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De mal en pis, la JIRAMA s’empêtre. Pour rappel, il y a quelques jours, l’un des transformateurs de la centrale hydroélectrique d’Andekaleka a explosé suite à un incendie. Depuis avant-hier, les premiers responsables de la compagnie nationale d’eau et d’électricité sont sur place pour constater les dégâts causés par cette explosion et pour tenter d’apporter autant des explications que des solutions d’urgence. « Le transformateur qui a explosé, en causant cette panne généralisée, a été fabriqué en 1980 et mis en service en 1982. Autant dire que la vétusté du matériel peut être considéré comme la première cause de tous ces incidents », explique RivoRadanielina, directeur général par intérim de la JIRAMA. Ce responsable d’ajouter que les pannes de courant dans la centrale ont aussi causé l’arrêt du système de régulation du débit de l’eau dans cette structure hydroélectrique. Ce qui a eu pour effet de provoquer une inondation juste après l’incendie dans cette même centrale. A noter que la capacité de la centrale d’Andekaleka, estimée à 90 Mégawatts, est réduite à néant pour le moment car la panne a affecté tous les autres générateurs. Par ailleurs, la centrale hydroélectrique d’Andekaleka assure 40 % de l’électricité alimentant le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA). Dès qu’il y a un quelconque incident, même en ayant touché une seule machine, cela laisse un gap dans la production de courant et induit à des coupures généralisées. Et que cette centrale assure quasiment la moitié de la consommation d’électricité d’Antananarivo. L’approvisionnement en électricité sur le RIA est ainsi, pour l’instant, assuré uniquement par les centrales thermique et solaire existantes dans les environs.

Cependant, un nouveau transformateur devrait être installé avec les infrastructures annexes comme les systèmes de câblage selon les explications de la JIRAMA. Raison pour laquelle, la compagnie est dans l’obligation de délester certains quartiers d’Antananarivo en électricité le temps que la production revienne à la normale. Au moment où nous mettons sous presse, l’équipe technique de la JIRAMA est déjà en train de rétablir progressivement l’anomalie. Cependant, aucun paramètre ne peut assurer le rétablissement à la normale de la situation qui peut perdurer selon le niveau de la panne causée par l’incendie et l’inondation de la centrale. « Nos clients cherchent l’électricité pour leur sécurité, et pour alimenter leurs appareils électroniques », ajoute le gérant d’un cybercafé en périphérie de la Capitale tandis qu’un travailleur indépendant craint de perdre ses clients européens dans la mesure où ces derniers ne considèrent nullement une coupure de courant comme étant un droit à l’incapacité de travailler dans leurs pays. « Cette coupure représente une grande perte pour nous. Tous nos produits laitiers ne sont plus consommables », déplore Marie Ange, une commerçante. Le temps que l’approvisionnement en électricité de sa boutique revienne à la normale, ces produits commencent à fondre. « En une demi-journée, mon fonds de commerce a été réduit presque à zéro. On comprend les difficultés que la compagnie nationale doit affronter en ce moment, cependant il serait plus bénéfique que ces délestages respectent scrupuleusement des calendriers annoncés et qu’ils ne durent pas autant », ajoute-t-elle.



Hary Rakoto

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Voulu ou par accident ?

