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La une du 30 mars 2023


Le sang a coulé. Des vies ont péri.
Dirigeants politiques en place, camp de l’Opposition toutes tendances confondues, acteurs de la société civile, simples citoyens sur l’étendue du territoire national ont commémoré ensemble dans le recueillement, le respect et dans la dignité les tristes évènements du 29 mars 1947. Les soixante-seize années qui ont coulé n’ont jamais réussi à écorner ni à affaiblir les feux sinon la flamme du patriotisme.
Quoiqu’on dise, les « évènements du 29 mars 1947 » accusèrent la barbarie des colons ainsi que les « Corps expéditionnaires » africains notamment sénégalais dépêchés à Madagasikara et ce pour mater les supposés insurgés. Des représailles surdimensionnées !
Sans foi ni loi et sans autre forme de procès, les Vazaha et consorts ont écrasé des vies humaines, des civils innocents. Ils ont détruit ou incendié des habitations, des plantations, etc. Le bilan des victimes varie selon le positionnement politique. La presse et les historiens à la solde du pouvoir colonial faisaient état de quelque 15.000 à 20.000 morts sans compter des portés disparus. La Métropole et les tenants du pouvoir colonial sur place ont tenté de minimiser ou de relativiser l’ampleur des dégâts commis. Certains observateurs et certains historiens qui s’efforcèrent d’être objectifs en jouant la carte de l’exactitude des faits à partir des enquêtes sur terrains déploraient la perte des vies humaines allant jusqu’à 100.000 à 150.000 victimes, au moins, sans compter évidemment des portés disparus. Et ils n’hésitaient pas de déclarer qu’il s’agissait d’un génocide. Quoi qu’il en soit, le débat reste ouvert. Le dossier n’est pas clos ! Le questionnement du quotidien « Gazety Hehy » du feu Célestin Andriamanantena demeure toujours d’actualité « Fihantsiana sa Fikomiana ? » littéralement « Provocation ou rébellion ? ». En tout cas, la France doit nous rendre des comptes. Elle nous doit des excuses et des réparations !
Le régime Orange dirigé par Rajoelina Andry Nirina tient toujours à rendre hommage aux victimes du « 29 mars 1947 ». A l’époque de la Première République, 1958  - 1972, période néocoloniale, la commémoration du « 29 mars 1947 » passait presque inaperçue. Le régime PSD de feu Philibert Tsiranana, inféodé à la Métropole, ignorait ou tentait d’étouffer les crimes barbares commis par le pouvoir colonial en 47. Il fallait attendre l’arrivée au pouvoir d’un certain Didier Ignace Ratsiraka inaugurant la Deuxième République, en 1975, pour que le pays puisse commémorer dans le recueillement et dans la dignité les tristes « Evènements de mars 1947 ». Il faut raviver pour toujours la mémoire collective ! Il va falloir aussi cultiver la fierté nationale !
En effet, les générations d’aujourd’hui et de demain doivent toujours mémoire et du respect à l’endroit des aînés qui ont sacrifié leurs vies pour la Patrie. Un devoir de mémoire collective à l’endroit de nos aînés. Le sang versé et les pertes de vies humaines ont ouvert la voie vers le retour à l’indépendance, à la souveraineté nationale.  La France se trompait en jugeant nécessaire de réprimer brutalement afin que la flamme du patriotisme des malagasy soit matée dans l’œuf. Non, au contraire, les répressions violentes et inhumaines ont rallumé davantage la flamme de l’amour de la Patrie !
Vive la Patrie !
Ndrianaivo


