Nos archives web

Comme chaque année et ce depuis l’année 2010, la date de la tuerie du 7 février a été commémorée par les partisans de la révolution Orange de 2009. Cela fait 11 ans que la marche pacifique des manifestants de la place du 13 mai a viré au carnage. Hier, le Président Andry Rajoelina était en tête de file, lors de la cérémonie qui s’est tenue à Ambohitsorohitra, devant la stèle commémorative des victimes. Le Chef de l’Etat a procédé au dépôt de gerbes en mémoire des personnes qui ont perdu la vie à cet endroit. 

LA UNE DU 08 fevrier 2020

Publié le vendredi, 07 février 2020

La semaine dernière, la nouvelle à propos du comportement arbitraire d’une jeune mère de famille de 24 ans, qui a jeté délibérément son petit garçon d’un an et demi dans le canal Andriantany, aux 67ha, a scandalisé l’opinion. Après une période de détention policière liée au besoin de l’enquête, cette femme était déférée au Parquet, mercredi dernier. Par la suite, elle fut incarcérée à la maison centrale d’Antanimora à titre provisoire. Elle a argué une  dissension qui l’aurait mise aux prises avec son mari, qu’elle accuse son indifférence devant son sort et celui de sa progéniture comme explication à son geste purement infanticide.  Mais elle n’aurait pas supporté non plus la difficulté de la vie, situation qui l’aurait empêchée à nourrir convenablement son gosse. Quant à celui-ci, il a été envoyé dans un foyer pour petits orphelins à Ambohidratrimo, depuis.

 

Un mort, une trentaine de maisons réduites en cendres, une centaine de sans- abris. Les dégâts du récent incendie à Anjanahary II N, survenu dans l’après-midi du 1er février dernier, sont lourds. Sur les 33 maisons ravagées par les flammes, 13 sont des constructions en dur dont 3 comportant des étages. « Nos pertes sont énormes. Nous avons perdu des années d’économie en quelques heures, non seulement celle investie dans la construction de nos maisons mais aussi tous nos biens », pleure une mère de famille, parmi les résidents des maisons en dur.

Une extension. A l’heure actuelle, les réseaux interconnectés relient seulement Antananarivo, Antsirabe et Mandraka. Afin d’acheminer l’énergie électrique dans d’autres villes, le groupe de la Banque africaine de développement (BAD) a octroyé un prêt de 38,4 millions de dollars dans le cadre du projet de renforcement et d’interconnexion des réseaux de transport d’énergie électrique à Madagascar. Une cérémonie de signature s’est tenue hier entre Richard Randriamandrato, ministre de l’Economie et des Finances et Mohamed Cherif, représentant pays de la BAD.

Les mesures prises par la nouvelle équipe de la Mairie concernant l'assainissement de la ville d'Antananarivo font des mécontents. Un mécontentement qui se manifeste dans les rues pour certains et sur les réseaux sociaux pour d'autres. Les deux mesures les plus contestées actuellement concernent le délogement des marchands de rue notamment ceux qui occupent les trottoirs et la hausse du coût des frais de fourrière.

 

Le débat projet d'exploitation agricole dans le Bas-Mangoky, en partenariat avec une société issue des Emirats Arabes unis débarque à l'Assemblée nationale. Au cours d'un point de presse hier à Tsimbazaza, une quinzaine de députés ont apporté des précisions sur le « plus grand projet agricole du 21è siècle à Madagascar ». Face à la polémique entourant le projet, les Siteny Randrianasoloniaiko, Tsitara Rogers Osman, Lucien Rakotomalala, appuyés par Paul Bert Velontsara, Honoré Rasolonjatovo, Bavy Angelica Michelle, affirment avoir effectué leurs enquêtes. Des descentes sur place ainsi que des rencontres avec les responsables ministériels ont notamment été menées.

 

Les informations relatives à un détournement au sein de la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) ont fait beaucoup de bruit au sein des médias ces derniers jours. Pour rappel des faits, une enquête effectuée par la Brigade financière au sein du Trésor public a révélé un « gap » de 3 milliards d'ariary dans les caisses de la Commune. Pour le moment, le seul et unique suspect épinglé dans cette affaire est le trésorier principal de la CUA. Après transfert du dossier au niveau du Pôle anti - corruption (PAC), le concerné a été déféré devant cette Cour spéciale puis placé sous mandat de dépôt à Antanimora.

 

LA UNE DU 07 FEVRIER 2020

Publié le jeudi, 06 février 2020

Les conditions d’obtention remise en cause par la France. Désormais et plus précisément à partir du 30 mars 2020, les permis de conduire malagasy ne pourront plus être échangés en France. En raison de l’harmonisation européenne en matière de conditions de délivrance des permis de conduire et ce afin de stabiliser juridiquement les échanges de permis de conduire étrangers, la France s’est engagée dans une réforme de son dispositif d’échange des permis de conduire. Dans un communiqué publié par l’ambassade France à Madagascar, hier, il a été évoqué que les conditions de délivrance des permis de conduire à Madagascar s’étant avérées, après examen, éloignées des critères européens intégrés dans notre propre réglementation.   

Fil infos

  • Protection des personnes atteintes d’albinisme - Les députés adoptent un nouveau texte 
  • Autoroute Antananarivo-Toamasina - Une série de rencontres pour anticiper sur les contestations                                                                      
  • Pêche illégale - Un bateau sri-lankais intercepté avec 12 tonnes de requins frais
  • Ile de Nosy Be - Un ex- député accapare plus d’un millier d’hectares de terrains
  • Sommet sur l’Océan à Nice - Madagascar en première ligne pour défendre les intérêts de l’Indianocéanie
  • Route Antananarivo-Toamasina - Renforcement des ouvrages vulnérables
  • Akamasoa - Une école inaugurée par les Présidents malgache et slovène  
  • Fuite d’informations  - La CENI condamne la convocation de son 1er vice-président par la cybercriminalité  
  • Centre Akamasoa - La Présidente de la Slovénie rend hommage au Père Pedro
  • Sahara marocain - " L’initiative du Maroc soutenue par le Royaume- Uni"

La Une

Recherche par date

« June 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
            1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30            
Pub droite 1

Editorial

  • Akamasoa, un modèle !
    Père Pedro frappe. Akamasoa impressionne. Et les pensionnaires, des anciens sans-abri, jubilent ! En proie à une admiration parfois même à un étonnement sincère, l’opinion publique reconnait à travers Akamasoa une œuvre pouvant servir d’exemple voire de modèle. Akamasoa est une association humanitaire œuvrant à Madagasikara. Fondée par Père Pedro Opeka en 1989, Akamasoa (bons amis) vise à aider les plus pauvres, des sans-abri et à leur redonner le sens de la dignité humaine. De leur situation de misère, sans travail fixe rémunéré et sans habitation et mal nourri, Akamasoa leur offre un minimum de décence.

A bout portant

AutoDiff