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Le président de la ligue Analamanga et nom moins président fondateur du club champion de Madagascar en titre Henintsoa Rakotoarimanana alias Tôta s’acquiert un nouveau casque. Car, le chef magistral de la Commune Urbaine d’Andoharanofotsy vient d’être élu par les membres du CFEM (Club de football Élite de Madagascar) par les membres ce week-end dernier à l'issue d'une assemblée élective tenue à Mahamasina. Il dirigera donc l’association organisateur du championnat de Madagascar division Élite durant les trois années à venir 2022-2025. Le président sortant Arno Steenkist, président du club Fosa Junior Boeny, est réélu premier vice-président par les membres et Laurent Randrianirina est reconduit comme deuxième vice président. Six prétendants  étaient candidats à ce poste.

 

« La qualité de l'air pourrait devenir malsaine pour tout le monde et les personnes sensibles pourraient subir des effets plus graves sur leur santé ». Zo Andrianina Rakotomavo, chef de service des recherches hydrométéorologiques auprès de la Direction générale de la météorologie (DGM) nous avertit sur ces propos. Autrement dit, la pollution de l'air risque de s'empirer avec la situation actuelle, au détriment de la santé publique. La qualité de l'air est malsaine depuis le début de ce mois d'octobre, notamment à cause des feux de brousse, les fumées dégagées de la cuisson des briques d'argile ou encore les incendies de toute part, y compris celui qui se déroule à la décharge d'Andralanitra.

« Observez votre poitrine tous les jours. Palpez-vous quotidiennement. Cela doit être une habitude chez la femme dès l’âge de 30 ans. C’est gratuit et c’est facile à faire ». Dr David Khelif, oncologue radiothérapeute au sein de la Polyclinique d’Ilafy, le recommande. « L’observation de la poitrine et l’autopalpation constituent les premiers gestes à adopter, lesquels pourraient vous sauver la vie. En fait, un nodule en dessous d’un centimètre constaté à temps peut être guéri à 100 %, avec une poitrine intacte et un coût onéreux. Si le dépistage est tardif, vous risquez de perdre votre sein malgré un traitement coûteux, alors que les étapes de guérison ne sont pas entièrement garanties », ajoute ce spécialiste. 

 

Septicisme et optimisme. Les représentants du secteur privé à savoir le Groupement des entreprises de Madagascar (GEM), le Groupement des entreprises franches et partenaires (GEFP) ou encore le Syndicat des industries de Madagascar (SIM) ont été en concertation avec les représentants du secteur public depuis vendredi concernant les mesures à prendre pour la Grande île afin de se préparer à l’intégration de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF).

Vers le professionnalisme. Faire des membres du « Voa’art, l’orchestre national de Madagascar », des chanteurs et artistes professionnels, c’est le pari lancé par le ministère de la Communication et de la Culture. Après la formation des chanteurs dispensée par le chef de chœur Xavi Ribes, c’est maintenant au tour des violonistes et violoncellistes de recevoir des cours. A cet effet, en collaboration avec l’Académie nationale des arts et de la culture (ANAC), deux enseignants de musique de renommée internationale sont de passage dans la Grande île durant deux semaines pour partager leurs expériences avec les membres de la chorale et les enseignants au sein du « Voa’Art ».

Comme annoncé la semaine dernière, le ministre de la Justice a lancé la réquisition des greffiers indispensables au fonctionnement de la machine administrative. Le Garde des Sceaux François Rakotozafy a confirmé hier en interview dans ses bureaux à Faravohitra que l’annonce a été mise à exécution. « Une telle mesure devait être prise », assure le ministre de la Justice, face au blocage des rouages de la Justice causé par la grève annoncée illimitée et sans service minimum du syndicat des greffiers de Madagascar. Une grève qui dure depuis maintenant près de 20 jours. « La loi m’autorise à prendre des réquisitions. Des réquisitions ont été lancées », affirme ainsi le ministre.

