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Un rendez-vous annuel qui célèbre la richesse et la diversité de la culture flamenco. La sixième édition de la Semaine Flamenco de Madagascar se déroulera les 4 et 5 avril prochains. Pour cette année, cet évènement se démarquera par la présence d’artistes de renommée internationale ainsi que des talents locaux passionnés. Cristian de Moret, qui nous présentera sa vision unique du flamenco rock, fusionnant les rythmes traditionnels avec des influences contemporaines pour créer un spectacle électrisant et inoubliable, en fera partie.

Une grande manifestation s’installe  dans les locaux de la Fondation H. Après le succès retentissant de l'exposition inaugurale "Bientôt je vous tisse tous", rendant hommage à Madame Zo, qui a rassemblé plus de 100 000 visiteurs de diverses origines durant la période de son exposition de dix mois, 22 artistes, toutes des femmes, exposeront leurs œuvres à travers l’événement « Memoria : récits d'une autre Histoire ». Elles sont  14 artistes étrangères à participer à la manifestation à l’instar de Joana Choumali, Dalila Dalléas Bouzar, Justine Gaga, Enam Gbewonyo, Georgina Maxim, Tuli Mekondjo, Marie-Claire Messouma Manlanbien, Myriam Mihindou, Josèfa Ntjam, Gosette Lubondo, Barbara Portailler, Selly Raby Kane, Na Chainkua Reindorf, Mary Sibande, et Charlotte Yonga.

Des rumeurs circulent dans les cercles politiques malgaches concernant la possible candidature de plusieurs ministres aux prochaines élections législatives, prévues pour le 29 mai. Parmi les noms cités figurent celui du ministre de l’Intérieur, Justin Tokely, dans le District de Sambava de la Région SAVA, et celui du ministre de l’Industrialisation et du Commerce, Razafindravahy Edgard, dans le District d'Antananarivo Avaradrano, à Analamanga.

Après les différents rapports sur le terrain, il s’est avéré que les dégâts et les pertes en vies humaines ainsi que le nombre des sinistrés a atteint des proportions considérables. Ainsi, il a été décidé en Conseil des ministres que les conditions sont remplies pour décréter l’« Etat de sinistre national » à Madagascar. En effet, selon le dernier bilan du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes, 19 personnes ont trouvé la mort. Le nombre de personnes sinistrées est actuellement de 89 465 dont 22 600 ont été déplacées dans des centres d’accueil ou de sites d’hébergement dédiés.

