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Royalement !  

Tapis rouge avec les honneurs à l’aéroport international Ravinala Airports  à Ivato ! Tapis rouge avec le summum de la  préséance protocolaire au Palais d’Etat d’Iavoloha. Le Chef de l’Etat français Emmanuel Macron et son épouse, en visite d’Etat sur le sol malagasy, ont été reçus royalement par le pas-tout entier. Le couple présidentiel français a été accueilli à l’aéroport par  Premier ministre, chef de Gouvernement, Ntsay Christian. Immédiatement, le cortège présidentiel se dirige vers le Palais d’Etat d’Iavoloha où le Maître des céans Rajoelina Andry Nirina et son épouse l’attend.

C’est dans l’écrin historique de la salle de l’Horloge de la gare de Soarano que s’est tenue hier, en marge de la visite d’Etat du Président français, Emmanuel Macron, une réunion stratégique entre le Groupement des entreprises de Madagascar (GEM) et le Mouvement des entreprises de France (MEDEF). A travers cet échange de haut niveau, les deux délégations ont affiché une volonté claire de renforcer leur coopération économique dans des domaines d’avenir. Les discussions ont mis en lumière plusieurs axes prioritaires notamment l’outsourcing, les services numériques, la cybersécurité, la digitalisation des services publics ou encore les innovations dans les secteurs de l’agriculture (Agritech) et de l’environnement (Green Tech).

Un rendez-vous consacré aux passionnés d’art. Ce week-end, plus précisément,  le samedi 26 avril 2025, l'Institut français de Madagascar accueillera une conférence exceptionnelle dédiée à l’art malagasy, présentée par Andrianetrazafy Hemerson, auteur et expert de la peinture locale. Cet événement s’inscrit dans le cadre des rencontres "Les Têtes Chercheuses", une initiative visant à rendre la connaissance scientifique et artistique accessible à tous. Publié en décembre dernier aux éditions Foi et Justice, le livre intitulé ‘‘La peinture malgache’’ : Construction d’une identité picturale est une étape majeure dans la reconnaissance de la richesse artistique de Madagascar. Premier ouvrage de cette envergure consacré à la peinture malgache, il est le fruit d’un travail minutieux de collecte d’informations, d’analyses approfondies et d’une véritable passion pour la culture locale.

La visite d’Etat d’Emmanuel Macron à Madagascar d’hier n’aura pas traîné à produire ses premiers effets tangibles. En moins de quelques heures, six accords ont été paraphés entre les deux Chefs d’Etat, Emmanuel Macron et Andry Rajoelina. Parmi ces accords, le plus emblématique concerne la construction d’un barrage hydroélectrique sur le fleuve Ivondro, près de Tamatave. Ce projet d’envergure, estimé entre 600 et 800 millions de dollars, marque l’entrée officielle d’EDF au capital de la Compagnie générale d’hydroélectricité de Madagascar (CGHV). Le groupe français, en partenariat avec le conglomérat Axian, assurera le pilotage du projet et apportera son expertise technique (voir article par ailleurs). 

Après un énième report, les dialogues entre Madagascar et la France sur les îles Eparses sont finalement relancés. Comme il fallait s’y attendre, la question épineuse liée à ces îles malgaches ont été abordée au cours de la rencontre entre le Président Andry Rajoelina et le Président Emmanuel Macron, hier au Palais d’Iavoloha, dans le cadre de la visite d’Etat du numéro un de l’Élysée dans la Grande île. 

Au cours d’une déclaration conjointe à l’issue de cet entretien privé, le Chef de l’Etat malgache a indiqué que « Madagascar et la France se sont résolus à travailler et trouver ensemble une solution sur la question ». Il a également annoncé la décision commune en vue de la tenue de la deuxième session de la commission mixte bilatérale franco-malagasy sur les îles Eparses le 30 juin prochain à Paris, soit près de six ans après la première réunion à Antananarivo en novembre 2019. 

J-1, alors que le compte à rebours pour le 5e Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) à Antananarivo approche à grands pas, les autorités malagasy renforcent leur dispositif sécuritaire pour garantir la réussite de cet événement diplomatique majeur dans toute la Capitale. Depuis le début de la semaine pascale, les Forces de l’ordre sont omniprésentes dans plusieurs quartiers de Tanà, opérant de jour comme de nuit. Cette mobilisation massive ne vise pas seulement à assurer la sécurité de la population locale, mais sert également de grande simulation opérationnelle en vue du Sommet qui réunira des Chefs d’Etat et des représentants de divers pays de la région. En tant que pays hôte, Madagascar a la responsabilité de garantir un environnement sécurisé pour ses invités de marque, notamment les Chefs d’Etat dont Emmanuel Macron qui effectuera une visite officielle à Madagascar en marge du sommet. Le 23 avril, accompagné du Président Andry Rajoelina, il aura une rencontre avec des jeunes Malagasy lors du « Alefa jeunes talents ! » au palais d’Andafiavaratra. Organisée par la French-African Foundation, cette réunion vise à accompagner la jeunesse africaine dans ses projets professionnels et sociétaux.