 

Vers 21h30 le19 octobre dernier, un incendie a éclaté, dévastant ainsi la forêt sise à environ 400m de l'axe RN2, à Betavolo, Fokontany de Mandraka, Commune rurale d’Ambatolaona, au PK 64. Environ 40 ha de forêts ont été consumés par le feu. Depuis, la Gendarmerie a recherché les auteurs du forfait et a finalement arrêté 9 personnes. Elles ont été déférées au Parquet, hier. Or, après le déferrement, toutes les personnes arrêtées ont bénéficié d'une liberté provisoire, en attendant la prochaine audience.

La une du 24 octobre 2022

Publié le dimanche, 23 octobre 2022


Lors de l’évènement musical baptisé Jazz@Tohatohabato qui a duré quatre jours dans la Capitale, le public a vraiment pris du plaisir et il l’a montré. D’ailleurs, le beau temps était également au rendez-vous, ce qui a permis aux spectateurs de savourer le goût de la musique jazz. Lors de la clôture du festival qui s’est tenu du haut de l’escalier d’Antaninarenina, la formule Jazz@Tohatohabato a pris son summum puisque les voies de circulation aux environs d’Analakely étaient coupées. Les escaliers d’Antaninarenina et les rues se sont transformés en un grand lieu de spectacle où le public était venu en masse pour se détendre, écouter de la bonne musique en passant un après-midi de jazz avec des artistes locaux et internationaux.
Considéré comme une véritable animation phare dans la vie culturelle des habitants de la Capitale, Jazz@Tohatohabato a fait son retour au cœur du centre-ville après deux années de disette. Une occasion pour les mélomanes d’écouter des morceaux de jazz, des hits revisités dans un décor bucolique. Sous les escaliers, les paliers et l’avenue de l’Indépendance, une grande foule se rassemble sur les bancs de pierre, sur les chaises en carton ou sur le sol goudronné pour se laisser porter par le courant de la musique, animé par les membres du « Jazz Club » du CGM, Bakomanga Junior, Fanaiky, Joël Claude, Minah Bolimakoa, AF Jazz, Joro J Quartet et la musicienne Fabia Mantwill - venue directement d’Allemagne pour partager son savoir-faire.
Alléchantes
En outre, si les plus jeunes ne semblent pas montrer un grand intérêt pour le jazz, les organisateurs du Jazz@Tohatohabato ont pensé à eux en leur proposant l’événement « Jazz Kids » qui s’est tenu durant la première journée de festival au Skate Park Antanimena, avec la participation des plus jeunes initiés de la musique jazz. Comme il a été annoncé auparavant,  jusqu’à hier soir, les sons de batterie, contrebasse, saxophone, clavier, guitare… ont résonné encore dans la ville des mille. Comme à l’accoutumée, l’ambiance a été tout à fait festive et le public était entièrement comblé de bonheur. Entre musique et découverte, une chose est sûre : le festival Jazz@Tohatohabato demeure convivial.
A rappeler qu’en parallèle, d’autres concerts de jazz ont été organisés dans la Capitale. On peut mentionner le « Jazz VIP » qui s’est tenu à l’hôtel Radisson Blu, dans l’enceinte de Tanà Water Front, Ambodivona. Les Tananariviens ont également pu apprécier des animations musicales mobiles durant lesquelles quelques musiciens du « Jazz Club » se sont déplacés et ont joué sur un camion en effectuant le tour de la ville. Par ailleurs, il y a eu aussi le « Jazz Street », une soirée de jam session ouverte au public. Il s’agissait d’un ensemble de mini-cabarets où quelques-uns parmi le public ont partagé leur talent musical, accompagnés par le « Jazz Club » du Cercle germano-malagasy (CGM). A l’occasion, quatre mini-scènes ont été installées sur les paliers de l’escalier d’Antaninarenina pour satisfaire les mélomanes de la Capitale.
Sitraka Rakotobe