Phase cruciale

Publié le mardi, 02 avril 2024


Choix du candidat. Si la fin du dépôt de candidature, l’acte décisif, sera effective en cette fin de semaine, le choix du candidat qui portera les couleurs de la formation politique dans une circonscription donnée en est la phase cruciale.
En début d’année, le 15 janvier, nous avions déjà eu l’occasion à travers cette colonne éditoriale d’évoquer dans « Quid du casting » l’importance de la phase préparatoire qui est l’établissement du casting dans le processus électoral. La réussite future du  mandat de la ou du parlementaire dépend étroitement de l’échafaudage ou du montage du casting. De ce casting bien élaboré découlera du bon choix du candidat. A rappeler que la réussite ne se limite pas au moment de l’élection du candidat au poste de maire ou de député, elle se prolongera pour durer tout au long de la mandature de cinq ans. Il est navrant de devoir déclencher la déchéance d’un ou d’une maire ou parlementaire pour cause de conduite inadéquate à son statut d’élu(e) fidèle au principe ou  crédible. L’exclusion d’un élu du rang de la famille politique ou du parti est l’expression quelque part d’un échec de casting sinon du choix de candidat. Nous avions clairement signifié à travers cette Edito du 15 janvier que « l’erreur de casting débouchant vers le mauvais choix de candidat portera certainement et lourdement préjudice aux intérêts majeurs de la Nation ».  L’instabilité d’une Institution, entre autres l’Assemblée nationale, résulte des mauvais choix de candidat. Et quand cette auguste Assemblée se trouve secouée par des mouvements de fronde de quelque nature que ce soit, c’est le pays tout entier qui en pâtit. Au fait, quand l’Assemblée nationale tousse, le pays a de la température, de la fièvre !
Le choix final des candidats ou autrement l’arrêtage de la liste finale des candidats appartient à l’état-major restreint du parti ou d’une plateforme regroupant plusieurs formations soutenant la même idéologie sinon le personnage clé du régime. Pour certains partis qui respectent le principe de la démocratie, le choix des candidats peut être l’aboutissement d’un processus en partant de la base sous forme de « primaire ». La décision finale appartient au bureau politique. Sinon carrément le cas des candidats téléguidés d’en haut. Ce qui n’est pas forcément du goût des membres du parti à la base ! En tout cas, les membres du noyau central du parti doivent se méfier des parvenus sinon des intrus qui arrivent à sauter dans le train … en marche. C’est toujours un danger qui guette en permanence les plateformes ou des coalitions. Des ex de ceci sinon des anciens de cela dont certains parmi eux étaient devenus tristement célèbres pour leurs agissements qui, éreintés par la longue traversée du désert, sautent subtilement sur l’occasion par une opportunité offerte pour afficher leur soi-disant soutien indéfectible au numéro un du pays. D’autres furent des traitres habilement transformés en anges et espèrent revenir aux affaires …
La date butoir du dépôt des dossiers pour acter la candidature est fixée pour ce samedi 6 avril 2024. On suppose que la course pour la dernière ligne droite se fasse sans merci. C’est le moment le plus délicat du processus qu’il faille prendre toutes les précautions. Une phase finale voire cruciale qui déterminera l’avenir.
Ndrianaivo



Un violent incendie a éclaté vers 16h au milieu d'un réseau d'habitations dominant un parking, dans le quartier d'Ankadifotsy, hier. La puissance du feu était telle qu'en moins de deux heures, toutes les 18 pièces qui composent cette maison en brique et assez vétuste, furent complètement dévastées, tout l'ensemble avec. Idem pour les mobiliers qui s'y trouvaient piégés à l'intérieur. Pire, 3 maisonnettes en bois accolées à cette maison furent également réduites en flammes. Mais on peut dire qu'un drame a été évité de justesse. Une locataire, une femme âgée fut piégée, du moins pour quelques moments, dans l'enceinte de sa maison en feu. Une partie de sa chevelure fut déjà léchée par le feu lorsque les secours ont finalement réussi à l'extraire du très dangereux piège, c'est-à-dire en dehors de l'enceinte de la vieille bâtisse. De leur côté, les pompiers n'ont pas encore confirmé. Un portail qui refusait de s'ouvrir depuis l'extérieur, expliquerait le retard des secours sinon l'évacuation de cette locataire, qui est finalement saine et sauve. Les tentatives des riverains pour forcer l'ouverture de ce portail étaient vaines. Idem leurs efforts étaient réduits à néant pour essayer de mâter le feu avec les moyens du bord. Du haut de la fenêtre de sa maison, et avec un seau, un voisin des victimes jetait de l'eau sur la maison en flammes, du moins en attendant l'arrivée des pompiers.
Ces derniers ont dépêché trois fourgons pompes sur place. Vers 18h hier, ils étaient encore à l'œuvre et il faisait presque nuit noire lorsque le feu était finalement éteint. "L'emplacement de la maison sise éloignée et en arrière- plan par rapport à l'artère principale, a compliqué notre tâche. A cela s'ajoutait un problème de source", explique une source au niveau des sapeurs-pompiers de Tsaralalàna.
Pour l'heure, un problème de court-circuit qui se serait produit dans un grenier sis à l'étage, serait à l'origine du sinistre. De son côté, la Police n'a encore confirmé, ni infirmé. Cette Force a instauré un périmètre de sécurité dans un rayon de plusieurs mètres tout autour de la maison sinistrée, notamment dans la zone du parking situé sur la voie principale.
Franck R