Un vibrant appel à l’unité nationale. Ce fut le message fort dans le discours du Président Andry Rajoelina lors de la cérémonie de commémoration du 29 Mars 1947, hier à Moramanga. « Je lance un appel au peuple malagasy à rester uni et ne pas céder aux tentatives de division », a – t – il lancé devant un parterre de citoyens et de combattants nationalistes. Et le Président d’ajouter que « nos braves ancêtres sont des exemples pour nous tous. Nous ne pouvons pas oublier la vague de patriotisme qui a animé la lutte démarrée à Moramanga et Manakara ». Le numéro un du pays a justement insisté sur l’importance du patriotisme dans toutes les actions et missions pour la patrie.
Il n’a pas manqué de pointer du doigt « l’égoïsme » de certains acteurs politiques qui agissent pour leur propre intérêt et non pour l’intérêt du peuple. « Le pays a besoin de notre engagement pour s’en sortir », ajoute encore le Président. Il réitère ainsi sa volonté à servir le pays jusqu’au bout. « Je suis Malagasy, né Malagasy, au service des Malagasy et mourra Malagasy », conclut – il.
Combat commun pour le développement
Puisque le combat pour le développement constitue une cause commune à tous les Malagasy, le Chef de l’Etat a profité de l’occasion pour souligner les nombreuses réalisations dans la Région Alaotra-Mangoro dont la réhabilitation de la mythique RN44 qui est déjà presque achevée. Le parcours cauchemardesque de cet axe menant vers un des greniers à riz de Madagascar ne sera désormais plus qu’un lointain souvenir. Il a d’ailleurs promis que l’inauguration de cette infrastructure qui relie Antananarivo et Ambatondrazaka est imminente.
Plus tôt dans la matinée, le Chef de l’Etat a déjà honoré la traditionnelle cérémonie de dépôt de gerbe qui s’est tenue au Mausolée des martyrs à Ambohitsaina. « Tolo-panafahana, firaisan-kina ho an’ny fitiava-tanindrazana » (lutte de libération, unité pour le patriotisme), tel est le thème du 76ème anniversaire de l’insurrection du 29 mars 1947 pour l’indépendance.
S.R.



Vers 6h30 du matin, mardi dernier, un chef de famille de 66 ans et non moins propriétaire de cash point fut mortellement agressé à Soamanandrariny. Et pourtant, cette agression, qui fut perpétrée par trois individus équipés d'armes de poing, s'est produite à quelques pas de la maison de la victime. L'assaut s'est soldé par le vol d'une somme de 21 millions d'ariary que le père de famille a transportée à l'intérieur d'un sac.
Les circonstances de l'élimination du malheureux relève vraiment d'une barbarie, du moins d'après ce qu'une commerçante l'eut rapporté en ces termes : "Lorsque les bandits ont rattrapé le chef de famille, ils ont d'abord fait feu en visant le sol, pensant intimider de cette sorte la victime. Puisque celle-ci n'a pas voulu se laisser faire, les agresseurs ont de nouveau tiré, par deux fois, et en visant cette fois-ci le sexagénaire. Sous les impacts, le concerné s'écroulait sur place. Les balles ont perforé l'entraille sinon atteint ses organes vitaux. Les malfaiteurs ont profité de cette situation pour s'emparer rapidement du sac contenant les liquidités. "Nous avons entendu des détonations. J'étais alors sorti en trombe pour voir ce qui s’est passé. C'était dans ces circonstances que je découvre mon père gisant au sol au milieu d'une mare de sang", explique le fils du propriétaire de ce cash point.
Témoin à la scène
Quelques mètres plus loin, une commerçante était en train de ranger les denrées sur l'étal lorsque le coup de feu a éclaté. Elle a d'abord pensé à une crevaison. Mais elle a été rapidement confrontée à la réalité en voyant les bandits à la poursuite de la victime, les armes à la main. "J'ai crû qu'ils s'étaient bagarrés. Mais en réalisant ce qui s'est réellement arrivé, j'ai donné l'alerte. Les bandits ont alors tiré dans ma direction", raconte cette marchande de légumes, témoin elle aussi à cette scène et plus que jamais traumatisée.
Ce n'était qu'une dizaine de minutes après que les gendarmes sont arrivés sur les lieux tandis que les malfrats, eux, étaient déjà loin. Les recherches pour tenter de retrouver les traces des bandits n'ont fait que démarrer.
Pour les proches de la victime, ce qu'ils ont redouté le plus s'étant donc produit. D'après toujours son fils, ils ont déjà plusieurs fois recommandé au chef de famille d'être prudent et vigilant lorsqu'il devait transporter une somme énorme. "Mon père était confiant en lui-même et nous disait de ne pas nous soucier pour lui", continue le jeune homme. Quelques jours à peine après que des personnes ont été incarcérées pour avoir arnaquer des opérateurs de cash point à Behoririka, voilà que des bandits ont mis un terme à l'existence de ce sexagénaire à Soamandrariny.
Franck R.



