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Andry Rajoelina a ouvert grand les portes de Madagascar aux investisseurs dans son discours à la cérémonie d’ouverture du Choiseul Business Africa Forum 2022 à Casablanca, hier. Invité d’honneur à ce forum, le Président de la République malagasy indique, notamment, aux investisseurs, que la Grande-île est « une terre d’accueil, hospitalière, avec une population pacifique, volontaire et dynamique ».  Devant le parterre, le Président Rajoelina explique à cet égard que Madagascar est « résolument décidé à prendre part à l’essor panafricain et à émerger comme un territoire d'opportunités d'affaires, à forte croissance et d’investissement ». Plaidant la cause de la Grande-île, le Chef de l’Etat souligne que notre pays a un potentiel incontestable pour devenir un grand pays dynamique.  Pour faciliter et accompagner la mise en œuvre des projets dans un climat d’affaires idéal, l’Etat malagasy invite ainsi « ceux et celles qui veulent monter dans ce wagon-train pour atteindre l’émergence de Madagascar ». Le numéro Un malagasy note d’ailleurs durant son allocution que la participation de Madagascar au forum témoigne « de notre volonté et de la conviction du Gouvernement malagasy dans l’importance du partenariat public-privé qui est le socle de tout développement économique efficace ».
Entre 6 800 et 10 000 km de routes à construire
Ce forum de Casablanca réunit quelque 700 décideurs et hauts dirigeants économiques et institutionnels parmi les plus influents en Afrique, d’Europe et du Golfe, de 50 pays, autour de séances de travail opérationnelles plaçant le continent africain au cœur des débats. Andry Rajoelina, dans ce contexte, a longuement insisté sur le rôle central de l’Afrique dans l’économie mondiale, grâce, notamment, à ses ressources importantes. « Le continent africain prospère et le développement est à portée de main grâce à l’industrialisation de nos pays », affirme le Président malagasy. Un processus dans lequel Madagascar est engagé. Durant son discours, le Président a partagé les priorités de la  Grande-île afin de devenir un pays émergent. Des priorités retranscrites dans le Plan émergence de Madagascar parmi lesquelles figurent l’augmentation de la production énergétique, le développement des infrastructures, le domaine agricole et l’industrialisation. Le Chef de l’Etat rappelle, entre autres,  que Madagascar envisage d’atteindre 652 mégawatts supplémentaires en 2027, de construire entre 6 800 et 10 000 km de routes dans les prochaines années, d’atteindre l’autosuffisance alimentaire et redevenir le grenier rizicole de l’océan Indien ou encore de parvenir, d’ici à 2024, à l’indépendance en ce qui concerne la production de sucre.
Lalaina A.


La ligue de football nationale de Madagascar « Orange Pro League » a été invitée à participer à la réunion annuelle de la World League Forum (WLF) qui s'est tenue  à Dubaï, aux Emirats Arabes-Unis pendant deux journées, les 19 et 20 octobre 2022.

L'OPL qui a été créée en 2019 a intégré la WLF le 18 février 2022. En tant que membre du forum, le championnat national malagasy a l'opportunité de s'échanger avec les autres ligues majeures mondiales, et de construire des liens de partenariat.

La délégation malagasy, dirigée par le président de l'OPL Arno Steenkist, est composée du secrétaire général, Stanislas Rakotomalala, de son prédécesseur Mirado Rakotoharimalala, et du président fondateur du CFFA Andoharanofotsy, équipe championne de la dernière saison, Henintsoa Rakotoarimanana.

Les représentants de la ligue de Madagascar ont pris part à des ateliers sur les défis et opportunités du football moderne (blockchain, NFTs, Web 3.0), mais également sur les récents et futurs développements des lois des jeux.

La journée du mercredi  a été consacrée à la réunion annuelle (assemblée générale) durant laquelle seront consacrés les points sur les statuts des membres, la gouvernance, le football féminin, le développement, le calendrier et les diverses régulations.

En simultané avec ces activités programmées, la WLF offre à ses membres des occasions de s'échanger et de nouer des collaborations entre eux. Sur ce point, l'OPL a pu obtenir près de 7 rendez-vous avec ses homologues internationaux. L'issue de ces rencontres sera communiquée ultérieurement.

Notons que la WLF regroupe plus de 40 membres dont les mastodontes Premier League, Bundesliga, LaLiga, Série A, Ligue 1, MLS, mais également les ligues africaines comme celles d'Algérie, de Maroc, d’Egypte, du Nigeria, d’Afrique du Sud, du Zimbabwe, et donc récemment de Madagascar.
Recueillis par E.F.