La une du 3 avril 2024

Publié le mardi, 02 avril 2024

Actu-brèves

Publié le mardi, 02 avril 2024


La Grande île sollicitée pour rejoindre l'ISCOS dans le cadre de la coopération maritime en Afrique. Dans le cadre d'une démarche visant à renforcer la coopération dans le secteur maritime en Afrique, l'ISCOS (Intergovernmental Standing Committee on Shipping) sollicite l'adhésion de Madagascar. Cette organisation intergouvernementale régionale a pour mission la promotion et la coordination des activités de transport maritime entre les pays membres. Répondant à cette sollicitation, une délégation de l'ISCOS a récemment été reçue par le ministre des Transports et de la Météorologie, Valéry Ramonjavelo. L’organisation exprime son intérêt à accueillir de nouveaux membres afin de favoriser des collaborations fructueuses. L'objectif principal de l'ISCOS est de promouvoir des collaborations bénéfiques entre les Etats membres, notamment à travers la mise en service de lignes de transport maritime et la mise en place de systèmes de formation adaptés. Ces projets rentables pourraient être développés plus efficacement avec l'adhésion d'États africains à l'organisation, selon ses représentants. La politique nationale du transport maritime de Madagascar guide les initiatives du pays dans le domaine maritime. Cette politique nationale pourrait constituer un atout majeur pour l'adhésion de Madagascar à l'ISCOS, comme l'ont souligné les autorités du ministère des Transports et de la Météorologie. En s'associant à l'ISCOS, Madagascar pourrait renforcer sa position dans le secteur maritime régional et contribuer activement au développement de la coopération maritime en Afrique.

Echange de bons procédés : Visite de la Haute Cour constitutionnelle de Madagascar au Bénin. Une délégation de la Haute Cour constitutionnelle (HCC) de Madagascar, dirigée par le doyen des hauts conseillers, M. Noël-Son William, entame une visite au Bénin à partir de ce mardi 02 avril 2024. Cette rencontre vise à renforcer la coopération entre les deux institutions et à échanger sur des questions juridiques et institutionnelles.  La visite de la HCC de Madagascar à la Cour constitutionnelle du Bénin souligne l'importance de la coopération entre ces deux instances judiciaires. Elle reflète la volonté des deux hautes juridictions de partager leurs expériences pour renforcer la démocratie et l'Etat de droit. Au cours de déplacement, la délégation malgache a été accueillie par le président de la Cour constitutionnelle béninoise, le professeur Cossi Dorothé Sossa, ainsi que par l'ensemble des conseillers. Les deux parties discuteront des pratiques et des expériences en matière constitutionnelle, ainsi que des défis rencontrés dans leurs pays respectifs. Il est à rappeler que le mandat actuel de la HCC de Madagascar a débuté le 08 avril 2021 pour un mandat de 7 ans non renouvelable. Présidée par Florent Rakotoarisoa, la Cour est composée de neuf membres, dont le doyen des hauts conseillers, Noël-Son William. Parmi les neuf hauts conseillers, cinq sont des femmes : Germaine Razanoarosoa, Christiane Rakotobe, Antonia Rakotoniaina, Lucette Razanadrainiarison et Rojoniaina Ranaivoson.

Promotion du charbon écologique à Madagascar : Sept producteurs appuyés par le ministère de l’Environnement. Dans le cadre de la promotion du charbon écologique, une alternative durable au charbon et au bois de chauffage largement utilisés dans les foyers malgaches, le MEDD a signé un partenariat avec sept organisations. Il s’agit de Sahaza Charbon, Karma, Mi'Arina, Cadri, Mi-arina, Wanya Mahery, Mada Eco Energie. Il faut savoir que la consommation annuelle en charbon de bois à Madagascar est estimée à 100 kg par habitant en milieu urbain. Cette initiative vise donc à encourager l'adoption du charbon écologique comme une solution durable pour les ménages malgaches, contribuant ainsi à la protection de l'environnement et à la promotion de modes de vie plus respectueux de la nature. L'association AIDES Développement apporte son soutien technique et financier à cette coopération. Selon le ministre de l'Environnement, Andonirina Max Fontaine, l'objectif est d'étendre cette collaboration à l'ensemble de Madagascar en impliquant tous les acteurs concernés.