Dimanche 2 janvier dans la matinée, un incendie a été déclaré dans la centrale hydro-électrique de la JIRAMA à Andekaleka. Le feu a détruit le transfo principal de 30 MVA. Du coup, l’incident provoqua une coupure généralisée dans la Capitale et les périphéries immédiates.
Bref rappel historique. L’augmentation de la production électrique pour alimenter la Capitale et ses environs, le Grand Tanà, faisait déjà l’objet d’étude depuis la Première République. Vu l’intensité de l’exode rural, le barrage hydroélectrique de Telomita et celui de Mantasoa ne suffisaient plus. Il fallait trouver d’autres solutions. Le régime de Didier Ratsiraka a pu bénéficier dans les années 80, par un contrat géant avec le Canada, sous la bénédiction des Institutions de Bretton-Woods, la construction d’une grande centrale hydroélectrique à Andekaleka sur l’axe du chemin de fer Tanà-Toamasina (TCE). Un financement  inespéré de 40 millions de dollars. Les travaux ont été confiés à « SKANSKA », une entreprise canadienne. Une prouesse technique faisant l’objet de fierté politique du régime AREMA !
Pour en revenir à ce sujet brûlant, les questionnements fusent de toute part. La presse, en sa qualité de « porte-parole » de l’opinion, se demande s’il s’agit d’un accident ou d’un sabotage ? Œuvre expresse d’une intention délibérée ou un simple incident indépendamment de la volonté humaine ? Acte criminel ou incendie involontaire ? Etc.
De toutes les manières, « voulu ou par accident ! », l’incendie du dimanche révèle certains manquements sérieux. Tout  le monde s’étonnait  pourquoi le site d’Andekaleka, une grande installation éminemment stratégique et hautement délicate de cette taille, ne dispose même pas au moins un extincteur ? L’outil incontournable pour maîtriser dans un peu de temps la propagation du feu. Ainsi, toutes les bonnes volontés ont essayé de contenir et d’éteindre le feu par les moyens du bord ! Impensable ! Impossible ! Un technicien du bâtiment à la retraite n’a pas pu retenir son indignation.
L’incendie de dimanche oblige les observateurs et les simples citoyens à se demander également par quel dispositif de sécurité la JIRAMA a-t-elle installé à Andekaleka pour garantir un minimum de sûreté de ce site, plus particulièrement ce transfo qui, rappelons-le, assure principalement l’alimentation, en courant électrique, Antananarivo et ses environs (Zone interconnectée ou ZIT) ? A la lumière de ce qui venait de se produire, on est en droit de douter le sérieux de la chose.
« A qui profite le crime, voulu ou par accident ? » « Et pourquoi incendier précisément ce transfo ? »  Ce sont des dernières questions, du moins pour le moment, qui taraudent les esprits. Des questions légitimes et préoccupantes.
Incontestablement, tout ce qui est susceptible de provoquer la colère et le mécontentement de la population contre le régime en place profite aux détracteurs, aux opposants. Mais de là à oser détruire ou s’en prendre à un outil indispensable au bon fonctionnement de la vie quotidienne des concitoyens, c’est tout de même un acte irresponsable et impardonnable.
Mais attention, incendie ou pas, les coupures intempestives d’eau et d’électricité  dépassent l’entendement et provoquent depuis belle lurette l’ire des abonnés. De la galère au quotidien propre à déclencher le courroux du commun des mortels.
Voulu ou par accident, l’essentiel c’est de bien faire son travail !
Ndrianaivo



