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« On a très peu parlé de l’emploi et de l’économie informelle durant la pandémie de Covid- 19, mais l’arrivée de la délégation ivoirienne a permis de relancer le débat ». Coffi Agossou, directeur du Bureau pays de l’Organisation internationale du travail (OIT) pour Madagascar, s’est exprimé ainsi hier à Ivandry, aux termes du séjour de la délégation ivoirienne dans nos murs. En fait, ces experts venant de la Côte d’Ivoire ont pu partager leurs expériences en la matière aux divers acteurs, dont ceux des ministères concernés ainsi que les partenaires techniques et financiers ou encore les représentants des travailleurs et ceux des employeurs. 

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Enième « Avis de recherche »

On vole. On détourne. On dilapide. Et on disparait ! Autrement, on fait comme si de rien n’était. On s’en moque, etc. ! Triste voire alarmant constat surtout dans un pays pauvre comme le nôtre.

Hauts dignitaires tels des membres du Gouvernement, des parlementaires, de hauts responsables du genre directeurs généraux de société d’Etat se conduisent comme de véritables prédateurs dans la jungle. Comme des fauves affamés, ils ne laissent aucune chance de survie à leurs proies. Et cela, face à un peuple exsangue. 

La Foire internationale de Madagascar (FIM 2023) sera le premier salon organisé dans un bâtiment totalement autonome en énergie, grâce à la nouvelle station solaire de Hazovato produisant plus de 600 Kw. C'est ce que viennent d'annoncer hier les organisateurs de l'évènement économique phare du pays. En effet, la 17ème édition de la FIM qui se déroulera du 11 au 14 mai prochain au Parc des Expositions Forello, Tanjombato, mettra en avant les engagements des entreprises dans une démarche éco-responsable, dans la mesure où le bâtiment qui accueillera l'évènement, en plus du fait d'être autonome en énergie, est entièrement construit en bois de reforestation qui a permis de stocker plus de 400 tonnes de gaz carbonique. 

Henri Ratsimbazafy, un grand chanteur que le public adore, est toujours réceptif dans tous ses spectacles, comme c’était le cas dimanche dernier au CCEsca. D’ailleurs, son amour du chant l’a fait tenir depuis de nombreuses années. Il est sûrement le plus vieux chanteur malagasy toujours en activité. Pourtant, de nombreux groupes ou artistes fêtent leurs 40 ou 50 ans de scène, si l’on ne cite que le groupe Lolo sy ny tariny, Feo Gasy, Salomon (Kintana Telo) ou encore Mahaleo. Mais pour le cas d’Henri Ratsimbazafy, on peut dire qu’il est l'un des seuls chanteurs nonagénaires qui continuent à faire rêver les auditeurs en poursuivant leur carrière artistique et en montant encore sur scène. Dear Henry a débuté sa carrière en 1950, mais il a  joué la première fois en public dix ans plus tard en tant que chanteur d’orchestre. 

De l’ingérence flagrante ! Tel peut – on qualifier la dernière déclaration conjointe faite par les partenaires internationaux et membres du corps diplomatique à Madagascar (Union européenne, Ambassade des Etats – Unis, Ambassade d’Allemagne, Ambassade de France, etc.).  Pour rappel, les entités précitées ont exprimé dans ledit communiqué « leur préoccupation face à l’annonce faite par le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Justin Tokely, le 31 mars dernier et portant sur la réglementation de toutes manifestations politiques et réunions publiques sur le territoire malagasy. Cette règlementation qui ne s’appliquerait pas, en outre, aux membres de l’Exécutif oblige la tenue des réunions politiques et des manifestations dans un endroit clos, interdisant de ce fait, l’utilisation des lieux publics ». 

Vaste coup de filet de la compagnie territoriale de la Gendarmerie de Toamasina dans un bar baptisé Palistone sis dans le quartier de Tanamakoa, parcelle 12/12, hier. Soixante jeunes âgés entre 12 et 17 ans dont des filles y furent alors arrêtés. 

En débarquant sur les lieux, les gendarmes ont surpris ces jeunes en train de boire de l’alcool et de fumer également. Pire, l’on soupçonne même que ces boissons alcoolisées contiennent un cocktail susceptible de provoquer une dépendance chez les consommateurs. 

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LA UNE DU 07 AVRIL 2023

Le monde du travail n'a jamais été aussi préoccupant qu'aujourd'hui malgré les efforts et les sensibilisations effectués pour protéger les employés et les enfants. « La situation globale des droits humains se détériore chaque année. Actuellement, on dénombre dans le monde 160 millions d'enfants qui sont déjà dans le milieu du travail », selon l'Organisation des Nations unies (ONU).

Ainsi, les enfants sont parmi les premières victimes de cette détérioration des droits humains. Travaillant comme domestiques dans des foyers malagasy, nombre d'entre eux sont victimes de maltraitance en tout genre. Le viol, les coups et blessures, les tortures par brûlure ou par électrocution, un travail sans rémunération sont les cas les plus évoqués. Parfois, le décès du travailleur fait partie du lot.

Nazra Said Hassani aurait empoché 2,5 à 4 milliards de francs comoriens, soit entre 24 à 38 milliards d’ariary, en entrainant des dizaines de personnes, dont des politiciens et des opérateurs privés de l’île sœur, dans une pyramide de Ponzi. 

L’étau se refermant sur elle suite à l’effondrement du système, la jeune femme âgée dans la vingtaine aurait quitté le territoire comorien sous une fausse identité en compagnie de son mari et de leur enfant. Après une escale à Addis-Abeba, son vol l’a amenée à Madagascar. Alors qu’elle se serait de nouveau apprêtée à prendre la poudre d’escampette, la fugitive est arrêtée dans la Grande-île, suite à une collaboration entre les Forces de sécurité des trois pays concernés. Selon les dernières informations, elle a été refoulée mercredi à Addis-Abeba, d’où elle a été rapatriée vers les Comores, où l’attendent de pied ferme de nombreuses personnes qui l’accusent d’escroquerie. 

Des cas fréquents mais souvent négligés. Le harcèlement en milieu scolaire se manifeste non seulement à travers des violences physiques, mais également morales et psychologiques et ce, entre les élèves. Les raquettes de gouter, les moqueries à partir des imperfections physiques d’un élève, ses cheveux ou sa couleur de peau, les menaces et intimidations, etc., font partie des cas les plus habituels. Le harcèlement scolaire peut se manifester depuis la petite enfance. « Les enfants harceleurs ne sont pas conscients que ce qu’ils disent sont de la violence et peuvent blesser leurs camarades. Dans de nombreux cas, ils imitent sur ce qu’ils voient à la maison », avance Anjara Rasoanaivo, de l’association Imaso Ivoho. Ainsi, les parents y sont pour quelque chose et ont leur part de responsabilité. 

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Editorial

  • Agir ensemble !
    Dans le cadre des préparatifs du Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) prévu les 24 et 25 avril derniers, la conférence ministérielle des pays membres ont jeté les bases du pourtour des actions à entreprendre au sein de l’espace indianocéanique. Les membres de Gouvernement de chaque Etat ont tracé au mois de mars les fondamentaux sous la forme d’engagements à soumettre aux Chefs d’Etat pour le Vème Sommet de ce mois d’avril passé à Anosy Antananarivo, Madagasikara.

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