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En début de semaine, une machine de fabrication de savon, utilisant la noix de coco comme ingrédient clé, a été installée à Sambava, une étape majeure pour la réalisation du projet de zone industrielle ODOF (One District One Factory). Cette avancée est le fruit des récoltes prospères de noix de coco dans la Région, et elle promet de stimuler l'économie locale tout en renforçant l'industrie de la transformation. La Région de SAVA, qui abrite de vastes plantations de noix de coco, est désormais le site d'une installation industrielle de pointe visant à produire du savon de haute qualité. Chaque jour, cette usine a la capacité de produire environ quatre tonnes de savon, répondant ainsi à une demande croissante sur le marché local et national. L'industrie du savon est un secteur vital de l'économie malagasy, et la noix de coco s'est révélée être un ingrédient clé pour sa production. Il est intéressant de noter qu'il faut 900 kg de graisse de coco et 400 kg de soude caustique pour fabriquer une tonne de savon. Cette installation permettra d'utiliser efficacement les ressources naturelles abondantes de la Région pour créer des produits de qualité. Lors de la cérémonie d'inauguration, les responsables au sein du ministère de l'Industrie, du Commerce et de la Consommation, représentant le ministre Razafindravahy Edgard, ont remis officiellement la machine à la Région de SAVA. Cette initiative gouvernementale s'inscrit dans le cadre du projet "One District One Factory" visant à stimuler la croissance économique à l'échelle locale en encourageant l'investissement industriel.
Exemple
Les responsables du ministère ont souligné que cette usine de savon à base de noix de coco est un exemple de développement économique durable et de valorisation des ressources locales. Il a ajouté : "La Région de SAVA est un véritable trésor en termes de culture de la noix de coco. Cette nouvelle usine de savon est un pas de plus vers la transformation de ces richesses naturelles en opportunités économiques pour la communauté locale." Les avantages de cette nouvelle installation vont bien au-delà de la simple production de savon. Elle créera également des emplois locaux, stimulera l'agriculture de la noix de coco et renforcera la chaîne d'approvisionnement de l'industrie. La machine de fabrication de savon est équipée de technologies modernes, garantissant une production efficace et une qualité constante des produits. La noix de coco est une ressource renouvelable et abondante dans la Région  de SAVA, et cette usine de savon contribuera à maximiser son utilisation. En outre, en utilisant la noix de coco locale, l'usine réduira les coûts liés à l'importation d'ingrédients étrangers, renforçant ainsi la stabilité économique de la Région. En somme, cette usine offre un potentiel considérable pour le développement économique local, tout en valorisant les ressources naturelles de manière durable. Cette initiative montre comment Madagascar peut capitaliser sur ses richesses naturelles pour stimuler la croissance industrielle et créer des opportunités pour sa population.
Hary Rakoto

