangy Ambony. Mais depuis que le petit est malade, ils ont dû tout vendre pour assurer le traitement. Ils ont même quitté leur maison de location pour s’abriter dans des membres de leur famille à Ankadifotsy. “Nous avons fait de nombreux sacrifices pour que Damyan aille mieux, mais en vain. Au final, nous avons dû lancer un appel à l’aide sur les réseaux sociaux, faute de moyens pour continuer le traitement et assurer toutes les dépenses. Mon mari et moi ont dû cesser de travailler pour s’occuper en permanence du petit, jour et nuit. Heureusement que nos familles sont là pour nous épauler, notamment avec les charges afférentes à nos enfants”, nous confie la mère du petit.
En presque 6 années de maladie et d’état instable de Damyan, ses parents bénéficient du soutien du personnel médical local, notamment dans les centres hospitaliers où le petit est plus ou moins pris en charge, avec des exceptions. Des associations, organismes et personnes de bonne volonté les aident de temps en temps, surtout pour les médicaments à importer. Mais Damyan a besoin d’aide permanente venant de chacun de nous, dans la prière ou les dons en espèce ou en nature, notamment les couches. Bien que les médecins traitants du petit ne l’aient pas encore prescrit, ses parents pensent qu’une évacuation sanitaire pourrait sauver leur fils, afin qu’il puisse à nouveau voir, parler, se mettre débout et regagner un peu d’autonomie physique...
P.R.



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La Une

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Editorial

  • Idem !
    Et nous y revoilà ! Dix personnes écopent une peine de détention préventive à la prison de Moramanga. Elles sont accusées de fuite de sujets lors de l’examen du BEPC dans la Circonscription scolaire de Moramanga. Encore et toujours des fuites de sujets. Tous les ans, ou presque, le pays doit faire face à des délits de fuites de sujets d’examen officiel. Neuf candidats à l’examen du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) 2025 ainsi que le proviseur d’un lycée privé sis à Belavabary, de la même CISCO, ont été placés sous mandat de dépôt à la prison de Moramanga à l’issue de leur comparution devant le juge d’instruction. Idem des cas de fuites de sujets. Le ministre de l’Education nationale déclarait, à ce sujet, comme suit : « tolérance zéro à l’encontre des fauteurs de trafics de sujets d’examen officiel ». Avec tous les respects à votre endroit Mme …

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