Ouf de soulagement des usagers. Après une dizaine de jours de fermeture à cause des travaux de réfection, l’axe Ankadimbahoaka – By-Pass est de nouveau accessible à la circulation et ce en début de soirée de mardi dernier. Une réouverture reportée de quelques jours avec le délai supplémentaire pour la réhabilitation, entraînant grogne et déception. L’entreprise Magic s’est chargée des travaux de réfection de cette chaussée de 2,6 km, incluant la réparation de toutes les dégradations et le buttage de l’accotement des zones à traiter. A cela s’ajoute l’aménagement des arrêts de bus et du rond-point. « Le laboratoire national des travaux publics s’est, quant à lui, assuré du suivi des normes et de la qualité requise », a précisé le colonel Livah Ndriamihaja Andrianatrehina, ministre des Travaux publics (MTP). C’était mardi dernier, lors d’une visite du chantier à quelques heures de la réouverture de l’axe.
Pour les autres rues d’Antananarivo, 17 axes sont actuellement en cours de réparation ou dans la liste de celles à traiter, selon les informations recueillies. « Les travaux n’ont pu se faire que maintenant à cause des pluies, mais ils vont s’enchaîner », rassure le ministre de tutelle. Parmi les tronçons concernés par la réfection figure celui du rond-point d’Andranomanalina vers Jovena 67Ha, celui d’Ambodin’Isotry vers BMH ou encore vers Jovena 67Ha. La réparation de l’axe Total Ampefiloha vers Tsaralalàna, Ambatomena et Analakely démarrera incessamment. « Le MTP se charge des travaux d’envergure tandis que la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) s’assure des entretiens, ne nécessitant pas l’utilisation des grands engins. La Région Analamanga vient en renfort », informe Hery Rasoamaromaka, gouverneur de ladite Région. « Les travaux devraient être entrepris dès qu’un petit trou se présente dans une rue. Chacun de nous est responsable de l’état piteux des rues de la Capitale », ajoute-t-il.
Pour sa part, le maire de la CUA en la personne de Naina Andriantsitohaina souligne la collaboration avec la JIRAMA pour la réparation des rues touchées par les travaux d’entretien effectués. Le ministre de tutelle insiste sur le fait que l’eau constitue le principal ennemi des rues bitumées. Le lavage des voitures ainsi que l’entretien des véhicules sur les chaussées sont également à bannir, pour assurer la pérennité des infrastructures routières…
Patricia Ramavonirina