Une cause du taux d’absentéisme assez élevé chaque mois. Bon nombre de jeunes filles âgées de 10 ans et plus cessent les cours durant leur période de menstruation, notamment en milieu rural. Ceci d’autant plus que bon nombre d’entre elles utilisent juste des bouts de tissu ou autres à la place des serviettes hygiéniques. L’accès à ces dernières reste limité, tout comme les infrastructures sanitaires qui se font rares, tant dans les établissements publics que ceux privés. Pour la Circonscription scolaire (CISCO) d’Ambositra, dans la Région d’Amoron’i Mania, « seuls  2 % des établissements publics disposent de douches, dont les collèges d’enseignement général (CEG) d’Ilaka centre, de Fehizay et de Vinaninoro », d’après Mao Marihno Randrianasoloson, premier responsable. Ladite Circonscription recense pourtant 327 écoles primaires publiques (EPP), 56 CEG et 9 lycées. Les nouvelles constructions financées par des partenaires ont légèrement amélioré la situation, quoique les infrastructures sanitaires restent insuffisantes.  D’un autre côté, la coupure d’eau constitue un grand problème en cette période d’étiage. Pourtant, l’eau est indispensable notamment pour la gestion de l’hygiène menstruelle. La construction de forages dans plusieurs Fokontany d’Ambositra, dont Morafeno, font partie des solutions proposées pour y remédier.
« iKa’lio » pour améliorer les connaissances
Promouvoir la gestion de l’hygiène menstruelle (GHM). Telle est la finalité du jeu « iKa’lio », créée par l’UNICEF Madagascar afin d’améliorer les connaissances, les attitudes et les pratiques autour de la GHM. Ceci à travers les différents messages que le jeu 100 % malagasy véhicule. Il a été inspiré du jeu de société « Katro », notamment les règles à suivre. Il compte 28 points en référence au cycle menstruel ainsi que des cartes et jetons à la disposition des joueurs. Le jeu tourne autour de 4 piliers, à savoir l’accès à l’information générale, les compétences et connaissances, l’accès aux infrastructures ainsi qu’aux serviettes hygiéniques. Il est mis à la disposition des communautés, des autorités locales, des éducateurs, du personnel de santé, et en particulier les femmes, les jeunes et les adolescent(e)s afin de susciter un engagement collectif de toutes les catégories de population sans distinction de genre, d’âge et de culture afin de soutenir les femmes et les filles durant leur menstruation.
Sensibilisations dans l’Amoron’i Mania
Après son lancement dans la Région d’Analanjirofo, le 28 mai de cette année, la dissémination d’ « iKa’lio dans les autres Régions se fait actuellement. Amoron’i Mania a accueilli les activités y afférentes, la semaine du 10 octobre dernier, en collaboration avec l’ONG Sahi et d’autres partenaires de l’UNICEF. Le but étant de soutenir les jeunes filles et femmes afin qu’elles puissent vivre normalement durant leur menstruation. Sa vulgarisation se fait auprès des établissements scolaires, où le jeu a été enseigné aux élèves et instituteurs. L’EPP de Raramonja et le CEG d’Ambohimiadana Ambositra ont accueilli les sensibilisations y afférentes. « Outre l’absence, la menstruation engendre le gêne et la honte auprès des élèves. Ce jeu, à la fois intéressant et informatif, va nous aider à renforcer les sensibilisations à l’hygiène, notamment celle menstruelle, à l’école. Nous envisageons de consacrer deux heures chaque vendredi pour apprendre à jouer à "iKa’lio" avec les élèves en classe de 8ème et 7ème », fait part Ninà Marie Gorettie Vasilisa, directrice de ladite EPP.
Notons que des activités au sein des communautés sont aussi mises en œuvre dans le cadre de la vulgarisation du jeu «  iKa’lio ». La sensibilisation communautaire ou encore l’« Alafady », mis en œuvre par l’ONG Sahi pour déclencher et lever les tabous auprès des autorités et notables locaux, en font partie...
Patricia Ramavonirina






