Un duel de chants et de danses folkloriques. Le rendez-vous « Ady hira gasy goavana », initié par l’Office national de la culture (OFNAC) et l’association « Fikambanan’ny mpihira gasy eto Madagasikara », sous le parrainage du ministère de la Communication, continue d’émerveiller le public de la Capitale. Si la pratique du « Hira gasy » est avant tout un spectacle qui se tient sur n’importe quelle place, comme la rue, un terrain de sport, une cour d'église, une rizière, il y avait également le « kianja » Ramala, localisé à Isotry. C’était le seul et unique lieu d’expression pour les troupes de « Hira gasy » à Antananarivo. Cependant, cette propriété privée n’est plus accessible depuis bien longtemps. Il y avait également l’événement annuel «Hira gasy makotrokotroka » qui se tenait au jardin d’Ambohijatovo durant la période de crise sanitaire liée au Covid-19.
Mais actuellement, grâce aux efforts fournis par l’équipe du ministère, les pratiquants et fans de « hira gasy » ont leur propre arène. Toujours aussi festif et enjoué, le duel de ce dimanche mettra à l’épreuve les talents de deux troupes, à savoir Rafarahasimanga Georgine d’Ambohimandroso et la troupe de Ra-Chri d’Andohavato. Ce sera un duel fraternel, taquin et un brin pédagogue, au plus grand plaisir du public.
Ces deux troupes vont se relayer pour conquérir le cœur de l’auditoire, demain à partir de 10h au « Kianjan’ny Hira gasy », sis à Ampefiloha. Comme à l’accoutumée, une bataille d’art oratoire sera sans doute appréciée par les gens qui assisteront spécialement à ce spectacle. Ce sera ainsi le deuxième rendez-vous entre les fans de cette musique traditionnelle et les pratiquants de « Hira gasy » après l’inauguration de ce temple.
A chaque rendez-vous, ce genre de spectacle réalise une affluence record de spectateurs. Aussi, ceux qui désirent assister au show sont invités à venir sur les lieux dès le matin car les gradins ne peuvent accueillir que près de 700 spectateurs. L’accès y est gratuit. En revanche, les organisateurs sollicitent le public à faire des aumônes à offrir aux deux formations. Rappelons que tous les groupes et chanteurs de cet art indémodable et intemporel, sans exception, peuvent se produire sur ce lieu, ce qui leur permet de transmettre leurs œuvres à travers des paroles porteuses de message. Ce terrain accueille un spectacle de « Hira gasy » chaque dimanche.
Si.R
« Il ne pourrait y avoir de développement sans stabilité ». Ces mots sont ceux de l’ancien Président Andry Rajoelina lors de son intervention à une émission spéciale diffusée sur plusieurs chaînes privées de la Capitale hier. D’emblée, il s’est adressé aux leaders du mouvement des collectifs des candidats. « Si vous avez réellement un sens du patriotisme, il faut penser à l’intérêt général », a lancé le candidat numéro 3 avant de lancer un appel au respect des institutions étatiques. Andry Rajoelina a également appelé au respect mutuel et à la cessation des provocations, des insultes ainsi que l’usage de la force. « Les Malagasy ne font qu’un. Il ne faut laisser aucune place au racisme, ni à la discrimination ou au tribalisme. Tous ceux qui habitent à Madagascar sont des Malagasy».
Concernant les revendications des 11 candidats, le Président sortant a martelé que « nul ne peut confisquer le pouvoir du peuple ». Sur cette lancée, il ne manque de rappeler les règles démocratiques qui sont en vigueur dans le pays et accorde le pouvoir au choix de la majorité.
La démarche du collectif des 11 candidats est, selon lui, loin d’être innocente. « Ils ont déjà planifié que dès ma démission, ils allaient semer le trouble dans le pays », explique le porte – fanion du mouvement orange. Leurs revendications ne sont donc que des prétextes pour saper le processus électoral qui s’avère pourtant comme l’unique voie démocratique et conforme à la Constitution.
Place à la vraie démocratie
Le candidat rappelle que Madagascar a, jusqu’ici, déjà fait une grande avancée en matière d’alternance démocratique. Concernant la Constitution, ce texte a fait l’objet d’une révision à l’issue d’une concertation nationale. Ainsi, il souligne en particulier que la Grande île est le seul pays où la Constitution suggère la démission du Président de la République, 60 jours avant la date du scrutin. Une disposition qu’Andry Rajoelina a respectée à la lettre.
