Economie

Jusqu’à 70% de remise. Durant la crise sanitaire, les entreprises et les différentes marques ont sérieusement manqué de visibilité. Ce manque a évidemment impacté sur leurs ventes. Outre le fait d’aider les consommateurs malagasy dans la concrétisation de leurs projets immobiliers, cette 22ème édition du Salon international de l’habitat vise aussi à soutenir le secteur privé dans le domaine de la construction, à se refaire une image après tout ce qui s’est passé. Les opérateurs locaux ont besoin d’un soutien dans la relance de leurs activités.
Place à la publication des dépenses. Le ministère de l’Economie et des Finances s’est limité auparavant la mise à la disposition au public les financements reçus dans le cadre de la lutte contre la Covid-19. Afin de faire preuve de plus de transparence, un rapport sur les dépenses est disponible dans le site web. Il s'agit du montant précis du total des marchés publics attribués depuis le mois de mars jusqu’à la fin du mois d’octobre. Les informations dévoilent la base de l’engagement jusqu'à la base du paiement en passant par les marchés publics attribués, et les bénéficiaires des contrats.…
Le Salon international de l’habitat (SIH) a entamé sa 22ème édition, hier, au Parc des expositions Forello Tanjombato. Après tout ce qui s’est passé cette année, avec la pandémie de coronavirus et ses impacts sur l’économie nationale mais aussi mondiale, cette édition tend alors vers la relance ainsi que la mise en chantier de tout Madagascar. Le SIH s’active alors pour relancer la consommation mais surtout pour faciliter l’accès de toute la population malagasy à un logement décent. L’Etat projette de construire 50 000 logements d’ici 2023. Dans cet esprit, l’Agence nationale d’appui au logement et à l’habitat (ANALOGH) avec…
Modèle à dupliquer dans les localités les plus reculées. La Fondation Axian avec l’ONG Madagascar Hilfe ont inauguré le tout premier centre de santé de base de niveau II (CSB II) du programme « Salama BNI », dans la Commune rurale d’Antanetibe Mahazaza. Ce programme, lancé au courant de cette année par la Fondation Axian et financé par la BNI Madagascar, vise surtout à améliorer l’accès aux services de santé de base pour les populations les plus vulnérables.
Progressif. Le Gouvernement ajuste actuellement le barème de l’Impôt sur les revenus salariaux et assimilés (IRSA) en fonction de l’argent perçu. Il s’agit d’une nouvelle disposition prise dans le projet de loi de Finances initiale (LFI) 2021. Si auparavant, les employés touchant plus de 350 000 ariary doivent verser 20 % de leur revenu au fisc, le ministère de l’Economie et des Finances - à travers la Direction générale des Impôts - a procédé à une modification de la modalité du calcul. Par conséquent, les bas salaires sont désormais favorisés.
Alors que les pâtes alimentaires importées sont frappées d’un droit de douane additionnel de 29 %, la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de celles fabriquées localement est révisée à 5 % si elle était de l’ordre de 20 % auparavant. Cette stratégie de défense commerciale entre dans la protection de la Branche de production nationale (BPN) face aux importations et rend les produits locaux plus compétitifs sur le marché. Ainsi, en ce qui concerne les pâtes alimentaires de fabrication locale, on pourrait désormais s’attendre à une éventuelle baisse des prix sur le marché. « Nous avons l’objectif de développer…
Solidarité en temps de crise. Aucun secteur d’activités n’a été épargné par la crise économique causée par la pandémie de coronavirus. Aujourd’hui, les opérateurs tentent tant bien que mal de se redresser et de retrouver un semblant d’équilibre. Toutefois, cette reprise des activités n’est pas évidente pour tous, plus particulièrement les PME (Petites et Moyennes Entreprises), même avec les dispositions mises en place par l’Etat comme le crédit Miarina by Fihariana. De grandes enseignes ont ainsi décidé d’appuyer les solutions déjà proposées pour avoir le plus d’impacts. Dans ce sens, la STAR, par le biais de sa marque THB, organise…

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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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