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 26 octobre 2023


Vendredi 27 octobre
Reko
Fy Rasolofoniaina et sa bande partent à la conquête du public. Ce soir à partir de 20h, le groupe sera en concert à la Teinturerie d’Ampasanimalo. Après le spectacle entamé récemment à Ambohidratrimo avec le groupe de gospel « Tana Gospel Choir » (TGC), Fy et sa bande sont prêts pour séduire à nouveau leurs admirateurs. Avec Fy au chant et à la guitare, Zazah à la batterie, Diary à la basse et Princia à la guitare solo, ce concert promet un émerveillement et un enchantement musical. Pour les amateurs de musique acoustique et de sons limpides, c’est l’occasion de découvrir Fy Rasolofoniaina et sa bande au grand complet, mais surtout d’apprécier les morceaux inclus dans le dernier album intitulé « Misia », en particulier « Hafa mihitsy » qui cartonne dans les ondes de la Grande île depuis un long moment.
Nanie
De passage au pays, la chanteuse Nanie est toujours fière et impatiente de retrouver ses fans de toujours. Il s’agit encore d’une belle surprise pour les noctambules de la Capitale et les amateurs de musique jazz. Après avoir fait des étincelles lors de la célébration de ses 30 ans de scène, la chanteuse Nanie repart pour un autre rendez-vous dans un cadre intimiste et chaleureux. Le show se tiendra sur la scène de Chez Soa Feeling, Ambohimangakely à partir de 20h. Cet événement s’annonce déjà plein de nostalgie et de souvenirs. A l’occasion, Nanie promet un beau spectacle à tous ceux qui se joindront à elle. A ne pas rater sous aucun prétexte !
Hanitra, Benny et Cie
La chanteuse Hanitra, le guitariste Nini Kolibera, Jean Marc Bontemps ainsi que Benny sur la même scène. Ce beau petit monde s’armera de guitares et d’autres instruments de musique pour reprendre les meilleurs morceaux de folk malagasy et étranger dans la salle du vieux carré. Cette fois-ci, le public devrait s’attendre aux interprétations des propres compositions de Hanitra, mais également un peu de « Lolo sy ny tariny », le tout mélangé à la sauce malagasy et des improvisations à n’en plus en finir. Cette soirée promet d’être mémorable, avec une programmation variée qui traversera différentes générations  Rendez-vous ce soir à 20h 30 au Piment Café de Behoririka. Un vendredi joli à ne pas rater !
Farakely & Laza
L’occasion se présente à nouveau pour les fans de Farakely et Laza. Ce soir, le duo sera sous le feu des projecteurs pour une soirée acoustique qui aura lieu à l’espace Dago, Imerintsiatosika. Avec ses deux albums « Tafaray isika roa » et « Nofiko », Farakely a réussi son pari en s’imposant dans le paysage musical malagasy. Aujourd’hui, elle s’est fait un nom et partage déjà la scène avec de grandes stars. Farakely est une artiste à part entière qui n’a rien à envier à ses pairs. Le rendez-vous est donné ce soir à 20h.
Samedi 28 octobre
Tsikimboahangy
Comme à chaque fin de semaine, la salle du Fara West Faravohitra concocte des soirées musicales pour les adeptes de la bonne musique. Demain soir, elle accueillera Tsikimboahangy, une chanteuse à la voix douce et soul, assortie d’une expression fraiche et naturelle, servie par une belle palette de musiciens tout en couleur et tempérament dans une griffe très « jazzy ». Elle sera accompagnée par Tonny Mahefa à la basse, Tabiha Mahatozo au piano et Finoana Aina à la batterie. Ce quatuor enflammera la scène sur un registre RnB et soul, avec des vibrations et mélodies à la fois suaves et envoûtantes. Les premières notes de musique résonneront à 20h.
Rootsikalo
Réunir dans une salle les noctambules de la Capitale, amateurs de musique urbaine. Tel est le pari que s’apprête à réussir la salle du Chez Papa Isoraka pour une soirée qui s’annonce aux couleurs « Roots ». Elle se tiendra ce samedi avec l’un des artistes préférés de la jeune génération qui n’est autre que Rootsikalo. Le chanteur promet un show de pure folie avec la reprise de ses plus grands succès comme « Tsio-drivotra », « Tsy tandrify », « Tiako ho avy », «  Mangina aty »,… La soirée débutera à 22h. Avis aux amateurs !
Si.R


C’étaient les habitants dans l’Atsimondrano qui ont accueilli le candidat numéro 3, Andry Rajoelina pour son 17ème jour de campagne électorale en vue de la présidentielle. Dans la matinée, le Président sortant et son équipe étaient au terrain d’Ambohimamory, à Itaosy. L’endroit était investi d’une foule toute vêtue d’orange. Les « Raiamandreny » ont donné leur bénédiction au candidat tout en lui souhaitant d’avoir la force nécessaire pour poursuivre le processus de développement. Ils n’ont pas manqué d’appeler les citoyens âgés de 18 ans à voter pour le candidat numéro 3 dans le bulletin unique. Durant sa prise de parole, Andry Rajoelina a annoncé les nombreux projets qui seront mis en œuvre au profit de la population d’Itaosy. Parmi eux, la construction d’un hôpital qui est déjà en cours et qui est effectué à 40%.
Le candidat a brièvement fait allusion à certains de ses concurrents à la présidentielle qui ne cessent de véhiculer des messages de haine. « Plus on dit du mal de moi, plus la population m’aime car elle n’est pas dupe », a – t – il lancé.  Il se dit confiant quant à l’amour et le soutien sans faille que le peuple malagasy lui porte.
Dans la construction d’infrastructures, son régime avait particulièrement mis en avant le domaine de l’éducation. L’ Atsimondrano, en particulier, a bénéficié d’une Ecole primaire publique (EPP) avec 24 salles de classe et une capacité d’accueil de 1 200 élèves à Ampitatafika. A Itaosy, il a promis l’installation d’un grand parc solaire. Les autres projets comme les « Fly – over » vont se concrétiser d’ici quelques mois. Une infrastructure qui permettra de résoudre les problèmes d’embouteillage. A cela s’ajoute les autres projets comme le téléphérique ou le train urbain qui sillonnera la Capitale.
Un développement à la portée de tous
Dans l’après-midi, le candidat numéro 3 a tenu un meeting au terrain Tongarivo, à Tanjombato. Une foule immense a également répondu présent. Dans son discours, il a aussi lancé des piques à l’endroit des membres du collectif des candidats qui compte d’anciens membres de son Gouvernement, ou encore des députés élus sous la bannière IRD. «Ils ne cessent de véhiculer des messages qui s’apparentent à de la haine à mon encontre. Mais cela ne me fera pas vaciller », a – t – il affirmé.
Andry Rajoelina a profité de cette rencontre avec la population de Tanjombato pour partager ses visions et projets pour son prochain quinquennat. « Je souhaite que chaque Malagasy ait son propre terrain pour construire ou cultiver. (…) Tous les terrains domaniaux seront partagés en plusieurs parcelles. On y construira des nouvelles villes. Je ferai tout mon possible pour que chaque foyer ressente et profite du développement », a – t – il martelé.
Désormais, la population ne sera pas de simples spectateurs mais des acteurs du développement de Madagascar. Le candidat portant le dossard numéro 3 a promis de se pencher davantage sur la situation des jeunes, des sans emplois ou encore des plus vulnérables. Toutes les couches de la société seront prises en considération.
La Rédaction

