Economie

De 20 milliards d’ariary à 56 milliards d’ariary. Actuellement, la Capitale n’est pas la seule à avoir des problèmes d’approvisionnement en eau, mais tout le pays. « Le principal problème est notamment la vétusté des infrastructures ainsi que l’absence d’investissements dans le secteur depuis des décennies. Au fil des années, les infrastructures n’ont pas évolué avec la forte croissance démographique. Par conséquent, elles n’arrivent plus à satisfaire les besoins des usagers. Et cela s’intensifie durant la saison sèche », explique Vonjy Andriamanga, ministre de l’Energie, de l’Eau et des Hydrocarbures.
Toutes les industries se sentent menacées ! La majorité des industriels locaux, tout secteur confondu, se plaignent actuellement auprès de l’Autorité nationale chargée des mesures correctives commerciales (ANMCC) face aux importations massives. Ces dernières nuisent effet considérablement à leur épanouissement sur le marché local. De ce fait, les plaintes s’accumulent de plus en plus, au niveau de l’ANMCC, au cours des trois dernières années. « Aujourd’hui, il est évident que l’importation est l’ennemi commun de toutes nos industries. Toutefois, malgré les plaintes qui parviennent à nous, nous ne pouvons pas tout de suite prendre des mesures drastiques pour remédier à…
L’année scolaire 2018-2019 n’est pas encore tout à fait terminée que les parents doivent déjà se préparer pour la prochaine rentrée scolaire. Effectivement, l’année scolaire a particulièrement été chamboulée cette année. Pour la prochaine rentrée, elle débutera ce mois d’octobre. Les enfants mais aussi les parents n’auront qu’un mois pour reprendre leur souffle pour revenir dans la routine quotidienne. Face à cela, les banques proposent des prêts comme solution d’urgence pour accompagner les parents durant la rentrée des classes.
Chocolat fait à base de cacaoyers sauvages de Brickaville, d’où il tient son nom. Le chocolat « Brickaville » fait partie de la gamme des « chocolats rares » de l’atelier C, en France, fabriqué en collaboration avec la Chocolaterie Robert. Ce chocolat est aujourd’hui qualifié d’être l’un des plus rares chocolats du monde entier. « Effectivement, « Brickaville » est conçu à base d’une variété assez rare de cacaoyer, les criollos. Une variété rare, vu qu’elle représente aujourd’hui moins de 5% de la production mondiale.
Pour le premier semestre de cette année, la Douane malagasy a collecté près de 1 335,4 milliards d’ariary de recettes budgétaires, soit 47,8 % de la totalité des recettes fiscales de l’Etat. Selon les informations divulguées par la Direction générale des Douanes (DGD), les premières entreprises contribuables sont surtout les compagnies pétrolières. Effectivement, dans le top 5 des entreprises pourvoyeuses de recettes douanières au cours du premier semestre 2019, les quatre premières places reviennent aux compagnies pétrolières. « A la première place, nous pouvons retrouver Jovena Madagascar, suivie ensuite de Galana Distribution Pétrolière et de la Société malgache des pétroles…
Un grand pilier du développement. 80 % de la population malagasy travaillent dans les domaines de l’agriculture et de l’élevage. Afin de mieux promouvoir ces secteurs, le Gouvernement prévoit une augmentation du budget y afférent dans le projet de loi de Finances 2020. Le dernier Conseil des ministres, publié mercredi dernier, a d’ailleurs mentionné cette volonté du Gouvernement de soutenir le développement rural. « Il faut augmenter le budget alloué au secteur primaire et dans la promotion de l’agriculture », note le communiqué officiel.
Agriculture, élevage et pêche. La revalorisation de ces métiers est impérative pour atteindre l’objectif, à savoir l’émergence de Madagascar. Il ne faut pas oublier que plus de 80 % de la population active travaillent dans le secteur primaire. Ce qui fait que la professionnalisation de ces métiers va permettre l’amélioration de la production sur le plan national, que ce soit en termes de quantité que de qualité. Cette amélioration de la production impactera ensuite sur tous les secteurs rattachés, allant de l’industrie au tourisme, en passant par le commerce.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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