Au sujet de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), cette institution est déjà représentative de différentes entités tels que la Cour suprême, la Société civile, l’ordre des avocats, etc. Quant à la Haute Cour constitutionnelle, il s’agit d’une institution judiciaire qui a toujours existé dans le pays. Toutes ces institutions ont assuré l’organisation des élections ayant conduit à l’élection d’Andry Rajoelina en 2018 sans avoir été remises en question. A cette époque, les observateurs internationaux avaient même déclaré que les lois électorales à Madagascar sont conformes aux normes internationales.
Enfin, le candidat numéro 3 réitère que le pays n’a plus besoin de transition. « Le pays est déjà en plein démarrage et il n’y a plus besoin de couper cet élan », argumente – t – il. En faisant un bilan des réalisations durant son premier quinquennat, Andry Rajoelina assure que la construction d’infrastructures était nécessaire afin de rattraper le retard de développement de Madagascar. Aujourd’hui, il promet de se rapprocher davantage des plus vulnérables et de répondre aux besoins essentiels des ménages pour son prochain mandat. Il a d’ores de déjà remercié la majorité des malagasy pour leur amour et leur soutien.
La Rédaction
En assimilant à des atteintes à la liberté d’expression les dispersions par les Forces de l’ordre des manifestations conduites par le collectif des 11 candidats dans les rues de la Capitale, ces dernières semaines, les membres de la Communauté internationale ne semblent pas vraiment être au parfum des réalités sur le terrain. Car il faut être aveugle et sourd pour ne pas s’apercevoir que, ces marches dites « pacifiques » ne sont que de vulgaires provocations à l’endroit des Forces de l’ordre ainsi que du camp d’en face.
Il faut savoir en effet que, quand bien même, dans la plupart des cas, lesdites manifestations soient illégales pour ne pas avoir été précédées de demandes d’autorisation, les têtes pensantes refusent systématiquement d’occuper les places qui leur ont été proposées - Antsonjombe, Magro Tanjombato,… pour citer que ceux-là - pour s’entêter à rallier des endroits névralgiques (dont la mythique place du 13 mai) qui, ils le savent très bien, leur seront inévitablement interdits. Ce faisant, les leaders du mouvement sont parfaitement conscients qu’ils s’exposent automatiquement à la réaction des Forces de l’ordre. C’est là justement leur but.
La Communauté internationale est-elle au courant de l’utilisation par l’ancien Président Ravalomanana de sa Mercedes blindée comme voiture-bélier pour forcer les barrages formés par les Forces de l’ordre - et par deux fois plutôt qu’une - ainsi que lors d’une échauffourée avec le camp d’en face? Des opérations « rentre-dedans » qui se sont soldées jusqu’ici par un blessé dans les rangs des gendarmes ainsi qu’un décès parmi les partisans orange. C’est ce qui a valu au chauffeur dudit véhicule d’être recherché par les autorités judiciaires pour enquête. Avant-hier, la présence des gendarmes autour du domicile de Marc Ravalomanana, pour les besoins de la cause, a tout de suite été montée en épingle par le propriétaire des lieux et présentée auprès de ses partisans comme étant une velléité d’arrestation de sa personne.
Toujours jeudi dernier, il a été convenu d’un commun accord avec les autorités que la manifestation du jour ne se tiendra pas sur la voie publique mais dans un endroit bien déterminé (Ambohimamory). Ne voilà-t-il pas que, au dernier moment, les meneurs n’ont pas tenu leur parole et ont mené leurs partisans occuper les rues du quartier d’Itaosy. Ce qui, bien évidemment, ne peut que susciter la réaction des Forces de l’ordre qui, de nouveau, ont dû disperser ce rassemblement tout aussi illégal que non convenu.
A l’image du loup dans une peau d’agneau, les marches « pacifiques » du collectif des 11 vrais-faux candidats ont en réalité des objectifs scabreux. Provoquer les Forces de l’ordre et provoquer des heurts afin de diaboliser le pouvoir en place et surtout, de créer des troubles de nature à torpiller le processus électoral en cours. En fermant les yeux sur cet aspect de la situation et en ayant une vision à sens unique de cette situation, la Communauté internationale est en train de favoriser l’escalade de la violence et donner la part belle à la provocation.
