Nos archives web

Actuellement, le commissariat de police de Tanambao II à Toamasina, lance un avis de recherche sur deux employés d'une agence de microfinance  de cette localité. Il s'agit de Haingonirina serge Aimé Randriarimanana, chef d'agence, mais aussi de Natacha Randrianomenjanahary, cette jeune caissière au sein de la première agence  de microfinance. Plusieurs accusations present sur les fugitifs. Mentionnons entre autres un abus de confiance, du vol mais aussi de faux et usage de faux. Les forces de l'ordre préviennent désormais que tous ceux qui les hébergent ou  les cachent, sont considérés comme des complices et sont donc passibles d'une poursuite, selon la loi en vigueur. 

Opérationnel d'ici peu. La mise en place d'un Tribunal spécial dans le traitement des cas de violence basée sur le genre (VBG) a fait partie des priorités de la Première dame Mialy Rajoelina, lors de sa nomination en tant qu'Ambassadrice dans cette lutte, en avril 2019. Un an et demi plus tard, ce projet vient d'être concrétisé par le ministère de la Justice, à travers une circulaire sortie hier. « La chaîne pénale anti-violences basées sur le genre (CPA-VBG) a été instituée pour renforcer davantage la poursuite et la répression des infractions, tant celles déjà connues et punies par le Code pénal que celles introduites dans la nouvelle loi n° 2019-008 », communique le ministère. Elle permettra également la quantification et la centralisation des données destinées à évaluer la performance de la Justice pénale dans cette lutte.

Gonflement de prix des produits essentiels. Depuis le 1er novembre dernier, la plupart d'entre les magasins, centres commerciaux et importateurs ont augmenté le prix de leurs marchandises. Une situation qui, d'après leurs explications, est due à la dépréciation de l'ariary. En effet, ces produits sont en général en provenance de l'étranger comme la Chine. « Tous nos stocks sont déjà épuisés peu après la période de confinement, et ceux que nous vendons actuellement sont de nouveaux arrivages », avance une vendeuse dans une boutique à Soarano.

Leçon à retenir

Publié le mercredi, 04 novembre 2020

L’Europe rechute. La France trébuche. L’Allemagne retombe, etc. Le coronavirus revient en puissance dans le vieux continent. Le confinement retrouve son chemin. Les Gouvernements européens n’ont point d’autres choix que d’obliger leurs concitoyens à se remettre au … confinement tout en imposant les gestes barrières. Jusqu’à preuve du contraire, le « confinement » associé de près par les mesures barrières demeure la solution la plus efficace pour endiguer, au plus vite, la propagation de la Covid-19.

La DPA déjà dépassée d’un mois. Le divorce entre Air Madagascar et Air Austral a été officialisé au mois de juillet dernier. La CNAPS (Caisse nationale de prévoyance sociale) est donc devenu le nouveau partenaire de la compagnie aérienne malagasy. Au tout début du mois de septembre, Mamy Rakotondraibe, directeur général de la CNAPS et président du Conseil d’administration d’Air Madagascar, a annoncé qu’un business plan devrait être concrétisé à la fin du mois de septembre. « Nous organisons en effet des réunions hebdomadaires pour l’élaboration d’un nouveau plan d'affaires. Nous espérons identifier d’ici là LA stratégie pour pouvoir ensuite la présenter aux partenaires ainsi qu’aux créanciers, sans oublier l’Etat malagasy », avait-il déclaré à la presse le 2 septembre dernier.

« On ne va pas dépasser le taux d'inflation de 6 % jusqu'à la fin de l'année ». Tels sont les mots du gouverneur de la « Banky Foiben'i Madagasikara » (BFM), Henri Rabarijohn, hier, lors d'une conférence de presse à Antaninarenina. Il faut dire que la perception de la dépréciation continue de l'ariary a changé le comportement des commerçants durant les derniers mois. Certains affichent même une augmentation de prix de leurs produits. Mais le gouverneur a mis les points sur le « i » durant son discours. « A la fin du mois de septembre 2020, la variation de l'indice de prix à la consommation, en glissement annuel, a été de 4,3 % contre 5,3 % à la même date de 2019. Le prix des carburants est resté stable, ce qui implique que le coût de transport des opérateurs demeure inchangé.

Au lendemain de l’annonce, par le Président Andry Rajoelina, de la restitution d’une pièce ornementale du Dais royal de la souveraine Ranavalona III par la France, tous les espoirs sont désormais permis. A priori, ce n’est que le début d’une série de restitutions d’objets historiques ayant marqué l’histoire de Madagascar et qui ont pu être amenés en France durant la période coloniale. La brèche est désormais ouverte ! Au cours de sa déclaration, avant – hier, le Chef de l’Etat a insisté sur la valeur d’une telle pièce qui, selon ses termes, est le « symbole de la souveraineté nationale » et fait partie du patrimoine historique de Madagascar. Le choix du mot « souveraineté », par le locataire d’Iavoloha, n’est visiblement pas fortuit dans le contexte actuel.

