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La nouvelle est tombée tel un couperet. Nous avons appris avec une profonde tristesse le décès de l'une des éminentes nouvelles figures de la presse sportive nationale. Il s'agit de Liva Andriamananjara, parti très jeune à l’âge de 34 ans.
Liva a été emporté par un infarctus, d’après le médecin légiste. En effet, il ne se sentait pas bien quand il a quitté le studio Arena pour rentrer chez lui. Quand bien même, il s’est arrêté dans une gargote située à Alarobia pour prendre une casse-croûte. Puis il est tombé sur les lieux. Un de ses collègues, qui  essaya de le joindre au téléphone pour une urgence du travail, a appris la nouvelle par le biais d’une personne sur place  ayant répondu à l’appel. Quand la voiture du personnel de Viva est arrivée sur les lieux, ses collègues ont constaté qu’il ne respirait plus.
Liva était journaliste de la chaîne de télévision privée Viva depuis 2012. Un fervent supporteur des Barea et des Ankoy.
 Liva Andriamananjara était un journaliste animateur de Viva sport, l'une des émissions  les plus suivies dans le pays. Serviable, aimable, Liva était l’ami de tout le monde dans le milieu du sport allant des sports de quartiers jusqu’au plus haut niveau. Rares sont ceux qui ne le connaissaient pas. Ce qui faisait de lui, une des nouvelles figures de la presse sportive. Et il avait tous les potentiels pour devenir  un grand journaliste. Il ne se contenta pas de couvrir les événements sportifs mais il a tout donné pour le développement du sport malagasy.
Lui-même fut  l’un des concepteurs du projet de téléréalité de football baptisé « Viva Futbol », Tournoi U17 dont la première édition est prévue lors des prochaines vacances de Pâques notamment du 11 au 18 avril prochain. Malheureusement, le sort en a décidé autrement.
 Nous nous associons à la peine de sa famille et ses proches présentons nos sincères condoléances à toute l’équipe de l’émission « Viva Sport » et toute la presse nationale en général et sportive en particulier.
Elias Fanomezantsoa

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LA UNE DU 03 AVRIL 2023

Les jeunes sont l’avenir d’une société. Dans cette optique, « Life Skills », signifie « Compétences et apprentissages tout au long de la vie ». Dans le cadre du projet « Life Skills Fanoitra », le ministère de la Jeunesse et des Sports veut forger la jeunesse malagasy à cultiver une pensée et avoir  une vision positive pour pouvoir briller dans sa vie quotidienne. C’est l’objectif principal de ce projet lancé en 2022. Plus de 9 000 jeunes ont bénéficié du « Life Skills», Module 1 «  Culture et Vision ». Ils étaient plus de 6 000 jeunes, tous originaires de la Région d’Analamanga,  à avoir reçu leur attestation cette fin de semaine au Palais des Sports de Mahamasina.

Vers 11h du matin samedi dernier, un taxi-brousse, roulant vers Ambovombe via Taolagnaro, a pris subitement puis totalement feu. Le drame s'est produit sur une descente, près de Bevilagny, Commune d'Ankariera sise à 40 km de Taolagnaro. Le bilan fut lourd : sept passagers du minibus Mercedes-Benz 307 meurent piégés totalement dans les flammes. Trois d'entre eux sont des enfants dont le plus jeune n'avait que 4 ans. Un couple figure parmi les victimes adultes. 

« Il y eut une explosion puis des flammes ont rapidement envahi l’habitacle. Tous ceux qui ont été brûlés vifs ont occupé la rangée de sièges sise derrière le poste de conduite. Le conducteur aurait essayé de les évacuer du véhicule au moment de son embrasement », explique une source auprès de l'EMMO Toliara. 

Les écoles inclusives et centres spécialisés en nombre restreint. De plus, les frais de scolarité et autres dépenses liées à l'éducation des enfants autistes sont exorbitants, hors des moyens de la plupart des parents. Le droit à l'éducation de ces enfants extraordinaires reste un défi. La mère de Lucas, un jeune autiste âgé de 17 ans résidant à Itaosy, en témoigne. 

« J'ai été au courant que mon fils était autiste depuis ses 4 ans. Il n'aime pas jouer ou être avec les enfants de son âge. On l'a envoyé en classe, mais on n'a obtenu aucun résultat en 3 ans. Pis, il a été à maintes reprises renvoyés de l'école à cause de ses troubles comportementaux, perturbant les élèves et enseignants. Ces derniers nous ont suggéré de consulter un spécialiste. Nous l'avons emmené voir un pédopsychiatre, qui a confirmé son handicap », nous confie-t-elle. 

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Quid d'une brèche 

Jusqu'où le régime Orange pourrait-il accepter, endurer voire cautionner l'issue de ce processus entamé par la CENI et adoubé par les ténors de l'Opposition, salué ou félicité par les dignitaires du FFKM et finalement applaudi et encouragé par une frange de la communauté internationale. Une brèche qu' Andrianarisedo Rétaf et compagnie ont bien voulu creuser. Lequel processus qui consiste à diaboliser le code électoral en vigueur s'inscrivant dans le cadre de la Loi organique relative au régime général des élections et référendums à Madagasikara nouvellement adoptée au Parlement.

