C’est presque désormais une tradition pour la famille présidentielle. Hier, le Président de la République, son épouse et ses enfants ont célébré Noël avec la population de l’Akamasoa. La famille du Chef de l’Etat a assisté à une grand-messe tenue à la carrière Mahatazana qui, comme à l’accoutumée, a été dirigée par le Père Pedro.
« Brisez-le silence, osez dénoncer ». C’est par ces expressions désormais devenues cultes que la Première Dame, Mialy Rajoelina, se positionne en figure emblématique de la lutte contre les formes de violences basées sur le genre (VBG) dont le viol. Bien que son combat ait commencé beaucoup plus tôt, les messages véhiculés par la « First Lady » dans ce sens ont marqué les esprits durant cette année 2020. Il faut dire qu’en se lançant dans cette bataille, elle n’a pas fait les choses à moitié.
Dans le cadre du programme du World Badminton Federation ( WBF) « Shuttle Time », une vingtaine de tuteurs et d’enseignants d’éducation physique suivent un cours pratique de formation en badminton scolaire à l’Académie nationale des sports (ANS) , Ampefiloha depuis deux jours. Des responsables au niveau des CISCO prennent également part à ce stage. Un cours dispensé par le Directeur technique national (DTN) de la Fédération malagasy de badminton, Aina Vonjinirina. Ce dernier est l’un des responsables dudit programme dans les pays francophones d’Afrique. Les participants sont issus des écoles primaires publiques de la Capitale pour la majorité et quelques enseignants des écoles privées.
Voahangilalao Joséphine Razanabary, l’une des auteurs de pièces radiophoniques à Madagascar, a sollicité trois fois les régimes qui se sont succédé afin de lui décerner une distinction honorifique. Cependant, il a fallu 20 années de production pour cette propriétaire de plus de 200 titres afin d’être décorée de la médaille de Chevalier de l’Ordre des arts, des lettres et de la culture.
La période de pluie ne fait que commencer et les habitants dans le Fokontany d’Ampasamadinika vivent déjà dans la terreur. En effet, la pluie torrentielle qui s’abattait dans la Capitale, lundi dernier, a engendré un autre éboulement, l’énième qui s’est produit dans cette localité depuis le mois de février. De jour comme de nuit, les familles qui y sont encore restées se sentent menacées, tandis que d’autres ont déjà quitté leurs demeures pour vivre ailleurs. Ces dernières ont déjà perdu tout espoir que leur vie reviendra comme avant.
Depuis que le Royaume-Uni, viennent après l’Italie, l’Afrique du Sud, le Danemark, les Pays-Bas et l’Australie ont confirmé l’apparition de la nouvelle souche du coronavirus plus contagieuse jusqu’à 70 % de taux de transmission, le monde est en alerte. Si ce sont les pays européens qui ont décidé en premier de suspendre leur liaison aérienne, ferroviaire et maritime notamment envers le territoire britannique, la Région de l’océan Indien panique également. A cet effet, l’île Maurice vient de publier un avis international qui s’y rejoint.
« Madagascar a le taux de positivité le plus élevé en matière de cancers féminins ». Marie Michelle Sahondrarimalala, ministre de l’Education nationale (MEN), l’a avancé hier à Anosy. En fait, la Grande île enregistre chaque année environ 18 000 nouveaux cas de cancers, selon l’estimation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dont plus de la moitié concernent ceux gynécologiques. Ces derniers incluent le cancer du sein et celui du col de l’utérus. « Les femmes âgées entre 15 et 25 ans sont les plus sensibles aux cancers.
A en croire la publication d'un certain quotidien de la place, proche de l'opposition, des ténors du TIM auraient déclaré en substance à l'endroit du régime Orange « Pour nous, deux ans, cela suffit ! » On tombe des nues ! (Dia gaga ianao !) En vertu de quel principe, au nom de quel droit et sur la base de quel critère ces parlementaires fervents opposant au régime Rajoelina, oseraient-ils proférer ainsi ? Leur gourou de Ravalomanana Marc devrait avoir le courage de leur corriger les termes car ils disent pour ne rien dire. Du n'importe quoi.