La majorité des conducteurs du deux- roues sont des jeunes. De nombreux lycéens choisissent également ce moyen de transport pour éviter les interminables embouteillages de la Capitale. Cependant, beaucoup ne connaissent ni le code de la route ni le comportement au volant, engendrant  des accidents de la circulation. De plus, les jeunes sont souvent violents et adorent la compétition.Vu cette situation, ils mettent en danger leur vie et celle de leurs entourages.
 En tant qu'association œuvrant dans la lutte contre les accidents des deux-roues, l'association Riders Scoot community (RSC) qui en regroupe les conducteurs, estime qu'elle a une grande responsabilité dans la protection des jeunes.
Dans ce cadre, l'association organise une formation sur la sécurité routière au niveau des écoles. Un projet qui a été entamé, au début de cette semaine, au niveau de la Circonscription scolaire (CISCO) d' Antananarivo-Renivohitra. Selon le responsable de la RSC, les lycéens sont les principales cibles puisqu'ils ont commencé à utiliser les deux- roues. Imprudents, ils sont exposés au danger à tout moment.
Pour cette première phase, ce sont les lycéens au niveau du Lycée Jean Joseph Rabearivelo (LJJR) qui a bénéficié de la formation. Plus de 400 élèves de la classe de première ont reçu une formation sur la prévention routière, le code de la route ainsi que le comportement des usagers de la route. A noter que la formation a été dirigée par le capitaine Toky Andriambeloniana.
Ce projet est le fruit d'une collaboration entre l'association RSC et la Gendarmerie nationale à travers la Compagnie de l'Imerina centrale.
 Le projet sera emmené  dans les régions où s'implante le RSC. Selon l'estimation de cette association, plus de 5 000 deux-roues circulent dans la Capitale, chaque jour.
Recueillis par Anatra R.


Avez-vous quelque chose de prévu pour ce dimanche ? Annulez tout, car Njakatiana est de retour  et va faire vibrer l’espace Nambinintsoa Talatamaty. Après être passé par Mahajanga, la Cité des fleurs, puis Toamasina et d’autres régions pour la célébration de ses 30 ans de scène, Njakatiana annonce son retour dans la Capitale ce week-end. En effet, le crooner et son équipe effectueront un concert VIP à l’espace Nambinintsoa ce dimanche à 15 h. Encore une fois, avec son charme, sa voix ainsi que ses compositions romantiques, Njakatiana séduira les inconditionnels à ce rendez-vous. Avec ses 30 années de carrière et de partage en musique, comme à son habitude, ce crooner livrera une prestation intense du début jusqu’à  la fin du show. Les tubes «Saro-piaro» mais aussi « Avelao aho hitia » ou encore « fo vato» seront repris en chœur par les fans qui connaissent les paroles sur le bout des doigts. Rien d’étonnant,  30 années passées ensemble, entre lui et son public, le courant passe toujours. Et  comme le défunt chanteur français Charles Aznavour le disait : « Pour un chanteur, les meilleurs médicaments ce sont les applaudissements ». De plus, Njakatiana a su garder ses fans en haleine avec ses mélodies romantiques et ses ballades. Pour ceux qui n’ont pas encore assisté à un show du chanteur et son équipe, rendez-vous est donné à l’espace Nambinintsoa Talatamaty. Njakatiana Raharisoa de son nom complet ne cesse de surprendre l’assistance par son professionnalisme. Rappelons que le chanteur a débuté la célébration de ses 30 ans de scène au Palais des Sports Mahamasina à fin mai 2022. Et le chanteur avait promis que d’autres événements seront organisés pour continuer cette célébration. Rendez-vous avec Njakatiana, son équipe et ses chansons : « Hiangavy farany », « Izao re no izy », « Avelao aho hitia anao », ce dimanche à 15h à Talatamaty, pour une soirée ‘‘ambiance chanteur de charme’’. Il connaît bien les lieux, c'est aussi un habitué de grands spectacles puisqu’il s'y est déjà produit…un concert mémorable.
Si.R