 

Déploiement de Forces spéciales et mesures de prévention

Le dispositif de sécurité a été coordonné lors d’une réunion stratégique au Toby Ratsimandrava par l’Etat-Major mixte opérationnel national (EMMONAT). Les responsables ont confirmé la mise en place d’un dispositif renforcé pour protéger les personnalités et les sites sensibles tels que le palais d’Iavoloha, le Centre de conférence international (CCI) d’Ivato, le Rova de Madagascar, ainsi que le palais d’Andafiavaratra. Les Forces de sécurité déploieront également des unités spécialisées, notamment des forces d’intervention et des forces spéciales, autour des points stratégiques comme les stations de carburant et les réseaux électriques, afin de prévenir toute menace ou tentative d’attaque. La présence de ces unités vise à assurer une réponse rapide face à toute situation d’urgence ou de trouble à l’ordre public. Les autorités ont insisté sur la nécessité d’un contrôle strict des flux de circulation, avec une régulation accrue des véhicules et des piétons dans les zones clés. 

Nikki Razaf

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La une du 22 avril 2025

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Actu-brèves

Panne d'électricité à L'université de Maninday : un transformateur privé en cause, et des efforts de restauration en cours.

La récente coupure d'électricité qui a touché le campus universitaire de Maninday, à Toliara, a provoqué des protestations parmi les étudiants. Face à ces inquiétudes, la JIRAMA a apporté des éclaircissements sur l'origine de ce désagrément. Il s'avère que la panne ne relève pas directement du réseau de la JIRAMA, mais est due à un transformateur privé appartenant au ministère de l'Enseignement supérieur. Ce transformateur, qui alimente spécifiquement le campus, est endommagé depuis samedi dernier. Suite à un diagnostic approfondi, il a été constaté que les réparations nécessaires ne peuvent être réalisées sur place. Le transformateur devra donc être transféré à Antananarivo où des spécialistes et un équipement spécifique sont disponibles pour mener à bien les réparations. Face à cette situation, les autorités compétentes se sont mobilisées pour rétablir l'électricité dans les meilleurs délais. Les ministères concernés, la JIRAMA, l'Université de Toliara et les responsables locaux collaborent activement pour trouver une solution rapide. L'objectif est de minimiser l'impact de cette panne sur la vie universitaire et permettre aux étudiants de reprendre leurs activités dans des conditions normales. La durée exacte de la réparation reste incertaine, étant donné la nécessité de transférer le transformateur à Antananarivo. Cependant, les parties prenantes s'engagent à communiquer régulièrement sur l'avancement des travaux et à mettre tout en œuvre pour une résolution rapide de ce problème d'alimentation électrique.

 

Tulipe 2025 : Coopération des nations de l'océan Indien en matière de sécurité et de défense régionale. L'exercice international « Tulipe 2025 » a officiellement débuté ce dimanche au sein du Poste de commandement interarmée de théâtre (PCIAT) d'Amborovy. Déjà 1500 soldats issus des cinq pays membres de la Commission de l'océan Indien sont déployés sur le terrain, prêts à participer à cette manœuvre d'envergure qui est une plateforme essentielle pour l'entraînement et l'interopérabilité des forces armées participantes. Pour l'Armée malagasy, le coup d'envoi a été donné par une opération cruciale : la sécurisation de la côte. L'objectif est de permettre aux forces alliées de s'étendre et de contrôler la zone terrestre. Cette mission a pris la forme d'une opération amphibie, impliquant un débarquement à Katsepy, combinant des actions terrestres et maritimes avec le concours de navires malgaches et français. Le lundi 21 avril, dès 7h30 du matin, les cieux de Madagascar ont été investis par les parachutistes participant à l'exercice Tulipe 2025. Le largage de ces troupes a marqué une nouvelle étape dans le déroulement de cet événement international qui se poursuivra jusqu'au 26 avril. L'ouverture officielle de l'exercice Tulipe 2025 s'est déroulée en présence du lieutenant-colonel De Leusse, chef des opérations militaires au sein de l'Armée de Terre française dans la région Sud de l'océan Indien et représentant le commandant des Forces armées de la Zone sud de l'océan Indien (FAZSOI).

