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Un grand privilège pour les étudiants de l’Université d’Antananarivo. La Faculté de Droit et des Sciences Politiques (FDSP), en partenariat avec la Faculté d’Economie, de Gestion et de Sociologie (EGS), a accueilli, hier, la délégation du Marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA) en marge de la célébration de la semaine du COMESA qui se tient dans la Capitale. Cette réunion a pour objectif de donner une séance d'informations et de partages.

A l'issue de cette rencontre, le Country officer Madagascar au sein dudit Marché commun, Jéromine Fanjanirina, a souligné l’importance de l'engagement des universitaires pour l'intégration régionale. Quant à la doyenne de la FDSP, Esoavelomandroso Faratiana, elle a salué l'intérêt que cette communauté accorde à la coopération entre les Etats membres dans le domaine de l'enseignement et de la recherche. 

Le COMESA s'associe à des universités pour former les professionnels et universitaires à l'intégration régionale. Cette rencontre avec les universitaires a été une occasion pour comprendre les programmes et activités des différentes divisions au sein de l'organisation et les fonctions de la Cour de justice du COMESA. La délégation a également présenté les différentes opportunités que l'intégration régionale ouvre aux étudiants, enseignants et chercheurs de l'Université d'Antananarivo.

A noter que le COMESA, l'une des huit communautés économiques régionales de l'Union africaine, joue un rôle crucial dans l'intégration économique du continent africain. Il regroupe 21 Etats membres, représentant près de 700 millions d'habitants et un produit intérieur brut (PIB) cumulé de 1.000 milliards de dollars. Pour Madagascar, le COMESA représente un partenaire économique clé, avec des exportations annuelles de 50 à 100 millions de dollars et des financements directs de 2,6 millions d'euros, principalement destinés au secteur privé. Cet événement coïncide avec le 30ème anniversaire du COMESA.

Anatra R.


Plus d'une semaine après la découverte de l'assassinat du substitut général de la Cour d'appel de Mahajanga, Henri Rakotondravony, l'affaire connait un rebondissement. En fait, le couronnement de l'enquête menée par la Brigade criminelle (BC2) s'est traduit par un vaste coup de filet, soit 15 suspects. Et coup de théâtre : l'un d'entre eux est un individu de 31 ans, qui n'est autre que l'homme de confiance de la victime, précisément son chauffeur. Et ce dernier n'a pas été le seul à être incriminé, du moins comme étant le principal suspect dans l'affaire. Car il y a surtout la compagne de celui-ci. Tous les deux figurent dans la liste de personnes arrêtées. Dans les explications de la Brigade criminelle, c'est cette femme qui aurait poussé son compagnon, le chauffeur, à assassiner le magistrat. Nous y reviendrons encore. Autre élément de l'enquête, les 16e et 17e suspects dans l'affaire seraient toujours en cavale, selon encore l'information.
Pour l'heure, retraçons d'abord les circonstances qui ont conduit aux arrestations des suspects. En effet, les recherches des fins limiers de la BC2 les ont menés sur la piste du chauffeur en cause. Ce dernier fut arrêté à Alatsinainy-Ambazaha, le 19 juin dernier. Le suspect était passé aux aveux. Dans ces derniers, il a dénoncé sa compagne de l'avoir poussé au meurtre. La raison, c'est que la dame lui a promis un minibus Sprinter s'il réussirait à éliminer le magistrat. Par la suite, le chauffeur en cause a dénoncé ses deux autres complices, ceux qui l'avaient aidé dans l'assassinat, enfin leur contribution à l'enterrement à la hâte de la victime. Le fossé qui avait été creusé à la va- vite est situé non loin du domicile du chauffeur. Dans ses aveux, ce dernier explique qu'il aurait obtenu le feu vert de ses parents pour enterrer la victime dans la cour de leur propriété. D'où l'implication de ces derniers. Et dans tout cela, il y a aussi l'aide de certains proches du chauffeur, donc des villageois, pour creuser le fossé. C'est ce qui explique le nombre assez important des individus impliqués dans cette affaire.
Et parmi les éléments de l'enquête, l'amie en cause du chauffeur a déjà empoché la somme d'argent touchée à la banque et confisqué la voiture de la victime.
Certes, les enquêteurs ont réussi à démêler l'écheveau de l'affaire, du moins partiellement. Toutefois, il reste la grande question à poser, celle de chercher à savoir pourquoi donc la compagne de ce chauffeur a poussé ce dernier à tuer le magistrat ? D'autant plus que la concernée aurait accès au compte bancaire de la victime.
Vers 7h du matin hier, des proches du défunt substitut général s'étaient finalement rendus à la morgue de l'HJRA Ampefiloha dans le but d'y récupérer sa dépouille. Direction : la Région de la Sofia, terre natale de la victime où l'enterrement est prévu. "La famille a expressément choisi l'après 26 juin pour se consacrer aux funérailles", révèle une source hospitalière.
Toujours hier, mais cette fois dans l'après-midi, les 15 suspects étaient passés en instruction au Parquet d'Anosy. Mais au moment où nous écrivons ces lignes, la procédure devait se poursuivre encore. La seule certitude, c'est que tous ces individus risquent gros, et des lourdes peines les attendent.
Un bref rappel des faits s'impose. D'après les éléments de l'information, feu Henri Rakotondravony, cet ancien fonctionnaire de la Police mais qui a passé avec succès son concours d'entrée à la Justice s'est rendu à Antananarivo pour une mission, non sans qu'il n'ait d'abord vendu sa voiture.