La douane malgache n’a pas suivi l’appel au blocage du service lancé par la solidarité des syndicats de Madagascar. En effet, ce dernier n’est pas reconnu par la douane comme ayant l’attribution d’initier une grève syndicale au sein de ce service vu que la douane a déjà son propre syndicat, le SEMPIDOU (Syndicat des employés de la douane). Ainsi, la manœuvre d’embrouillement du SSM a été fortement condamnée par la douane. Si une revendication devait être menée au sein de ce département, cela se ferait dans le respect des lois et des procédures.
Le SMM n’a fait que semer le doute et le trouble parmi les employés et les collaborateurs. « Celui-ci n’a pas autorité à parler au nom des employés de la douane ».
« Les employés ne doivent pas être déstabilisés par ces tentatives de division.il faut laisser les différends politiques aux politiciens. En tant qu’employés de l’Etat, ils doivent observer l’obligation de neutralité et de réserve sur les lieux de leur travail », ont indiqué les responsables au sein de la douane à travers un communiqué.
Le travail continue
Après la déclaration du SSM d’observer un service minimum, un communiqué a déjà émané de la douane indiquant qu’aucune grève ne sera faite par les douaniers sur tout le territoire malgache. Ainsi, les tâches quotidiennes continuent normalement. « La douane n’est pas en grève ».
De nombreuses avancées ont été déjà faites au sein de la douane malgache à l’instar de la modernisation des infrastructures, l’informatisation et la numérisation des procédures et l’installation de scanners performants. Les conditions de travail des employés sont également sans cesse améliorées afin d’avoir des bons résultats.
Les responsables du service douanier ont donc lancé un appel à leurs employés d’être vigilants face aux incitations et aux manœuvres politiques qui nuisent au bon fonctionnement de ce service. Mais surtout de continuer à travailler en toute quiétude. Il en est de même pour ceux qui ont des affaires à régler dans les ports et autres branches de la douane.
Nikki Razaf


Un remake entre Madagascar et le Ghana. Tel est le programme de la première journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 pour le Groupe I, qui compose le Ghana, Madagascar, le Mali, le Tchad et les Comores. Une seule équipe validera son ticket pour le mondial Mexique, USA, Canada en 2026 pour ce groupe. Vu le challenge lancé par la nouvelle équipe dirigeante de la fédération malagasy de football de qualifier les Barea à sa première Coupe du monde, la tâche ne sera pas facile au vu des membres du groupe. Mais tout est possible pour l’équipe malagasy.
« Notre défi est de tenir tête aux Blacks stars chez eux et gagner notre premier point dans la course », assure le sélectionneur national.
Rappelons que le match qui opposera les deux équipes est programmé le 17 novembre prochain à Kumasi, deuxième ville après Accra vers 16h, soit 19h à Madagascar selon la FMF.
C’est la quatrième fois que les deux pays se retrouvent, avec deux victoires malagasy, un match nul et une victoire ghanéenne.  Au COSAFA en 2015, Madagascar a gagné 2 buts à 1. Puis lors de la qualification CAN 2023, les Blacks Stars ont laminé 3-0 les Barea et au CHAN 2023, Madagascar  surprend les Blacks Stars par 2 buts à 1 avant de faire match nul à Mahamasina lors du match retour de la qualification CAN.
Ces éliminatoires comptent 9 groupes de 6 équipes. Les premières équipes de chaque groupe se qualifient directement pour la Coupe du monde 2026, tandis que les quatre meilleures deuxièmes s’affronteront dans un mini championnat. Le vainqueur prendra part aux barrages intercontinentaux.
Les quatre meilleures deuxièmes des neuf poules, zone Afrique, disputeront les deux dernières places disponibles en barrage avec cinq autres nations issues de l’Asie, de l’Amérique centrale et de l’Océanie.
Recueillis par Elias Fanomezantsoa

LA UNE DU 26 OCTOBRE 2023

Publié le mercredi, 25 octobre 2023

Incendies dans la Capitale - La série noire continue

Publié le mercredi, 25 octobre 2023

Le cauchemar lié à cette série d'incendies aux conséquences désastreuses pour les habitants, n'est pas près de s'arrêter dans la Capitale et ses environs. Pas plus tard qu'hier, et à un intervalle de quelques heures seulement, les quartiers de Mahamasina Tsimialonjafy et Alasora ont été le théâtre de ces incendies dévastateurs.