Assemblée nationale, plus de réunion incitant à la haine dans l’enceinte du Palais. Le ton est donné, plus de gabegie à Tsimbazaza. C’est le vice-président pour la Province d’Antananarivo, Naivo Raholdina qui a affirmé cela hier. « Tous les manifestations, ou réunion ayant attrait incitant à des révoltes, à la haire, ou à toutes formes de déstabilisation de l’Etat seront vivement réprimandées dans l’enceinte du Palais ». Celui-ci a aussi rappelé que la dernière réunion de l’ancienne présidente de l’AN  était censée une présentation de vœux, mais qui a tourné à des déclarations d’incitation aux troubles. «Le cafeteria ne servira plus que pour servir le repas. Les députés ont le droit de donner leur avis et engager le débat politique, mais cela ne signifie pas dénigrer les dirigeants. Cela n’entre pas dans le cadre de l’immunité parlementaire ». Naivo Raholdina a aussi indiqué que si des individus persistent à proférer des discours de haine et de déstabilisation, la sécurité est là pour s’occuper d’eux. Dorénavant, les personnes qui n’ont pas de motif valable seront interdites dans l’enceinte de l’AN. Les membres du cabinet de l’ancienne présidente seront également considérés comme des simples citoyens et doivent suivre les règles de sécurité.



400 millions d'ariary ou 2 milliards de Fmg. C'est la somme que des escrocs ont tenté d'extorquer auprès d'un opérateur économique de la Région de Boeny, un Karana connu pour ses activités de location de véhicules. Ces malfrats ont été pris en flagrant délit le 26 mars dernier, grâce à une opération conjointe entre la direction territoriale du Bureau indépendant anticorruption (BIANCO) de Mahajanga et la Section des recherches criminelles (SRC) de la Gendarmerie nationale locale.
Tout a commencé lorsque des renseignements bien étayés ont été rapportés au BIANCO de Mahajanga, concernant des menaces d'emprisonnement proférées par une bande organisée à l'encontre de l'opérateur économique. Ces malfrats, au téléphone, exerçaient d'énormes pressions sur leur victime, prétendant détenir des documents officiels, tels que des convocations pour interrogatoire émises par le directeur général du BIANCO et par le ministre de la Justice, ainsi que des Interdictions de sortie du territoire attribuées par le ministre de l’Intérieur, pour forcer la victime à concéder des sommes d'argent exorbitantes.
Cependant, toutes ces menaces et manœuvres étaient en réalité des tentatives de soutirer de l'argent à la victime, qui a décidé de se tourner vers le BIANCO de Mahajanga pour obtenir justice. L'opération de flagrant délit qui s'est déroulée le 26 mars a permis d'appréhender les escrocs et de démanteler leur organisation. Les enquêtes judiciaires ont révélé un mode opératoire élaboré, impliquant une association de malfaiteurs bien organisée, dirigée par un commanditaire expert en faux et en extorsion de fonds. Dans le véhicule transportant les suspects, ont été retrouvés des cachets, des badges, des enveloppes ainsi que de faux documents, selon les informations en provenance de la Cité des fleurs.
Le dossier de cette affaire, ainsi que les personnes impliquées, ont été présentés au Parquet du Tribunal de 1ère instance de Mahajanga. Les prévenus ont été placés en détention préventive, tandis que l'instruction de l'affaire se poursuit compte tenu de sa ramification qui saute aux yeux. Autrement dit, des complices sont ainsi recherchés.
La Rédaction