Après que tout soit terminé, il a profité de l'occasion pour acheter un 4x4. C'était le 6 juin dernier où on l'avait déclaré porté disparu. Sa mission terminée, le magistrat, accompagné d'un gardien au service de sa famille établie à Antananarivo, a arpenté les endroits où il a espéré trouver le bon véhicule dans la Capitale. Comme aucun de ceux qu'on l'eut présenté, ne l'eut satisfait, un inconnu l'aurait ensuite contacté pour lui proposer le véhicule tout-terrain souhaité. Les deux parties étaient alors convenus de tester d'abord le 4x4. Cette fois, le haut fonctionnaire de la Justice a décidé d'y aller seul, de surcroit avec la somme prévue à l'achat du véhicule. Depuis, il n'a plus donné aucun signe de vie avant que son cadavre n'a été retrouvé que la semaine dernière.


Franck R.


Agenda du week-end

Publié le jeudi, 27 juin 2024

Vendredi 28 juin
Jaojoby
Il a chauffé la scène de l’Oxygen O2, Lounge bar, sis à Antanimena, le week-end dernier. Ce soir, il remet déjà le couvert et propose une nouvelle soirée 100 % « salegy ». Ce vendredi, la salle du cabaret Jao’s Pub accueillera son prioritaire. Le show débutera à 20h. Cet artiste de renommée internationale enflammera à nouveau les noctambules tananariviens, en particulier ceux qui résident aux alentours du quartier populaire d’Ambohipo. Avec son statut de grand artiste, Jaojoby va sans doute faire chauffer le public en cette saison hivernale grâce à ses morceaux indémodables. Bref, le quartier d’Ambohipo réservera un bon début du week-end.
Samedi 29 juin
Naday
Il s’est éclipsé de la scène pendant quelques mois. Ce samedi, Naday reviendra en forme pour des retrouvailles avec ses fans. Il donne rendez-vous au No Comment Bar, Isoraka pour faire des heureux parmi les noctambules. Ses compositions combinent trois langues, à savoir le malagasy, le français et l’anglais. En sachant adopter aisément les vocabulaires populaires du moment, son « vary amin’anana » est une mixture linguistique et culturelle qui forme un monde à part comme une bulle. Demain soir à partir de 20h, le guitariste emmènera ses inconditionnels dans cette évasion artistique teintée de rock alternatif.
Nanie
Un cabaret qui s’annonce prestigieux et mélodieux. La chanteuse Nanie, à chacune de ses apparitions scéniques, affiche toujours une personnalité humble et conviviale. C’est ainsi que s’illustrent les retrouvailles entre elle et ses inconditionnels. Ce samedi à partir de 19h 30, elle chantera sur la scène du restaurant Quantum, situé à Isoraka. Ses tubes comme « Antsoy ny anarako », « Hir’aina», « Niova ianao » ou encore « Ngidy » feront certainement raviver de beaux souvenirs pour ceux qui la rejoindront à cette soirée. Bref, la nostalgie dominera ce concert jusqu’au dernier titre.
Rija Rasolondraibe
C’est la grande star de la scène musicale religieuse. Il crée l’événement à chacune de ses prestations musicales dans la Grande île. Et ce sera encore le cas cette fois-ci. Demain, il sera au Palais des Sports, Mahamasina pour un spectacle de louange au Seigneur. Encore une fois, Rija émerveillera avec autant d’énergie le public, tout cela grâce à la foi et aux bonnes paroles qu’il communique aux autres quand il est sur scène. Le chanteur et son équipe vont une fois de plus faire le bonheur des croyants en ce samedi. Le show débutera 14h 30.
Tarika Be
Retour aux sources. Le groupe « Tarika Be », détenteur du tube « Raitra », dirigé par Hanitrarivo Rasoanaivo, Tam Rasamimanana et Ny Ony Rasolomahatratra, est de retour dans la Capitale. Cela fait suite au premier concert qui s’est tenu le 19 juin au No Comment Bar, Isoraka et durant la Fête de la musique, le 21 juin. Le groupe enchaîne avec un autre rendez vous prévu ce samedi à partir de 15h à la Teinturerie, Ampasanimalo. Au menu, un répertoire éclectique de plusieurs dizaines de titres sera aligné sur scène, allant des morceaux moins connus aux chansons incontournables qui ont fait la renommée du groupe. Un événement à ne pas rater, surtout pour les amateurs de la bonne musique.
Tsiakoraka
Les fans de « Tsiakoraka » vont certainement se réjouir. Le groupe retrouvera demain soir les lumières de la scène. Avec trente-sept années de scène à son actif, l’histoire de ce groupe est encore très loin de son dénouement. Une histoire que ce dernier entend perpétuer demain soir au Karaoké 411, Avarajozoro-Tsimahafotsy à partir de 20h. Avis aux amateurs !
Si.R