La Rédaction
Evoluant dans un contexte international bouillonnant, l’Afrique en général, la Grande île en particulier, peine à pouvoir tracer le chemin de sortie. Tellement dépendants du système international, les dirigeants africains éprouvent toutes les difficultés à se démarquer.
Dépendance financière. Incapables à se subvenir seuls de leurs besoins financiers pour relancer l’économie nationale, des pays africains attendent la bonne volonté des pays dits développés pour les accompagner. Le poids des partenaires techniques et financiers (PTF) pèse trop dans la balance de la prise des décisions à même dans les affaires internes du pays, il faut avoir leur bénédiction. A tel point que les termes comme « souveraineté nationale » se trouvent souvent dans l’étroit sinon volent en éclat !
Les dépendances technologiques et énergétiques viennent à enfoncer le clou en ce sens que les pays du Sud les moins lotis souffrent d’être aux dépens des autres. Nul ne peut contester que le fait de ne pas maîtriser les nouvelles acquisitions techniques et technologiques freine le développement.
La guerre en Ukraine et les conflits au Proche-Orient empiètent au bon déroulement du circuit du commerce international et créent des situations défavorables aux intérêts des pays dépendants.
Pour ce qui est du cas de la Grande île, en particulier, le pays semble réussir à se débarrasser des griffes des crises politiques cycliques des années 90 et 2000. Un régime démocratiquement élu prenait place en 2014 tout juste après la Transition couronné par une alternance respectant les normes de la démocratie. Bis repetita en 2018 ! Présentement, le pays s’apprête à renouveler ou à confirmer au poste de la magistrature suprême du pays. Et donc, le pays ne souffre plus d’aucune crise politique genre 1990-91 ou 2000-2002.
Seulement voilà, les politiciens du pays dans l’orbite de l’opposition créent des vagues, des problèmes. Ils perdent le Nord. En cause, le manque de culture démocratique sinon le mal interprétation des fondamentaux de la démocratie. Apparemment, il semble qu’ils l’assimilent peu. Le reflex de descente dans la rue s’incruste quelque part, une maladive tendance à démolir sans une proposition concrète pour reconstruire.
Pour rappel de l’histoire. En 1972, il n’y avait ni crise ni problèmes majeurs. Le pays caracolait en tête de peloton des pays d’Afrique francophone. Seulement, nous avions une jeunesse, estudiantine nuance, qui voulait s’émanciper de la tutelle néocoloniale. Une jeunesse intellectuelle baignant dans une aisance matérielle, université flambant neuve, bourses d’étude suffisantes, resto-U bien garni, trop imprégnée par une culture occidentale et idéalisée par les évènements de « Mai 68 » des étudiants français, se cherche une identité et rejette l’ordre « néocolonial » établi de l’époque. Nous ne sommes pas sans savoir les impacts destructifs de cette aventure quelque peu irresponsable.
Au final, de la confusion dans les esprits ! L’amalgame entre « crise » et « problèmes » embrouille le tableau. Au fait, il n’y a pas de crise mais le pays s’enlise dans la boue des problèmes artificiels.
A travers son projet « Madagascar Tennis Project », Miary Zo Rakotondramboa, en collaboration avec la Fédération malagasy de tennis, initie les enfants en bas âge au tennis. Il a donné le nom de « Jeu, Set, Solidarité 2023 » à cette initiative. Durant trois jours, le joueur de tennis malagasy- qui évolue actuellement en France- sillonnera la Capitale avec son équipe pour apprendre sa discipline de prédilection en se rendant dans les écoles, les clubs et avec les techniciens des clubs.
Hier, l’équipe est passée à l’APEAF (Association des Parents d’Elèves de l'Alliance Française) à Antsobolo, Antampon’Ankatso pour une journée récréative consacrée au tennis avec 212 enfants de la classe CP à celle CM2. L’objectif du projet est d’attirer les jeunes enfants à se passionner pour le tennis. Effectivement, un suivi sur la continuité dudit projet est prévu avec les dirigeants de l’école.