 

Le nouveau président du Conseil des ministres de la Commission de l’océan Indien (COI), Mbae Mohamed, à Madagascar depuis samedi dernier. Son déplacement à Antananarivo s’inscrivait dans le cadre de sa participation au 5ᵉ Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la COI, qui doit se tenir le 24 avril prochain dans la Capitale malagasy. Ce sommet revêt une importance stratégique majeure pour la région de l’océan Indien, un espace où la coopération entre les nations est essentielle pour le développement, la sécurité et la stabilité. A son arrivée à l’aéroport d’Ivato, le président a exprimé son enthousiasme et son sens de l’honneur à participer à cet événement crucial. « Ce sommet revêt une importance stratégique pour notre région et je suis honoré d’y prendre part activement », a-t-il déclaré, soulignant ainsi son engagement envers la coopération régionale. Après son arrivée, il est attendu que des délégations d’autres pays membres emboîtent le pas. Ce sommet sera l’occasion pour les Chefs d’Etat et de Gouvernement de discuter de sujets clés tels que la sécurité maritime, le développement économique, la gestion des ressources naturelles et la lutte contre le changement climatique.

Le décès du Pape François a été annoncé par le Cardinal Kevin Farrell, dans un communiqué publié par le Vatican, hier, lundi de Pâques dans la matinée. Il est décédé à l'âge de 88 ans à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC) qui a provoqué un coma et une défaillance cardio-circulatoire irréversible, selon son certificat de décès émis par le Saint-Siège. « Le décès a été constaté par enregistrement électrocardio-thérapeutique », selon le document signé par le directeur du département de la santé et de l'hygiène du Vatican, le Professeur Andrea Arcangeli. Il a été hospitalisé le 14 février 2025 et a quitté sa chambre de l’hôpital Gemelli de Rome le 23 mars pour retourner au Vatican. Il a fait quelques apparitions, malgré une convalescence.

 

Le dimanche de Pâques dernier, le Pape François, très affaibli, est apparu encore au balcon du Vatican pour sa bénédiction Urbi et Orbi. Puis, il a réalisé son dernier bain de foule sur la place Saint-Pierre, depuis sa papamobile.

 

Comme le veut la tradition, les neuf jours de deuil ou « novemdiales » ont commencé, hier. Le Cardinal Farrell, camerlingue de la Sainte Eglise romaine, a présidé le rite de la constatation de la mort et de la mise en bière dans la chapelle de la Maison Sainte-Marthe où le Pape François a vécu ses dernières heures. Des messes seront célébrées tous les jours dans les basiliques vaticanes et églises romaines afin de prier pour le repos de l’âme du Souverain Pontife.

 

Pour Madagascar, une messe de requiem pour le Pape sera organisée demain à 7h 30 à l'église catholique Saint François Xavier, Antanimena. Elle sera présidée par son Eminence, le Cardinal et le Nonce apostolique, ainsi que le président de la Conférence des évêques, et l'Archevêque d'Antananarivo.

 

Ainsi, un livre de condoléances sera ouvert au public à la Nonciature apostolique, située à Ivandry, ce jour et jeudi de 10h à 12h 30 et de 13h à 17h 30, ainsi que demain après-midi de 15h à 17h 30.

 

La mort du Pape est le début d'un rituel séculaire, à savoir les nouveautés voulues par le Souverain Pontife, la constatation du décès, les expositions, funérailles, textes, la sépulture, les novemdiales et enfin le conclave. Le transfert de son corps dans la basilique du Saint-Siège pourrait avoir lieu mercredi, selon les communiqués établis à l'issue de la première congrégation des cardinaux. L’inhumation aura lieu entre le quatrième et le sixième jour, comme indiqué dans la Constitution apostolique du Pape Jean-Paul II, Universi Dominici Gregis. La date exacte sera décidée par le Collège cardinalice qui se réunira quotidiennement en congrégations générales au Palais apostolique, à partir de leurs convocations par le camerlingue et les premiers cardinaux de chaque ordre.

 

Après la messe solennelle des funérailles, le cercueil du Pape sera conduit dans la basilique Sainte-Marie-Majeure, lieu de sépulture choisi par François.

 

 

Le Cardinal Désiré Tsarahazana est le troisième malagasy qui participe au conclave pour élire le prochain Pape de l'Eglise catholique. Aujourd'hui âgé de 70 ans, il est parmi les 135 cardinaux de moins de 80 ans qui peuvent être présents dans ce lieu où sont enfermés les Cardinaux rassemblés pour élire le Pape pendant la période de vacance du siège pontifical.

 

Le Cardinal Victor Razafimahatratra fut le premier à participer à cette assemblée des Cardinaux, le 26 août 1978, la célébration du 40ème anniversaire de l'élection du Pape Jean-Paul 1er, et 16 octobre 1978, date de l'élection du Pape Jean-Paul II. Le deuxième est le cardinal Gaëtan Razafindratandra. Il a pris part au conclave ayant élu le Pape Benoît XVI, les 18 et 19 avril 2005.

