Publié dans Culture

Prix Paritana 2024 - Les candidats bénéficieront d’une formation

Publié le mercredi, 10 janvier 2024
Pour la première fois les participants auront une formation  Pour la première fois les participants auront une formation

 Le concours de la 8e édition du Prix Paritana se rénove. L’appel à candidatures pour le projet artistique a démarré  le 8 janvier et va se clôturer le 25 février 2024 prochain. Les artistes malagasy, ayant plus de 18 ans, qu’ils soient peintre, sculpteur, photographe, vidéaste… sont invités à remettre leur projet ou de s’inscrire sur le site https://forms.gle/PUSUN6im5tfuqPex6. Pour cette 8e édition, afin d’aider les artistes à "préparer le dossier de candidature et prendre en main le formulaire d'inscription, la Fondation H prévoit une séance de formation le 25 janvier pour tous ceux qui souhaitent participer à ce concours. Comme durant les éditions précédentes, trois artistes verront sélectionner leurs projets par un jury international. Ce projet artistique sera évalué sur la base de sa qualité artistique, son originalité, ses perspectives d’évolution et sa faisabilité. Il est important de mentionner que le Prix Paritana est un programme de la Fondation H. Depuis sa création en 2017, le Prix Paritana soutient la scène artistique malagasy (artistes de nationalité malagasy ou résidant à Madagascar) en organisant un prix d’art contemporain, remis chaque année à trois artistes. Son ambition est de mettre en lumière l’émulation créative de la scène contemporaine malagasy et de la soutenir. Comme à chaque édition, le lauréat du Prix Paritana 2024 se verra octroyer une résidence de trois mois à la Cité internationale des arts, un billet d’avion Air France aller-retour Antananarivo et Paris et une bourse pour permettre à l’artiste de démarrer son projet artistique. Des per-diem pour la durée de son séjour à Paris, suivis d’un accompagnement de l’équipe Fondation H Paris, lors de la présentation de la scène culturelle parisienne. Durant le séjour, il y aura des visites de musées, de galeries d’art, de bibliothèques et d’autres endroits culturels. D’autres lots attendent les lauréats du concours. Pour cette année, comme lors de la 7e édition, les lauréats exposeront leurs œuvres dans le nouvel espace du Fondation Ambatomena. Rappelons que c’est l’artiste Joëlle Ratovohery dit Ashiko Ratovo qui a été la sacrée lauréate lors de la précédente édition. Elle a remporté la première place grâce à son projet « Tsy manan-kialofana » ou « Sans-abri ». Le jury a également décerné deux autres prix, respectivement à Dina Nomena Andriarimanjaka pour son projet  à la recherche des « Betia », et Ophélia Arilala Ralamboson pour son projet d’installation.
Si.R

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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