Suite à une rencontre avec Miary Zo, ils se sont lancés dans l’aventure pour l’accompagner au pays. Il s’agit de Bertrand Levacher (directeur sportif Herblay), Thomas Friant (Formateur ligue, Intervenant FFT) et de Louane Chabaud (Educatrice de club bénévole, dans le cadre de ce projet.
« Une bonne occasion pour nous de développer le tennis avec des enfants ici. Notre objectif à moyen terme est d’aider les clubs à restructurer au mieux, les aiguiller par rapport à ce que nous faisons en France par rapport avec les moyens qu’ils ont en leur possession, et pour qu’il y ait de plus en plus d’enfants qui ont accès au tennis à Madagascar. On le fera avec plaisir», explique Bertrand Levacher, directeur sportif du club Herblay.
Un projet salué par la Fédération malagasy de tennis qui est aussi son partenaire dans la localisation des lieux pour effectuer les séances.
« C’est une initiative louable. C’est lui qui nous a proposé ce projet en tant qu’ancien joueur et joueur compétiteur. Chacun a sa vocation. En tant que fédération nous sommes là pour faciliter et fédérer localiser les clubs partenaire et se donner la main. Par ailleurs ce projet coïncide aussi avec un projet de l’ITF qu’on appelle GTF pour initier les jeunes au tennis », explique Sylvie Rasendra, vice-présidente de la Fédération malagasy de tennis.
Ce samedi 21 octobre, Miary Zo Rakotondramboa et son équipe vont passer au Galaxy tennis pour passer une autre séance d’échange avec les enfants qui évoluent au sein des clubs et avec les techniciens. « Notre objectif est developper le tennis à Madagascar. Vulgariser la discipline a travers ces jeunes enfants. Après l’APEAF, nous passeront aussi à Antsirabe et Toamasina pour une autre collaboration avec les ligues de ces deux régions. L’initiation commence dès l’âge de 4 ans, et l’apprentissage à partir de 6 ans. Entre 13 et 17 ans, les jeunes talents ont l’opportunité de poursuivre leur formation au sein de structures dédiées, au sein de clubs professionnels, afin de développer leur jeu et de s’épanouir sur le plan sportif», a expliqué Miary Zo Rakotondramboa.
Comme le manque de matériel reste le plus flagrant au développement du tennis à Madagascar, durant leur passage au pays, l’équipe de Miary Zo ont reussi a collecté plus de 200kg de matériels d’entrainement (balle, tennis, raquette, filets, connes, et environ 350 raquettes, au sein de son club Herbay en France, et qui seront distribués à Madagascar, qui seront distribués partout à Madagascar.
Hormis ses exploits en tant que joueur, Miary Zo a choisi de devenir entraîneur de tennis. Il a suivi une formation en France et a obtenu son diplôme d’Etat DEJEPS en tennis. Il envisage également de devenir entraîneur de padel.
Elias Fanomezantsoa
Assurer une transition juste vers l'économie bleue et créer des emplois verts sont autant de défis pour Madagascar. C'est dans ce contexte que notre pays se lance officiellement dans la promotion de l'économie bleue avec pour objectif de créer des emplois, tout en préservant l'environnement. Cette initiative est essentielle pour le développement durable et pour faire face aux défis de la protection de l'environnement, de la lutte contre le changement climatique, du développement économique et de l'inclusion sociale.
Afin d’atteindre cet objectif, Madagascar s'appuie sur des outils méthodologiques innovants fournis par le réseau GAIN (« Green Jobs Assessment Institutions Network »), hébergé par l'Organisation internationale du travail (OIT). La transition vers une économie bleue et la création d'emplois verts nécessitent des bases solides pour élaborer des politiques éclairées et un dialogue social inclusif. Le réseau GAIN a développé une méthodologie et un guide de formation permettant de rassembler des statistiques, de les intégrer dans les systèmes des comptes nationaux et de construire des modèles d'évaluation des emplois verts, connus sous le nom de « Green Jobs Assessment Model » (GJAM) au niveau national. Ces modèles permettent aux pays d'analyser et de planifier les impacts sociaux des politiques climatiques et des économies verte et bleue. Madagascar, en finalisant sa stratégie nationale et son plan national d'investissement en faveur de l'économie bleue, souhaite modéliser et quantifier les impacts socio-économiques de cette stratégie.