 

En revanche, le Cardinal Jérôme Rakotomalala n'a participé à aucun conclave. Le Pape Paul VI le nommait cardinal le 28 avril 1962. Aucun Malagasy n'a participé au conclave des 12 et 13 mars 2013 qui a élu le Pape François.

 

Anatra R.

 

 

 

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Problématique nationale ?

La Grande île manque d’eau ! Contradictoire !

L’eau, cet élément le plus précieux parmi les quatre essentiels pour la vie, à savoir la terre, l’air, le soleil et évidemment l’eau, semblerait nous faire défaut en ces temps-ci ? Pour en devenir une problématique nationale. Le conditionnel est de rigueur.

Quelque part, on doute sur la pertinence de la chose. On confond, semble-t-il, la situation naturelle du pays avec les dysfonctionnements de la compagnie nationale JIRAMA et du département de l’eau sur la gestion de cet élément indispensable à la vie.

En fait, ce n’est pas l’eau qui manque, c’est la gestion rationnelle qui fait défaut. On n’est pas dans les pays du Golfe où l’océan du sable domine l’environnement ou en plein désert du Sahara où l’eau n’existe pas. Certes, il y a le grand Sud où les pluies se font rares, mais de là à dire que l’eau nous manque, à voir de près !

Il ne faut pas déplacer le problème ! Prendre l’ineptie de la JIRAMA pour une problématique nationale de l’eau, c’en est trop ! Depuis des dizaines d’années, le gaspillage et les pertes inutiles d’eau à cause de la défaillance technique, des équipements et des infrastructures de la JIRAMA n’ayant pas fait l’objet de réparation ni de renouvellement nous créent une situation invivable.

Le ministère de l’Eau existe depuis belle lurette, qu’est-ce qu’il a fait ? Aucun chantier de grande envergure, de grands travaux, pour remédier à la crise récurrente de l’eau n’a été observé, du moins dans le grand Tanà. On assistait à des actes de tip-top sinon des gestes de saupoudrage ici et là. La semaine dernière, le Chef de l’Etat Rajoelina donna le coup d’envoi d’un grand chantier à Mandroseza. L’avenir nous le dira ! L’eau existe, mais nous n’étions pas capables de la gérer convenablement et façon pérenne ! C’est malheureusement normal si elle se fait rare ! Plutôt, il fallait chercher ailleurs pour établir les responsabilités et prendre les mesures qui conviennent.

Des observateurs avertis doutent de la pertinence de la manifestation au stade Barea, axée sur la semaine de l’Eau, du 16 au 18 avril derniers. Mais où sont-ils nos ingénieurs hydrauliques ou les experts en la matière que la JIRAMA ou le Département de l’Eau devaient disposer et être payés par les contribuables ?

Sans doute, à l’échelle de la planète Terre, le problème de l’eau se pose globalement. Raison pour laquelle l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution sur la Semaine mondiale de l’Eau qui, d’ailleurs, devra se tenir du 23 au 30 août. Là, c’est une problématique mondiale. Ne serait-ce trouver ensemble des solutions durables pour stopper le phénomène de la désertification dont certaines régions et certains pays sont victimes et qui menace dangereusement la vie. Ou encore remédier de façon durable au problème lié au manque d’eau potable, notamment dans les pays en développement. Ce n’est pratiquement pas parce que cet élément naturel indispensable manque, mais plutôt d’ordre organisationnel et une insuffisance des moyens matériels. En effet, la question d’insuffisance d’eau potable auprès des communautés villageoises est réelle !

Soyons capables de distinguer le vrai du faux problème ! Le fait d’extirper de la JIRAMA la gestion de l’eau a-t-il porté ses fruits ?

Ndrianaivo

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Editorial

  • Restitution et restitution !
    La première est nette et franche, la seconde incertaine. L’une est le fruit d’une diplomatie combative, l’autre bien qu’éclatante ou bénéficiant d’un tapage médiatique au départ (2018), s’évapore en cours de route pour disparaitre sur l’écran de radar et dont les raisons échappent au commun des mortels. Une série d’évènements aussi importants que douteux jalonnent les deux derniers rendez-vous tant au tête- à-tête au cours de la visite d’Etat que durant le Vème Sommet de la COI. Ainsi, en marge du Vème Sommet de la COI, Dr Navin Ramgoolam, Premier ministre mauricien, restitue de ses propres mains à Rajoelina Andry Nirina, président de la République malagasy, les 22,5 kilos d’or saisis à l’aéroport de Maurice en janvier 2019. « Il m’est particulièrement agréable d’accomplir aujourd’hui un geste qui marque non seulement la qualité des relations bilatérales entre Maurice et Madagascar mais aussi l’esprit qui gouverne la solidarité régionale et la…

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