Dans le cas du premier quartier, une maison à étage bâtie à l'arrière-plan du Tometal, et qui fut occupée par six familles, a été dévastée par les flammes. Le drame a démarré vers 9h du matin. Ces dernières ont tout perdu dans ce sinistre. Elles n'ont presque plus rien, pas même un feuillet de documents utiles dans la vie. "Nous avons perdu nos économies et nos habits en vue d'un mariage dans ce brasier", déplore un locataire.

Taxi-bicyclette - Une dangereuse gabegie

Publié le mercredi, 25 octobre 2023

Les taxi-bicyclette envahissent plusieurs endroits de la Capitale. En commençant dans les  Communes périphériques, ils s'approchent peu à peu du centre-ville, même si ce moyen de transport n'est pas adapté aux infrastructures routières à Antananarivo. 

La majorité des conducteurs de taxi-bicyclette ne connaissent pas le code de la route, d'autant plus qu'ils ne sont pas encore habitués à la circulation urbaine. Ils ne se soucient ni du mode de dépassement, ni de leur sécurité et celui du passager. Les deux-roues coupent bêtement la route, roulent au beau milieu de la chaussée, sans regarder autour, et montent même sur les trottoirs avec leurs klaxons agaçants. D'ailleurs, ces taxi-bicyclettes ne disposent pas de rétroviseurs. Les piétons et les automobilistes devraient faire attention.

Fini l’image de la femme servante. Les femmes sont de plus en plus nombreuses à monter leurs petites entreprises. En effet, elles sont leurs propres patronnes et investissent dans diverses branches. C’est surtout le secteur informel, hors agriculture, qui a connu un grand bond. Ce dernier représente 21% des emplois féminins contre 14% pour les hommes. Ces chiffres publiés par l’INSTAT confirment donc les efforts en cours pour favoriser l'insertion des femmes sur le marché du travail. Bien que dans l’informel, cela ouvre la voie à une pérennisation de cette tendance. Ces emplois incluent des services aux ménages et des activités relevant des aides familiales, souvent occupés par des femmes.

Débordements

Publié le mercredi, 25 octobre 2023

L’air du temps ! Période noire ! L’épopée des débordements dans tous ses états arrive. Les responsables publics sont … débordés et cela dans tous les sens.

La période de la campagne électorale, moment idéal des manifestations à caractère politique, bat son plein. Une campagne de propagande électorale ou politique, tout court, baignant dans la cacophonie, sème le bordel notamment à Antananarivo et les périphéries immédiates.

Fil infos

  • Affaire Ambohimalaza - Fenohasina toujours détenue à Manjakandriana
  • Téléphérique - La ligne Orange inaugurée par le couple présidentiel
  • Drame à Ambohimalaza - Les familles de victimes rassurées par le Président Rajoelina
  • Rasata Rafaravavitafika - De directrice au MAE à présidente du Conseil des ministres de la SADC
  • Présidence de la FJKM - Cinq grands pasteurs sollicités
  • Opportunités - Les entrepreneurs prêts à conquérir le marché de la SADC  
  • Conseil des ministres de la SADC - Madagascar prend la relève 
  • Lova Hasinirina Ranoromaro - « Les relations avec les Etats-Unis non affectées par l’affaire des Boeing 777»
  • Ravalomanana et Rajaonarimampianina - Alliance pour des causes antipatriotiques !
  • Sommet de la SADC à Madagascar - Appui unanime des pays d’Afrique australe

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Editorial

  • Un défi colossal !
    La ministre de la Fonction publique, du Travail et des Lois sociales (MFPTLS) Hanitra Fitiavana Razakaboana a inauguré à Toamasina, ce mardi 12 août, la Maison de l’emploi et de la Formation de Région Atsinanana (MEFRA) qui s’inscrit dans la stratégie gouvernementale visant à promouvoir l’emploi. Le Gouvernement pleinement obnubilé par les contraintes pour assurer le bon déroulement des assises du Sommet de la SADC ne perd pas le Nord. Il faut gérer sans faute le parcours du Sommet tout en n’occultant nullement la gestion des affaires de l’Etat. Le Sommet avance et parallèlement la vie de la Nation avec ses priorités et urgences continue. En effet, il y a des priorités et des urgences à ne pas négliger ni mettre de côté. L’employabilité des jeunes se trouve au cœur des préoccupations des tenants du pouvoir. Elle figure parmi les obligations sinon des contraintes que l’Etat n’a pas le droit…

A bout portant

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