L'édition 2024 des masters de pétanque commence.  Cette dernière semaine de juin marque le retour de la compétition. Un nouveau format, un calendrier simplifié, seulement trois étapes avant le Final Four... mais davantage de parties! Effectivement, la formule quarts-demi-finale a pris fin. Désormais, deux parties de classement seront organisées le matin de chaque étape des masters.
Les célébrités de la pétanque se retrouvaient ce jeudi 27 juin à Saint-Gilles-Croix-de-Vie (Vendée) afin de lancer la compétition.
Il est vrai que pour cette entrée en matière, la chance n’a pas souri aux favoris! Philippe Suchaud et l'équipe de France 1 ont déjà été surpris pour commencer cette étape vendéenne. Ce sont les Malagasy qui donnent le rythme grâce à  Christian Andriantseheno et son équipe.
Madagascar s'impose clairement après deux heures et sept minutes de jeu.
Puis, le résultat est le même pour le monument  de la pétanque française, Philippe Quintais! De nouveau, leurs bourreaux sont toujours les  Malagasy. Le trio Philippe Quintais, Diego Rizzi et Damien Hureau s'incline dès le début de la rencontre face à l'équipe de Madagascar. Cependant, le départ était meilleur pour les Polos roses (3-1). Pas de quoi s'étonner du côté de Mada. Faralahy Urbain Joseph Ramanantiary, Herilantosoa Razafimahatratra et Andriamahazo Haja Rafanomezantsoa s'imposent directement (3-6). Une heure après le jeu, la rencontre était tendue car les Français ont tout donné pour recoller au score (5-6). Jusqu'à l'explosion de quatre points de Madagascar, contre les échecs adverses (6-11). Diego Rizzi et ses coéquipiers ne se laissent pas abattre (9-11). Chaque boule est extrêmement précieuse, le public n'a pas tort. Bien partis pour la deuxième partie pour cette matinée, ce sont les Malagasy qui remportent la partie.
Recueillis par E.F.


Le secteur du tourisme à Madagascar, représentant près de 10% du PIB national, est un moteur essentiel pour la création d'emplois, l'attraction d'investissements et le développement des infrastructures. La semaine dernière, le Centre de conférence international d’Ivato a été le théâtre de la matinée "Choose Madagascar", un événement marquant organisé par l’EDBM (Economic Development Board of Madagascar) dans le cadre du salon ITM & IHM 2024. Cet événement a réuni des acteurs clés pour discuter des opportunités et des défis du secteur touristique malagasy. Lors du premier panel, Josielle Rafidy, directeur général de l'EDBM, a introduit les discussions sur le thème « Attirer, retenir et faciliter les investissements, missions clés de l’EDBM ». Selon elle, "la nouvelle vision stratégique de l’EDBM vise à renforcer la gouvernance de l'institution et à digitaliser ses services." Cette digitalisation, en particulier celle du guichet unique de l’EDBM qui regroupe dix ministères sectoriels, est cruciale pour améliorer l'efficacité et faciliter les démarches des investisseurs. Tojo Ramamonjisoa, directeur des réformes et du développement du secteur privé de l'EDBM, a mis en lumière les avancées significatives obtenues grâce au Dialogue public-privé (DPP). Selon lui, "les DPP sont importants pour une meilleure compréhension entre les secteurs public et privé", ce qui a permis de réduire les délais de séjour des marchandises au port de Toamasina de presque 11 jours à un peu plus de 8 jours en six mois. L'EDBM ne se contente pas d'offrir des services centralisés à Antananarivo. En décentralisant ses services vers des antennes régionales, l'EDBM assure une présence accrue dans tout le pays, facilitant ainsi l'accès aux documents nécessaires pour les investisseurs. "La présence de plusieurs ministères au sein du guichet unique permet une délivrance efficace des documents nécessaires aux investisseurs", a précisé une représentante de l'EDBM.
Investissement
Le deuxième panel, intitulé « Modèles d’investissements touristiques : Ceux qui ont fait le choix de Madagascar », a rassemblé des représentants des secteurs public et privé. Le représentant du ministère du Tourisme a souligné la disponibilité de terrains aménageables pour le développement d’infrastructures touristiques. "Madagascar doit répondre à une demande croissante en chambres d’hôtel, estimée à 11.500 unités supplémentaires d’ici 2028", a-t-il expliqué. Du côté du ministère des Transports, les opportunités d’investissement dans les infrastructures de transport ont été mises en avant. François Van Rens, du Radisson Hôtel Group Madagascar, a partagé l'expérience de l'implantation de Radisson à Madagascar avec l'ouverture de trois hôtels en 2022. "Radisson est présent dans plus de 120 pays, et notre expansion à Madagascar témoigne de notre confiance en son potentiel touristique", a-t-il déclaré. Jean-Louis Salles, CEO de l’Exora Beach Hôtel Nosy Be, a insisté sur l'importance de projets d'investissement intégrés, valorisant les ressources humaines locales et l'énergie durable. "Un investissement réussi doit prioriser les impacts sur le développement de l'économie locale", a-t-il affirmé. Cette matinée "Choose Madagascar" a clairement démontré que le tourisme est non seulement un pilier économique  pour Madagascar, mais également un domaine riche en opportunités d'investissement, en dépit des défis à surmonter.
Carinah Mamilalaina