 

Encore quelques heures ou quelques jours, cela dépend du rythme de comptage des voix, avant de savoir qui sera le 46e Président des Etats-Unis d'Amérique. Hier, les derniers chiffres reçus ont laissé entrevoir une course serrée entre les candidats en poux: Donald Trump et Joe Biden. A l'issue de ce cours, un changement interviendra sûrement au niveau mondial. Significatif ou pas, les opinions s'accordent à dire qu'une nouvelle tête à la Maison Blanche n'apportera pas une grande transformation dans les mois à venir. En tout cas, pas dans le cadre de cette pandémie.

 

LA UNE DU 05 NOVEMBRE 2020

Publié le mercredi, 04 novembre 2020


La semaine dernière, la Gendarmerie de France, en collaboration avec la Police nationale, ont arrêté un ressortissant français à Antsiranana. Celui-ci, visé par un mandat d’arrêt international, est accusé d’extorsion, d’enlèvement, de séquestration et d’assassinat dans le sud de la France dans le courant de l’année dernière. D’après les informations, il est actuellement incarcéré dans une prison d’Antananarivo en attendant son extradition en France qui se ferait dans une quinzaine de jours. Une opération qui peut se faire suite à la convention de coopération judiciaire bilatérale du 4 juin 1973 entre la France et Madagascar.
Ce ressortissant français débarquait à Madagascar quelques jours après les faits survenus dans le Var où Jean Marc Sandré, un patron d’un important chantier naval, a été assassiné. Le Français, B.P.R, arrêté dans le Nord de Madagascar serait le présumé auteur de cet acte. Apparemment, le criminel a eu une longueur d’avance sur les enquêteurs français dans la mesure où c’est seulement un mois après la disparition de Jean Marc Sandré que son corps a été retrouvé, « à moitié enterré dans une zone boisée et escarpée », selon la presse locale.
Un laps de temps suffisant à l’assassin pour prendre le large et s’installer à Madagascar. Entre la disparition de Jean Marc Sandré et la découverte du corps, une demande de rançon de 100 000 euros a été adressée à ses proches contre sa libération. Il ne s’agit certainement que d’un leurre pour détourner l’enquête afin de permettre au présumé meurtrier de prendre la fuite. En effet, à l’endroit et à l’heure indiqués du dépôt de la rançon, personne n’est venue pour récupérer les 100 000 euros.
Disparu le 6 juin 2019, le corps de Jean Marc Sandré a été découvert le 2 juillet de la même année et le résultat de l’autopsie a révélé un violent coup porté au crâne.
« Sur cette Terre, rien ne se sait. Cela mettra peut-être des années, mais je pense que ses enfants connaîtront un jour la vérité. Avec les moyens techniques dont disposent aujourd’hui les enquêteurs, je suis convaincu qu’on saura », prédisait Vincent Lagaf, commentant à la presse française l’assassinat de son ami depuis 25 ans. Le célèbre animateur de l’émission « Le juste prix » a ainsi vu juste car un an après la découverte de l’assassinat, le présumé assassin est arrêté…
La Rédaction





Fil infos

  • Loi sur la castration - Les violeurs d’enfants subiront la sanction la plus sévère, réitère le Chef de l’Etat
  • Actu-brèves
  • Délestages intempestifs à Antananarivo - Les centrales solaires d’Ampangabe et Ambatomirahavavy bientôt opérationnelles
  • Dépenses publiques - De l’université au Mondial de pétanque, l’Etat mise sur l’éducation et le sport
  • Dernière heure - Le DG de l’ACM limogé
  • Assemblée générale de l’ONU - Madagascar prépare sa vision du « Mieux ensemble »
  • Sous Rajoelina - 200 000 enfants supplémentaires scolarisés à Madagascar
  • Réunion de travail avec le FMI - Le Président Rajoelina plaide pour des réformes favorables aux Malagasy
  • Elections sénatoriales - Feu vert du Gouvernement pour la date du 11 décembre 
  • Actu-brèves

La Une

Recherche par date

« September 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
Pub droite 1

Editorial

  • Ouragan
    Entre le Népal et la France, en passant par Israël / Gaza, des rafales de vents violents de la taille des ouragans pouvant atteindre une vitesse de destruction jusqu’à 200 km/h rasent tout sur leur passage. Au Népal, la population, estimée à 30 millions d’habitants, n’en pouvait plus. L’économie népalaise, essentiellement ancrée dans le monde agricole, se sent à l’étroit. Elle dépend globalement de la diaspora travaillant en Inde ou ailleurs pour une main-d’œuvre fragile et vulnérable. Parmi les pays les plus pauvres d’Asie, le Népal ne dispose pas des perspectives d’avenir notamment pour les jeunes. La jeunesse népalaise, lasse de subir les défaillances du système politique et économique corrompu du pays et largement dominé par les voisins géants, l’Inde et la Chine, bravait les restrictions imposées par le Gouvernement. Le vase débordait lorsque les dirigeants népalais ont bloqué les connexions des réseaux sociaux dont entre autres les 26 d’entre…

A bout portant

AutoDiff