Coup d’envoi hier de la 24e édition du salon international de l’habitat au Forello Expo Tanjombato. Une édition conduite sous le signe de la relance du secteur construction autant pour les exposants que pour les organisateurs, ainsi que les visiteurs. L’évènement se veut être ainsi une occasion d’acter à nouveau du dynamisme de la filière BTP. Secteur d’activité où une évolution importante a été remarquée depuis quelques décennies. Notamment les offres faites sur le marché en matière de menuiserie aluminium, de matériaux respectant les normes internationales et d’une main- d’œuvre de plus en plus qualifiée. « A souligner également la course à la concurrence dans le paysage des enseignes internationales dans le domaine de la construction révélant a minima de la solvabilité sonnante et trébuchante d’une partie des consommateurs malagasy. Durant quatre jours d’exposition, chaque participant aura l’opportunité d’améliorer ses offres commerciales, moment
unique dans la rencontre du commerçant avec l’acheteur », explique Nicolas Martin, directeur général de l’agence première ligne initiatrice de l’évènement. Toutefois, la question de l’urbanisation doit être abordée au quotidien, surtout avec la pression démographique actuelle. Dans ce sens, des projets émergent déjà autant dans le secteur public que dans le privé. De plus, le désir des familles malagasy d’être propriétaire ne s’est pas estompé au fur et à mesure des années. Au contraire, les constructions se multiplient d’année en année. Pour preuve, en moins d’une décennie, la consommation de ciment a doublé à Madagascar. Cette consommation se concentre particulièrement à Antananarivo et à Toamasina. Et selon les prévisions des experts dans ce domaine, cette consommation pourrait de nouveau doubler pour les dix prochaines années.

Essor continu

En effet, en plus d’être le socle du développement social, le secteur du bâtiment est un des piliers de l’économie nationale. Le secteur immobilier maintient son essor continu, malgré le contexte de crise mondiale et l’onde de choc de flambée de prix à l’international, n’épargnant aucun secteur. Face à cela, l’Etat malagasy confirme sa volonté politique à faciliter l’accès de la population au logement décent. Pour ce faire, l’Etat se positionne en tant que facilitateur et met en œuvre des mesures incitatives en soutien au développement du secteur logement afin de favoriser une contribution plus soutenue du secteur privé. « La loi sur la promotion du logement, promulguée en janvier 2022, définit les responsabilités de chaque acteur du logement et met en place des outils spécifiques (RSE logements, Autorité nationale du logement, Fonds national du logement, règlementation de la VEFA...). Différentes offres de logement sont réparties sur les 23 Régions, en système de vente-location ou d’auto-construction. La création de réserves foncières dédiées au logement est lancée. Les recherches en technologies et matériaux innovants pour « construire écologique » dans les normes et qualités requises sont encouragées et soutenues. Le salon international de l’habitat est notre rendez-vous annuel, nous, acteurs du logement, qui avons chacun notre manière de contribuer au développement du secteur à Madagascar », rajoute Gérard Andriamanohisoa secrétaire d’Etat chargé des Nouvelles villes et de l’Habitat auprès de la Présidence de Madagascar (SENVH).
Hary Rakoto
 