LA UNE DU 27/06/24

Publié le mercredi, 26 juin 2024

Comme toutes les autres fêtes, celle de l'indépendance nationale a été aussi sanglante, du fait d’accidents de différents types. Les faits survenus le 25 juin dernier reflètent bien cette situation. De source hospitalière provisoire, 4 personnes ont alors trouvé la mort à cause d’ accidents de la circulation qui s'étaient produits dans les quatre coins de la ville, la seule journée de mardi dernier. Une centaine d'autres personnes se sont fait consulter. Par ailleurs, ces accidents de la circulation ont fait une vingtaine de blessés. Sans doute, celui survenu à Ampitatafika a été le plus dramatique d'entre tous.

Hier, lors de la célébration de la fête du retour de l'indépendance, Faniry, une fournisseuse et productrice d' « arendrina taratasy » dans la Capitale, a partagé des nouvelles encourageantes sur l'essor de cette activité artisanale. « Nous avons commencé à fabriquer des « arendrina » au mois de novembre et décembre de l’année dernière et les avons stockés en vue de la saison des ventes », explique Faniry. Grâce à cette préparation, nous avons pu répondre efficacement aux nombreuses commandes qui ont commencé à affluer dès le début du mois de juin. « Les églises, les associations et les Fokontany ont passé beaucoup de commandes, et nous avons vendu le petit reste au marché d'Andravoahangy », précise-t-elle.

“Je n’ai jamais assisté à un tel show de ma vie. C’est la première fois et j’en suis émerveillée”. Ginah R., originaire de Faratsiho mais résidante à Antananarivo depuis quelques mois, faisait partie des milliers de personnes présentes autour du lac Anosy, mardi dernier., pour assister aux feux d’artifice et show de drones. La plupart d’entre eux ont quitté leurs habitations en début d’après-midi pour trouver la bonne place aux alentours. D’autres fonctionnaires et employés des ministères environnants ont préféré rester dans leurs bureaux depuis la matinée et joindre les terrasses ou autres en début de soirée pour éviter de manquer le spectacle. D’ailleurs, il s’agit d’une grande première pour la célébration de la fête nationale. 

Selon une étude récente de la Banque mondiale, d’ici 2025, l’exploitation minière à Madagascar pourrait représenter, dans des scénarios favorables, jusqu’à 14% du Produit intérieur brut (PIB) du pays. Cette année, les exportations de produits miniers de la Grande île ont augmenté de 27,3% au premier trimestre, selon une source officieuse. Cette croissance est principalement soutenue par l’extraction de graphite, menée par des multinationales telles que Nextsource et Tirupati Graphite. Ces grandes industries injectent des milliards d’investissement, dont une partie importante est reversée aux communautés locales et aux caisses de l’Etat. Le rôle d’Ambatovy, un autre acteur majeur du secteur minier, ne peut être ignoré.

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Editorial

  • « RIZ Plus »
    Loin des tam – tam, des bling – bling, des folklores propagandistes et surtout des séances de photogéniques en vogue, malheureusement ces temps-ci, des évènements d’intérêts cruciaux pour l’avenir immédiat, à moyen terme et à long terme du peuple malagasy, se passent à travers le pays. Le projet RIZ Plus ou projet de productivité et de résilience des moyens de subsistance ruraux fait son bonhomme de chemin. Il contribue à l’objectif essentiel à savoir « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable » dans le cadre de l’Objectif de développement durable (ODD) diligenté par l’ONU et s’inscrivant directement dans la Politique générale de l’Etat (PGE) autrement dit « l’autosuffisance alimentaire ».

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