La réussite a été au rendez-vous ce weekend de Pentecôte au gymnase Ankorondrano durant la première édition du Tournoi international de la ville d’Antananarivo (TIVA), 1ere édition. Les judokas malagasy ont remporté cinq médailles d’or, trois pour La Réunion et deux pour Mayotte dans les combats réunissant les trois îles Vanille. Une bonne journée de compétition pour le JCSM (Judo Club Saint-Michel), Amparibe.
Les actions sociales effectuées par le Groupe FILATEX se suivent mais ne se ressemblent pas. Tous les domaines sont concernés et parmi ses priorités figure l’éducation. Effectivement, l’apprentissage des jeunes dépend toujours de la lecture. Ainsi, la promotion de cette discipline auprès des élèves dans les écoles primaires est maintenant priorisée par cette entreprise citoyenne. Selon une responsable au sein du Groupe FILATEX, la lecture doit être primordiale au niveau de ces écoles. Cependant, l’un des problèmes bloquant l’atteinte de cet objectif est le manque de livres, notamment dans les bibliothèques des écoles publiques. « Nous tenons vraiment à ce que les élèves ne manquent de rien à l’école, surtout en matière d’apprentissage.
La déviation de routes suite aux travaux de réhabilitation des chaussées paralyse actuellement la circulation dans la ville d’Antananarivo. Depuis mardi dernier, la voie située entre les ronds-points d’Ankazomanga et Antanimena est fermée à toute circulation pour cause de travaux. Les usagers qui empruntent ces axes ont rencontré de grandes difficultés à se déplacer. Et depuis hier, c’est toute la population tananarivienne qui en paie le prix fort.
La règlementation de la circulation des charrettes et pousse-pousse dans la ville d’Antananarivo est opérationnelle depuis le début de ce mois. Après la publication de cette note de service et afin de sensibiliser les conducteurs de ces moyens de transport, les policiers municipaux et communaux ont organisé une rencontre avec les propriétaires de ces moyens de transport, la semaine dernière. D’ailleurs, le manque de communication et de sensibilisation entre les parties concernées reste une grande lacune dans l’application de la loi dans la Capitale.
Attention, un grave danger guette le régime IEM de Rajoelina Andry Nirina. En fait, la dérive policière plane et risque d'assombrir la prestation courageuse bien appréciée jusque-là. La gâchette facile constatée ces derniers temps témoigne de la dangerosité de la situation. Les exactions abusives commises par certains éléments des Forces de la défense et de la sécurité (FDS) coûtant la vie aux concitoyens ont tendance à se multiplier et s'érigent même en mode opératoire …systématique.
Modernisation. La cartographie mue avec l’arrivée de la nouvelle technologie. Dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de la topographie, l’Autorité nationale en matière de cartographie et d’informations géographiques a fait savoir, hier, les touches d’innovation apportées dans la mise à jour des cartes de Madagascar. En effet, la topographie actuelle requiert la précision qui entre dans le cadre de l’amélioration des infrastructures. A noter que la localisation part d’un point pour maintenir les mêmes coordonnées afin d’éviter les erreurs dans la mise en place d’une infrastructure. Dorénavant, cette institution utilise des appareils sophistiqués. Les informations seront facilement consultables grâce à un GPS différentiel.
Officieusement élus, ils croupissent pourtant en prison. Ce fait inédit à Madagascar et rarissime dans le monde entier soulève tant de questionnements et de discussions sur les réseaux sociaux. Ce cas concerne quatre candidats à l'élection législative qui en se référant aux résultats officieux publiés par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) sont en bonne position pour ravir la place ou l'une des places en jeu dans leur District respectif. Bien qu'ils soient réduits au silence durant la campagne électorale, leurs colistiers et leurs équipes ont fait le boulot avec les résultats qu'on connait.
Un petit garçon de 3 ans fut enlevé le 24 mai dernier à Soavinandriana-Itasy. Le lendemain, ses ravisseurs ont exigé une rançon de 10 millions d’ariary aux parents de l’enfant pour le prix de sa liberté. Vendredi dernier, ces derniers ont envoyé la somme de 1 million d’ariary aux bandits histoire aussi pour les parents du gosse de connaître au moins l’identité de l’inconnu lequel est le propriétaire du numéro de téléphone avec lequel il s’est servi pour réceptionner l’argent. Ce fut chose faite. Entre-temps, l’affaire a favorisé une meilleure collaboration avec la Brigade criminelle et les sociétés d’appels téléphoniques mobiles. L’objectif était simple : avoir la traçabilité des ravisseurs. C’était dans ces circonstances que la Police les a localisés dans la Capitale, précisément à Ivandry. Mais cela n’a pas abrogé pour autant l’enquête. Le 3 juin dernier, les bandits ont de nouveau contacté les parents du petit otage mais cette fois-ci avec un autre numéro de téléphone. En procédant toujours comme la fois précédente, la Police a repéré d’où venait l’appel. Cette fois, il provient d’Andilamena et cela a facilité la tâche des limiers de la BC afin de savoir que le petit otage s’y trouvait avec les kidnappeurs. Du coup, les éléments de la BC s’étaient donc dépêchés dans cette localité du Nord-Est sise aux confins des Régions du Betsiboka et de l’Alaotra-Mangoro. Ils ont bénéficié de l’appui de leurs collègues basés localement.