Dossier

Bon nombre de Malagasy n’a pas encore compris les différences entre l’abus et l’exploitation sexuelle, le harcèlement sexuel ainsi que la violence basée sur le genre (VBG) et le sexe. Dans les 3 cas, le/la survivant(e) et l’abuseur peut être un homme ou une femme ou encore un(e) mineur(e). Il peut donc y a avoir un harcèlement sexuel d’un homme à un homme, d’une femme à une femme, d’une femme à un homme ou d’un homme à une femme. Harcèlement sexuel Selon le Système des Nations unies, au niveau du secteur Aide et développement, plusieurs définitions et catégorisations s’imposent. Les…
De multiples activités entreprises. La Première dame et Ambassadrice de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG), Mialy Rajoelina, confirme son engagement dans ce domaine. « Les cas de violence, notamment envers les femmes et les enfants, se sont multipliés ces derniers temps. Nous ne pouvons tolérer cela puisque les violences entraînent de nombreux séquelles graves chez les victimes, et même la mort », constate-t-elle. Les victimes devraient oser dénoncer toutes formes de violence auprès des structures et des autorités compétentes. Dans ce sens, le nombre de signalements a largement augmenté, selon les acteurs dans cette lutte. Récemment,…
Opérationnelle depuis le mois d’avril de cette année. La ligne d’urgence 813 reçoit quotidiennement plusieurs appels de signalement des violences sous toutes ses formes, touchant à la fois les enfants, les femmes, les hommes, les homosexuels et les transgenres. Les statistiques en disent long sur la persistance des violences à Madagascar, notamment depuis la crise sanitaire liée au coronavirus. « Depuis la mise en place de la ligne d’urgence 813, plus de 4 000 appels ont été reçus. La majorité des appelants signalent, dénoncent ou se plaignent des violences psychologiques, économiques, physiques et sexuelles », rapporte Rova Rabetaliana, directeur général…
De 2019 à 2020, Jean Borda Ravelomanato, un jeune homme de 18 ans originaire de Vangaindrano, a décroché deux diplômes du baccalauréat en série A2 et C avec mention « Très bien ». Ce jeune et brillant étudiant ambitionne de devenir un scientifique. Il veut être parmi ces jeunes intellectuels marquant l’histoire des sciences et des innovations technologiques. « Toute ma vie, je me suis préparé à devenir un scientifique, plus précisément un expert dans le domaine des innovations technologiques afin de contribuer au développement de Madagascar », a-t-il révélé. Et d’ajouter qu’il souhaite continuer ses études dans un établissement…
Aux côtés des autorités depuis le retour du couronnement du dais royal de Ranavalona III jusqu'à la cérémonie d'inauguration du Rovan'iMadagasikara, jeudi et vendredi dernier. Beaucoup se sont posé des questions sur son identité. Après avoir résumé sa généalogie, elle a accepté de nous accueillir chez elle à Amboatavo Itaosy pour plus d'informations à son sujet. Elle, c'est la Princesse Ralandison Fenosoa Harivola Ratsimamanga.
Le Père Pedro a quitté l'Argentine à 18 ans Depuis 1648, la Congrégation des missions de Saint Vincent de Paul, en Argentine, a envoyé des missionnaires à Fort -Dauphin. Pourtant, ces derniers n'ont jamais duré que deux ans au maximum. Ils ont abandonné ou succombé à diverses maladies comme le paludisme et la tuberculose. « Je me suis alors présenté comme volontaire et la congrégation a accepté ma demande. J'ai interrompu mes études et j'ai travaillé pour pouvoir payer mes voyages et mon séjour à Madagascar ».En arrivant dans la paroisse de Vangaindrano le 26 octobre 1970, il a travaillé…
Jugé devant le Tribunal, situé à l'époque à Ambodiroatra pour le meurtre d'un de ses proches amis en 1980, Rakotoarivony Samuel, aujourd'hui âgé de 62 ans, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité aussi appelée plus communément prison à vie. Pour écoper cette peine capitale, ce prisonnier a été expédié d'Antanimora vers Nosy Lava où il a passé ses 40 dernières années.

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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