Economie

Une histoire partagée. Depuis des années, le Maroc et Madagascar ont développé leur amitié. Toutefois, au niveau économique, cette coopération reste encore timide. Pourtant, les opérateurs des deux parties peuvent collaborer sur beaucoup de secteurs, pour ne citer que le commerce, la technologie ou encore la finance. Entre le partage de savoir-faire, d'expériences et les relations d'affaires, les deux parties ont tout à y gagner, sauf que les opportunités restent encore méconnues. Ce dossier présente ainsi les différentes opportunités exploitables au Maroc mais également les systèmes à imiter, tout à fait applicables dans la Grande île.
Réduire les risques pour les consommateurs. Actuellement, la collecte des lampes écologiques est très encouragée, plus particulièrement au niveau des « Fokontany ». Une campagne de sensibilisation est menée pour inciter la population à ne pas jeter n’importe où ses lampes économiques usées, afin de préserver le bien-être de tous. Les chiffres n’ont pas été vraiment satisfaisants, comme l’affirment les propos de Thierry Randriamanalina, responsable du projet de triage d’ordures à Andralanitra, au mois de novembre dernier.
Le secteur aérien est au plus bas, plus particulièrement pour la compagnie aérienne nationale. C'est pour cette raison qu'en 2017, Air Madagascar a trouvé un partenaire stratégique, en l'occurrence Air Austral, afin de l'aider dans son redressement. L'année 2018 a ainsi été la première année de la mise en application d'« Alefa 2027 », le plan de redressement de la compagnie aérienne. Entre la création de Tsaradia, la filiale domestique et la suppression des vols de Corsair, sans oublier le nouvel accord avec Kenya Airways, toutes les actions des deux partenaires se sont focalisées sur le redressement du transport aérien…
La Grande île se doit de mener sa lutte contre le changement climatique par ses propres moyens. Récemment, Madagascar a participé à la COP 24, la 24e conférence mondiale sur le climat qui s’est déroulée du 2 au 15 décembre dernier à Katowice, en Pologne. A l’issue de cette grande réunion, il a été constaté que la résilience de notre pays face aux changements climatiques demeure encore faible jusqu’à ce jour. Effectivement, les actions y afférentes sont exclusivement, ou presque, conditionnées par les appuis venant des pays développés. De ce fait, leurs répercussions restent encore limitées dans diverses Régions de…
Le nouveau terminal international de l’aéroport d’Antananarivo se rapproche de sa forme finale. Effectivement, le chantier évolue à pas de géant. Et actuellement, les travaux se focalisent sur l’installation des trois passerelles. Après leur arrivée à la fin du mois d’octobre dernier, les techniciens se sont surtout focalisés sur l’aspect mécanique ainsi que la connexion de ces passerelles avec le terminal. Et à la fin de l’installation, une série de tests sera exécutée pour voir les différents réajustements à faire.
Hausse du prix du carburant, augmentation des frais de transport, celle du tarif de l’électricité et du charbon, sans oublier les produits de première nécessité qui deviennent de plus en plus chers chaque jour. Cette année, une inflation galopante n’a pas du tout épargné la population malagasy. Pour différentes raisons, l’Etat malagasy a dû prendre certaines décisions pour pouvoir remédier à des situations spécifiques. Carburants : une augmentation moyenne de 10 % sur tous les produitsCher payé ! En une année, le coût des produits pétroliers a augmenté de 10 % en moyenne. Effectivement, l’année dernière, à la même période,…
Nos députés et sénateurs sont tenus d'adopter les deux projets de loi sur la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, ainsi que celui sur le recouvrement et l'affectation d'avoirs illicites avant la fin d'année. Voilà pourquoi le dernier Conseil des ministres de l'année, le 17 décembre, a convoqué le Parlement à une cinquième session extraordinaire qui ne doit pas excéder 12 jours à partir de jeudi.

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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