Un appel à projet. Le « Prix Pierre Castel » (PPC) est actuellement à sa 6è édition, la seconde pour Madagascar. Lancé par le groupe Castel, le PPC vise à pousser l’entrepreneuriat des jeunes pour mettre en place une solution pérenne par rapport à la durabilité des systèmes alimentaires sur le continent africain. Le concours s’ouvre aux jeunes entrepreneurs malagasy âgés de 18 à 45 ans, résidents et opérant dans le secteur de l’agriculture et de l’industrie à Madagascar. Le concours vise à apporter un soutien financier et une formation pouvant forger et renforcer leur capacité à faire face aux enjeux inhérents dans leurs secteurs.

Aina, de son vrai nom Andrianantenaina Tolotriniaina, pratique la chiropratique depuis de nombreuses années. Cet homme, originaire d’Ambatondrazaka, a hérité son talent de son grand-père qui pratiquait aussi le massage thérapeutique dans la Région d’Alaotra. Aina est arrivé à Antananarivo en 2007 et depuis, de nombreux patients ont été guéris par ses mains magiques.

« Mon cabinet est ouvert de 6h 30 à 19h. Ici, personne ne rentre bredouille et insatisfaite. Je n’ai jamais reçu de reproches de la part de mes clients depuis que j’exerce ce métier. La plupart d’entre eux ont même demandé s’ils peuvent revenir tous les jours, mais cela n’est pas recommandé », a-t-il déclaré.

Voilà un anniversaire qu’Henri Ratsimbazafy n'est pas près d'oublier. Pour ses 90 ans, le chanteur est monté sur la scène du CCEsca à Antanimena. La salle était pleine à craquer hier. L'artiste, très ému dès le début de son spectacle, a tenu à remercier le public venu en masse pour cette grande fête. Dès 14h, les spectateurs ont attendu avec impatience l’arrivée du chanteur. On peut deviner tout de suite que la plupart d’entre eux sont des fans de la première heure. Ceux-là ont su faire partager leur passion autour d’eux et emmener avec eux des jeunes générations. En effet, les gens sont venus en famille pour applaudir Dear Henry cet après-midi-là. Et ne comptez pas sur le chanteur pour les décevoir. Ce n’est pas parce qu’il a 90 ans que ce grand artiste allait ménager ses efforts. Pour son public, il donne tout, et cette fois-ci durant plus de trois heures. Certes, il possède toujours autant d’énergie et de charisme sur scène. 

Un message fort. Lors de son discours, lors de la cérémonie d'ouverture de la journée de la Gendarmerie nationale à Antsirabe, le Secrétaire d'Etat à la gendarmerie nationale auprès du ministère de la Défense nationale, le Général Serge Gellé a présenté des excuses et endossé la responsabilité des erreurs commises par ses collaborateurs. « Je vous demande de me pardonner pour les fautes que je n'ai peut-être pas faites moi personnellement, mais en tant que ray aman-dreny, j'ai le devoir de les endosser, en tant que symbole, car c'est moi qui ai accepté de prendre tous les engagements au nom de la Gendarmerie nationale », indique le SEG dans son discours. Même s'il ne l'a pas explicitement affirmé, bon nombre d'observateurs pensent que le numéro Un de la Gendarmerie parle de l'enregistrement sonore comportant la voix du Président Andry Rajoelina s'adressant notamment au SEG, qui a été diffusé sur les réseaux sociaux récemment. Face aux proportions que prenait cette affaire, le secrétaire d'Etat ne pouvait visiblement pas rester silencieux.

Fil infos

  • Affaire Hôpital militaire de Soavinandriana - Démenti formel des autorités militaires
  • Président Andry Rajoelina - « Exploiter nos ressources minières est la seule issue pour sortir la population de la pauvreté »
  • Déclarations du colonel Patrick R. - La polyclinique d’Ilafy rétablit la vérité
  • Intervention télévisée - Le Président attendu sur plusieurs sujets cruciaux
  • ACTU-BREVES
  • Tiavina Murah Carène - La lolita malagasy n’est plus
  • Conduite en état d'ivresse et excès de vitesse - Un Chinois décime toute une famille
  • Irrégularités dans l’utilisation de fonds publics - La Cour des comptes d’Antananarivo épingle plusieurs Communes
  • Sommet de la SADC 2025 - Une mission préparatoire à Madagascar pour assurer le succès
  • Bangladesh - Un lémurien en cours de transfert à Antananarivo

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Editorial

  • Ambition légitime !
    Encore et toujours dans le cadre global des deux évènements de haute importance et d’intérêt supérieur pour Madagasikara, à savoir la visite d’Etat et le Sommet de la COI, le pays vise à devenir le grenier de l’océan Indien. Une ambition légitime que les dirigeants de la Grande île n’ont pas cachée aux membres de la délégation à travers les réunions préparatoires et durant les cérémonies officielles. En réalité, le pays compte fermement redevenir le « Grenier de l’océan Indien ». En fait, la Grande île le fut déjà durant la Première République. L’autosuffisance alimentaire fut une réalité vécue au quotidien. On exportait, à part les produits de rente tels la vanille, le cacao ou autres, du riz (le fameux « riz rouge » ou le riz de luxe, le Madrigal) en Europe jusqu’aux Etats-Unis d’Amérique, sans parler des îles voisines. Epoque où la Grande île portait fièrement l’étiquette l’« …

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