On ne connait pas le « froid sibérien » dont, du moins personnellement moi, le pire peut descendre jusqu’à moins quarante degrés Celsius, l’hiver malagasy notamment sur les Hautes Terres affiche, en ce moment, une température avoisinant les 1 à 2 degrés Celsius. C’est pénible à supporter. Le froid s’érige en critère implacable déterminant le niveau de vie des gens. Un élément qui ne triche point pour statuer le pouvoir d’achat de chacun. En réalité, le froid sépare les riches des pauvres, les nantis des gens en situation précaire, les mieux lotis des sans-abri, etc. Bref, des personnes bien installées…