Les responsables étatiques à tous les niveaux feraient bien de s’en tenir strictement au principe de séparation des pouvoirs. Le discours de la présidente de l’Assemblée nationale Christine Razanamahasoa lors de l’ouverture de la deuxième session ordinaire en cours est riche en enseignement. Il rend compte clairement de la fragilité de la séparation des pouvoirs à Madagascar.
Le big boss de l’Hémicycle malagasy a mis les points sur les « i ». Elle a même abordé des aspects extrêmement sensibles à l’origine du dysfonctionnement de l’appareil administratif de la République. En quelques phrases, l’élue d’Ambatofinandrahana a fait le tour d’horizon. Elle a dénoncé l’interférence entre le pouvoir exécutif le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire.
Les agissements de certains membres de l’Assemblée nationale et leurs proches collaborateurs, récemment rapportés par la presse et sur les réseaux sociaux, ont éclaboussé l’image de l’institution de Tsimbazaza. Ils ont mis au grand jour les abus et les usurpations de fonction perpétrés par des faiseurs de loi qui se muent en faiseurs de dégâts. Mais tous ces fracas ne sont que la partie immergée de l’iceberg.
Grande surprise
Le milieu judiciaire se révèle plus souvent comme le terroir de l’interventionnisme du pouvoir exécutif et du pouvoir législatif. Tenus par la loi du silence, les fonctionnaires de la justice demeurent discrets sur les affaires potentiellement préjudiciables à la vie sociale et au devenir de la Nation. Les langues se délient quand même en coulisses.
Nonobstant l’indépendance de la Justice, des hauts responsables étatiques et des parlementaires se placent au-dessus des juges et magistrats. L’on entend souvent parler de lettres en bonne et due forme émanant de tel ou tel organe de l’Exécutif ordonnant la libération d’une telle ou telle personne. Pourtant, celle-ci a commis des infractions graves comme le détournement de deniers publics se chiffrant à plusieurs millions voire milliards de la monnaie nationale.
A ce propos, si le discours de Razanamahasoa avait eu lieu avant les municipales et communales de 2019, la ville de Moramanga aurait un maire et des conseillers municipaux élus. Le vote se déroulait bien au profit du candidat du parti de l’Opposition Tiako i Madagasikara. Mais, à la grande surprise de tous, le scrutin était annulé pour cause de soi-disant irrégularités qui n’ont jamais fait l’objet d’aucune requête.
Violation fragrante
Le secret a commencé à filtrer dès l’annonce de la suppression du vote. Des députés du parti majoritaire, par peur et éhontés car incapables de convaincre l’électorat, auraient
fait pression sur les juges administratifs de Toamasina pour qu’ils aient prononcé un autre verdict. Ironie du sort, les restrictions imposées par la pandémie en 2020 et en 2021 ont repoussé aux calendes grecques l’organisation d’une nouvelle élection qui n’aura plus lieu jusqu’à la nouvelle échéance électorale de 2023.
Le cas de Moramanga que personne n’ose crier haut et fort pour des raisons évidentes offre un bel exemple de la violation fragrante de la séparation des pouvoirs et de son impact sur la vie de la population. A cause de ce méfait, la ville carrefour est mise dans tous ses états. Les projets initiés au niveau local sont au point mort tellement la méfiance et la dissonance au sein de l’administration sont handicapantes.
Tout blocage qui amplifie la pauvreté endémique sur l’île trouve sa racine dans le non- respect manifeste de la séparation des pouvoirs qui ouvre une avenue aux abus de toutes sortes, à la corruption et à la paralysie de l’appareil d’Etat. Quand ce dernier est grippé, le développement et la croissance sont des coquilles vides. Heureusement, les organisations de la société civile sont assez dynamiques pour servir de balises de temps à autre à moins que leurs appels de détresse soient écoutés.
M.R.

Ouf de soulagement. Bloquées dans le pays, faute de moyens financiers du ministère des Sports (MJS) et de la Fédération malagasy d'athlétisme (FMA), deux athlètes nationaux pourront désormais rejoindre leur camp d'entraînement à Dakar (Sénégal). 

 

Après que les taxis-motos ont eu l'autorisation d'exercer dans la ville d'Antananarivo, les taxis-bicyclettes ont effectué une manifestation, hier, à Anosizato, engendrant un embouteillage monstre sur cet axe. " Nous avons été poursuivis par la Police municipale et quelques-uns d' entre nos camarades ont été mis en fourrière", explique un des leurs. Les vélos demandent une autorisation d'exercer librement, comme les taxis-motos. Une demande qui a été, tout de suite, rejetée par la CUA. 

 

Les déchets plastiques constituent le premier polluant qui menace l’environnement marin dans le monde. Chaque année, 8 millions de tonnes de plastiques sont jetés dans les mers du globe. Dans les mers de l’océan Indien du sud dans lesquelles se trouve Madagascar, Maurice ou les Comores, les chiffres sont encore flous faute de documentation fiable. C’est afin de trouver une solution pérenne face à cette menace et réutiliser le plastique dans d’autres applications qu’une réunion internationale sur le plastique dans l’océan Indien a été effectuée au Carlton Anosy.

 

Marathon !

Publié le mercredi, 19 octobre 2022

En pleine course, une course contre la montre, Madagasikara engage la vitesse supérieure d’un TGV. Et pour cause, l’urgence de la relance de l’économie nationale. Il n’y a pas de temps à perdre. Le pays s’enfonce. La situation empire. Tous les moyens légaux sont bons. Et ne pas sous-estimer toutes les bonnes occasions. En effet, il ne faut pas rater toutes les opportunités qui se présentent afin de redynamiser le pays notamment l’économie. Et il faut aller vite ! C’est un véritable marathon !

 

Mondial 2022 - Une multitude d’articles chez Baolai

Publié le mercredi, 19 octobre 2022

Dans le monde entier, les fans du ballon rond sont tenus en haleine à 2 mois seulement du coup d'envoi du plus grand tournoi de football. La Grande île se met au parfum de cet évènement universel, avec la marque « Hisense », sponsor du « Mondial de football 2022 » au Qatar, représenté officiellement à Madagascar par la société « Baolai » depuis 12 ans. 

 

Fil infos

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  • Production d’énergies renouvelables - L’Etat encourage les investissements privés
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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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