L’autisme est un handicap et non une maladie. Pourtant, les enfants autistes sont souvent exclus, non seulement au sein de la communauté mais aussi dans plusieurs domaines, dont l’éducation. Ramihanta, la grand-mère de F., un garçon autiste, en témoigne. « Mon petit-fils a déjà été scolarisé dans une école privée quand il était petit. Il faisait partie des meilleurs élèves de sa classe. Mais quand il a changé de maîtresse dans la classe supérieure, il ne voulait plus retourner à l’école après avoir été traité "différemment". Il a horreur des maîtresses jusqu’à maintenant. Il est également comme ça dans la société, c’est-à-dire solitaire, sélectif et souvent asocial », nous relate la mamie. « F. peut écrire des lettres, comme "a", "o", "i",… mais il ne sait pas les assembler pour former des mots ou phrases. On a voulu l’inscrire dans un centre spécialisé ou une école inclusive, mais les frais de scolarité y sont hors de notre portée. Nous espérons vivement qu’avec une aide venant de l’Etat, ces frais pourront être révisés à la baisse afin que tous les enfants autistes puissent être éduqués comme il se doit », ajoute la grand-mère.
Mihanta Ravelonarivo, coordonatrice de projet au sein d’Autisme Madagascar, reconnait le fait que l’inclusion et l’éducation des enfants autistes restent des défis. « Les enfants autistes sont exclus dans la piscine. A l’école, ils sont punis pour perturbation de la classe. Souvent, bon nombre d’écoles refusent leur scolarisation puisque les enseignants ne savent pas quoi faire d’eux. Quand ils font une crise dans la rue, on les traite d’indisciplinés », illustre cette responsable. Autant de cas d’exclusion auxquels cette association veut remédier à travers la présentation de l’autisme et la promotion des droits des autistes. Les parents de ces enfants « hafa kely » ainsi que les enseignants et éducateurs ou encore les personnels de santé bénéficient également de formations et renforcement de capacités, afin de mieux éduquer et prendre en charge les enfants autistes. « Leurs comportements "anormaux" peuvent être canalisés. La preuve, c’est que des autistes ont pu ou peuvent fonder une famille et avoir des enfants. Ils ont également la possibilité d’exceller et de s’épanouir dans divers domaines », argue notre interlocutrice.
La Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, célébrée chaque 2 avril, constitue une occasion d’agir ensemble pour soutenir les personnes autistes et œuvrer afin de créer une société inclusive. L’association Autisme Madagascar n’a pas manqué de célébrer cette journée hier, à travers une grande marche et un flash mob depuis Ambohijatovo jusqu’à Mahamasina. Diverses activités sont également au programme durant ce mois d’avril afin de renforcer les sensibilisations et plaidoyer pour la promotion des droits des autistes. Offrir des opportunités équitables en matière d’éducation et d’emploi à toutes ces personnes extraordinaires fait partie des défis à relever…
P.R.



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Editorial

  • Enfin !
    De la lumière ! Qu’importe jusqu’à quand ! Ne soyons pas trop grincheux ni trop hargneux ou d’éternels insatisfaits. Les délestages seront réduits de 6 heures à 20 heures. C’est déjà ça ! Sur le plateau de la Télévision nationale (TVM), le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina annonce dans la soirée de jeudi dernier la réduction notable des délestages sur la zone interconnectée (RIA) mais aussi à Mahajanga et à Antsiranana. A l’issue d’une réunion du locataire d’Iavoloha, au Palais, avec les responsables dirigeants de la Société nationale qui ont pris l’engagement à condition qu’on augmente la quantité du carburant livré, ce que le Président Rajoelina concède. Et donc, la galère due aux coupures de courant intempestives devra cesser du moins limiter à des heures de la nuit, de 20 heures jusqu’à 6 heures. En personne, il l’a fait savoir pour rassurer la population. Enfin ! Toutefois, on croit…

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