Douteuse. La précision des instruments de mesure utilisés sur les étals des détaillants est loin de faire l’unanimité auprès des consommateurs. « Lundi dernier, j’ai acheté pour 1,250 kg de viande au marché d’Ambodin’Isotry. Comme à mon habitude, lorsque j’arrive à la maison je repèse tout ce que j’ai acheté pour répartir en petites portions tous les mets de la semaine. Ma balance électronique domestique affichait un peu plus de la moitié de ce que j’étais censée acheter au marché », déplore Livasoa, une mère de famille habitant aux 67Ha. Comme elle, les témoignages fusent un peu partout sur les réseaux sociaux concernant des pratiques malsaines auxquelles s’adonnent certains commerçants de détail pour tromper et arnaquer leurs clients à quelques centaines de grammes près. Le même cas d’arnaque à la pesée est perceptible un peu partout, malgré les descentes et contrôles déjà existants sur la viabilité de l’utilisation de ces instruments de mesure. Le Service de métrologie légale (SML) ainsi que la Direction de la protection du droit des consommateurs (DPC) du ministère de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation coordonnent leurs efforts en ce sens. Les contrôles se font à deux niveaux. Le SML s’occupe de la sécurisation des vignettes validant la fiabilité des instruments de pesage que les commerçants déclarent aux autorités.
Certification
Plusieurs commerçants du marché d’Analakely ne disposent pourtant pas de la vignette permettant de certifier leurs instruments de mesure. C’est à ce niveau que la DPC intervient via les descentes et contrôles inopinés sur les marchés. « Afin d’éviter les sanctions au préalable, des campagnes de sensibilisation sont régulièrement effectuées. Les commerçants sont invités à faire vérifier volontairement leurs instruments de mesure au SML à Soarano pour la Capitale ainsi qu’au niveau des directions régionales pour les autres localités. Si jamais ces instruments ne sont pas règlementaires, le SML redirige le propriétaire vers les réparateurs agréés par le ministère », explique un contrôleur au niveau du marché d’Anosibe. Les campagnes de sensibilisation et de vérification doivent se faire au minimum deux fois par an à travers tout le pays. Durant ces campagnes, les autorités procèdent au contrôle des normes chez les commerçants ayant déjà une « vignette de vérification » ainsi qu’aux sanctions pour ceux qui sont en possession de cette vignette et qui récidivent avec ces tromperies à la vente. Les agents de l’État ne pouvant couvrir tous les marchés de l’île, de par leurs effectifs, le processus de règlementation de ces marchés doivent aussi s’effectuer avec l’aide des consommateurs directs. Pour ce faire, les consommateurs ayant des doutes sur la fiabilité des instruments de mesure utilisés par les commerçants peuvent directement informer la DPC ou encore le SML.

La Rédaction

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LA UNE DU 28 MARS 2023

Les fauves de Bas-Oubangui peuvent croire. Battus pour la troisième fois en quatre journées, les Barea de Madagascar ne seront plus dans la course à la qualification de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 en Côte d’Ivoire. Autrement dit, Madagascar est éliminé de la compétition.

Les hommes de Nicolas Dupuis se sont inclinés face à la Centrafrique (0-2) ce lundi 27 mars au stade la Réunification, Douala, Cameroun, lors de la quatrième journée des éliminatoires de la CAN 2024, quatre jours après avoir perdu à domicile devant les mêmes Fauves (0-3), au stade Barea Mahamasina.

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Editorial

  • Ambition légitime !
    Encore et toujours dans le cadre global des deux évènements de haute importance et d’intérêt supérieur pour Madagasikara, à savoir la visite d’Etat et le Sommet de la COI, le pays vise à devenir le grenier de l’océan Indien. Une ambition légitime que les dirigeants de la Grande île n’ont pas cachée aux membres de la délégation à travers les réunions préparatoires et durant les cérémonies officielles. En réalité, le pays compte fermement redevenir le « Grenier de l’océan Indien ». En fait, la Grande île le fut déjà durant la Première République. L’autosuffisance alimentaire fut une réalité vécue au quotidien. On exportait, à part les produits de rente tels la vanille, le cacao ou autres, du riz (le fameux « riz rouge » ou le riz de luxe, le Madrigal) en Europe jusqu’aux Etats-Unis d’Amérique, sans parler des îles voisines. Epoque où la Grande île portait fièrement l’étiquette l’« …

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