Climat politique serein 

Publié le dimanche, 23 octobre 2022

Succès triomphal de la délégation malagasy conduite par le Chef de l’Etat Rajoelina Andry et son épouse au Maroc (Casablanca) pour le compte du « Choiseul Africa Business Forum ». L’objectif de vouloir dérouler le tapis rouge aux investisseurs fut atteint. A la conquête des investisseurs, Rajoelina en sa qualité d’invité d’honneur, entouré de ses proches collaborateurs ainsi qu’une brochette d’opérateurs nationaux, a réussi à capter les intérêts des opérateurs potentiels internationaux sur les multiples opportunités que la Grande îleest capable d’offrir. Il a fallu exposerintelligemmentdes arguments en béton pourattirer les attentions. Il a fallu également les rassurer. Selon des sources officielles venant de Casablanca durant le forum, l’objectif est atteint ! Les investisseurs de grosse pointure n’ont pas caché leurs intérêts. Ce fut incontestable une prouesse politique et technique ! Mais le plus dur reste à faire.
Deux paramètres essentiels entrent en jeu pour transformer en but marqué « l’essai » réussi. D’abord, un climat des affaires propice aux activités d’investissement. Entre autres, l’existence d’un code des investissements de nature à rassurer les investisseurs est primordiale. Un cadre juridique de travailcontribuant à l’épanouissement des activités s’avère un atout de taille. Une source énergétique suffisante, au quotidien, constitue un paramètre vital à toute activité bureautique et industrielle. Les délestages et les coupures d’eau intempestifs de la JIRAMA ne rassurent guère.
Un climat des affaires propre aux activités économiques ne suffit pas, il va falloir mettre en évidence un climat politique serein. En effet, il s’agit là d’un paramètre incontournable. Entre autres, la stabilité politique ! Les opérateurs aux grands capitaux ne peuvent pas évoluer dans un climat politique trouble ni même dans un contexte de menace permanente d’instabilité.
Selon le rapport du gouverneur de la Banque centrale, Henri Rabarijohn, le pays prévoit cette année une croissance de 3,6 %. En effet, à partir des analyses minutieuses et élaboréesdes éléments constitutifs de l’économie nationale, l’espoir de voir la relance du pays prend forme. Une condition favorable aux injections de devises fraiches pour booster la relance de l’économie. C’est le moment idéal pour redécoller ! Les investisseurs, convaincus des intérêts que suscitent Madagasikara, seront les bienvenus.
La crise sanitaire de deux longues années consécutives  et les impacts négatifs de la guerre en Ukraine mettent à plattous les espoirs de redresser le pays dans l’immédiat. Le secteur du tourisme, la principale victime, ainsi que les activités industrielles déclinent vers le bas.
En cette période de la remontée en surface de la vie nationale, toutes les précautions prévalent contre toute tentative de créer des situations de trouble. Les dirigeants se doivent de ne pas permettre toutes initiatives subversives de nature à déstabiliser le pays. Les investisseurs potentiels veillent au grain sur ce point.
En vingt ans, le Rwanda a réussi à relancer l’économie. Il a fallu à Paul Kagamé d’instaurer un régime fort mais non de dictature et mettre au pas la population entière et faire régner un climat de paix. Ainsi, en deux décennies les Rwandais parviennent à hisser leur pays au rang des Nations émergentesafricainesau même grade que les Sud-africains, les Nigérians ou les Egyptiens, etc.
Tous les acteurs politiques du pays, dirigeants et Opposition, ont ensemble la même responsabilité d’instaurer le climat politique serein.
Ndrianaivo

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Editorial

  • Foire de tous les espoirs
    La FEPA ferme ses portes. Le rideau est tombé sur la 16ème édition de la Foire de l’élevage et de la production animale. Un évènement de taille qui a suscité beaucoup d’intérêts et par conséquent a attiré une grande affluence surtout chez les jeunes en herbe en quête d’activités porteuses pour un lendemain enchanté. Sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE), la FEPA s’était tenue du 25 au 28 mars à Nanisana, dans la mythique enceinte dédiée à ce genre d’évènement. Selon les termes des organisateurs, la FEPA ambitionne d’éveiller les intérêts chez les jeunes sur l’importance des activités lucratives générées par l’élevage et la production animale en vue de la relance de l’économie du pays. A en croire l’affluence des visiteurs durant ces quatre jours d’affilée qui, en fait, ont envahi les stands et leur curiosité et leurs intérêts à suivre les exposés des exposants, la…

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