Potentiel
Les objectifs consistent à informer le processus d'élaboration du plan de financement, orienter les investissements vers des interventions à fort potentiel de création d'emplois, et développer des mesures de transition juste pour accompagner la mise en œuvre de la stratégie. Huit experts malgaches formés par l'OIT et le réseau GAIN ont acquis les compétences nécessaires pour participer à cette initiative. L'atelier qui s'est tenu hier a permis de lancer officiellement la modélisation et la quantification des impacts potentiels de la Stratégie malagasy de l'économie bleue. Les temps forts de l'atelier ont inclus la présentation de l'outil méthodologique GJAM de l'OIT, le processus de collecte des données, la présentation du modèle développé pour Madagascar ainsi que des résultats de la situation de référence.
Les participants ont également discuté des différents scénarios à modéliser pour la production des résultats définitifs et ont défini les prochaines étapes de ce projet prometteur. Le ministre de la Pêche et de l'Economie Bleue, Paubert Mahatante, a souligné la vision de son ministère visant à promouvoir les emplois, notamment auprès des jeunes et des femmes, en dispensant des formations en pisciculture et en soutenant financièrement les pêcheurs issus des 23 Régions de Madagascar. Cette démarche vise à encourager la croissance de l'économie bleue, tout en contribuant à la création d'emplois dans le pays.
Madagascar démontre ainsi son engagement en faveur d'une économie bleue durable et socialement inclusive, offrant de nouvelles opportunités à sa population, tout en préservant les précieuses ressources marines de l'île.
Hary Rakoto
Le Dr Prasannan Nediyadth a été nommé ambassadeur honoraire du Mouvement mondial des femmes et des filles leaders panafricaines et caribéennes. Cet homme d’affaires indien, résidant permanent à Madagascar, a reçu son certificat de nomination par le MMLFP ou le Mouvement mondial des femmes et des filles leaders panafricaines pour ses réalisations dans le domaine de l’entrepreneuriat et les actions humanitaires à travers le monde entier.
Le MMFLP est une organisation basée en France. Ce mouvement effectue bon nombre d’actes de charité et offre des aides aux femmes pour leur autonomisation. Le titre d’ambassadeur honoraire pour l’égalité de sexe et le développement économique a été attribué au Dr Prasannan Nediyadth par le mouvement des femmes leaders grâce à ses actions au bénéfice de la gente féminine.
Le Dr Prasannan est le PDG et fondateur de Vantage International Sarl, Golden Vantage Investment co.L.L.C, ONG Vantage International HUman-Charity, ainsi que l’Observatoire internationale des droits de l’Homme. Il est le premier Indien œuvrant dans le secteur minier à être coté dans la bourse de Hong Kong. Très présent dans la Région de Vatovavy à travers son ONG, le Dr Prasannan y soutient aussi les causes féminines.
E.F.
L’homme d’affaires, Alfred Andriamanampisoa prend la présidence de la FMF (Fédération malagasy de football).
« Beaucoup de travail nous attend et je veux pouvoir compter sur la disponibilité de chacun d'entre vous pour que nous puissions porter le plus haut possible le football sans couleur politique ni d’origine ethnique. C’est le football qui nous unit et c’est ce que le peuple malagasy attend de nous. Nous avons connu beaucoup de retard dans le football donc nous devrons travailler plus vite pour avancer rapidement », précise le nouveau président de la FMF. Sans répit, la FMF se focalise sur la préparation de l’équipe nationale en vue de la qualification à la coupe du Monde 2026 qui débutera en novembre.
Scène horrible vers 8h du matin hier à Antanimenakely, Ampitatafika. Une femme d'une trentaine d'années, la passagère d'un taxi-bicyclette s'était fait littéralement broyer au niveau du crâne par un camion, quelques secondes à peine après qu'elle a accidentellement fait une chute depuis ce vélo. La victime a succombé sur le coup. Par ailleurs, le cycliste qui l'a emmenée a survécu quoique blessé du moins à une jambe.
Ce dernier était tombé également. D'après la Gendarmerie, le cycliste aurait commis l'imprudence de faire un dépassement à droite. Mais à un moment donné, la bicyclette aurait accroché accidentellement le poids lourd, provoquant du coup sa chute, et celle de sa passagère avec.