Deux semaines de vacances supplémentaires. La note de service, publiée hier après-midi par le ministère de l’Education nationale (MEN), le confirme. « Suite à l’interpellation du ministère de la Santé sur la recrudescence alarmante des contaminations à la Covid- 19, des cas modérés et sévères ont été enregistrés, non seulement chez les adultes mais aussi chez les enfants vulnérables, particulièrement localisés dans la Région d’Analamanga. Au vu de cette situation, il a été décidé que la rentrée scolaire du 3è bimestre, fixée au 5 janvier 2022 selon l’arrêté n°15468/2021/MEN du 30 juin 2021, est reportée au 17 janvier pour la Région d’Analamanga. L’objectif est de tout mettre en œuvre pour que la reprise des cours se fasse de la façon la plus sereine et la plus sécuritaire pour les enfants et les enseignants », communique la note de service signée par le Secrétaire général du MEN, Felamboahangy Ratsimisetra.
Cette décision ravit les parents, notamment ceux réticents à l’idée d’envoyer leurs enfants en classe avec la situation actuelle. « Il était temps. Le ministère a finalement tranché pour un report de la rentrée après les nombreuses requêtes et grognes des parents, dans la société et sur les réseaux sociaux. Les demandes de la majorité ont été entendues », s’exprime N.R., mère au foyer résidant à Mahamasina. « Personnellement, je trouve que la décision ministérielle arrive trop tard puisque la plupart des établissements scolaires, notamment ceux privés, ont repris les cours depuis aujourd’hui (ndlr hier). Les enfants sont déjà exposés aux risques de contamination de Covid -19 durant la journée », se désole Ravo R., agent de recouvrement et père de 3 enfants scolarisés.
Plus d’absents en classe, les mesures renforcées !
Il fallait s’y attendre. Bon nombre d’établissements scolaires, dans la ville d’Antananarivo, ont enregistré un taux d’absentéisme plus ou moins élevé lors de la reprise des cours après les vacances de Noël, hier. Pour un collège privé sis dans le 2è Arrondissement de la Capitale, 4 élèves sur 10 dans le préscolaire et 3 sur 10 dans le primaire ont raté le premier jour de rentrée du troisième bimestre. « Certains parents nous ont exprimé au préalable leur inquiétude et le fait de garder leurs enfants chez eux, au lieu de les envoyer en classe. D’autres nous ont fait part de la maladie de leurs enfants. Dans tous les cas, nous comprenons la crainte des parents, notamment ceux vulnérables ou ayant des enfants vulnérables, dont les risques de contamination de la Covid -19 sont élevés », nous confie la directrice dudit collège, voulant garder son anonymat.
La majorité des établissements scolaires ont renforcé les mesures de protection face à la pandémie. Le respect exigé des gestes barrières, dont le port obligatoire de masques et le lavage fréquent des mains avec du savon ou du gel désinfectant, en fait partie. Pour la distanciation sociale, la division en 2 groupes des élèves, l’un suit les cours dans la matinée et l’autre l’après-midi, a été effective hier. Ces mesures et organisations s’imposent pour que les cours se fassent malgré la pandémie. Mais avec la décision ministérielle d’hier après-midi, elles restent en suspens, du moins pour les 2 prochaines semaines. Affaire à suivre !
Patricia Ramavonirina 



Grâce au travail des Forces de l’ordre et de la Justice, la triste affaire survenue la veille de Noël dernier et se rapportant sur le meurtre barbare d’une fillette de 9 ans à Antehiroka, laisse entrevoir l’espoir de l’application de la Justice. Car le matin du 31 décembre dernier, 5 personnes ont été provisoirement mises en détention. Si trois d’entre elles croupissent à Tsiafahy depuis, deux autres le sont à Antanimora. Parmi ces dernières, une femme suspecte, la dernière à être arrêtée le 31 décembre dernier. Elle s’était rendue au poste de Gendarmerie où tous les autres suspects se trouvaient déjà en détention policière, et auprès desquels la première aurait voulu apporter de quoi casser la croûte. Les gendarmes ont donc arrêté la femme sur- le- champ. Avant que l’affaire ne s’est donc terminé ainsi, le procureur du Tribunal de première instance d’Antananarivo a ordonné le déferrement de ladite affaire la même date.
Revenons aux faits. Tôt le matin du 25 décembre dernier, le père de la fillette était venu informer le poste avancé de Gendarmerie d’Antehiroka sur la disparition de celle-ci depuis la veille, précisément vers 17h. Depuis, les Forces de défense ont déclenché les recherches. Malheureusement, elles ne trouvèrent plus que le corps sans vie de la fille dans une rizière à Manerinerina-Antehiroka.
Les gendarmes et le médecin légiste ont fait le constat. Mais là, le doute s’imposait.  La victime présentait des bleus tandis que du sang s’échappait de sa bouche. Dans un premier moment du constat, le médecin légiste et la famille ont encore crû que l’enfant se serait noyée après qu’elle s’était heurtée à un quelconque obstacle dans l’eau, choc qui lui serait donc fatal. Ce qui a donc incité les gendarmes à pousser davantage leurs investigations.
Depuis, l’affaire a connu un développement. Le 28 décembre dernier, la mère de la victime s’était rendue au même poste  de Gendarmerie pour porter plainte. Et pas les mains vides. Dans un enregistrement sonore de  son téléphone, on a pu entendre les propos d’un certain Jules. Ce dernier aurait donc reconnu qu’il figure parmi ceux qui ont enlevé la fillette. De même, il dénonce les cinq personnes, lesquelles l’auraient payé à 5 000 ariary pour assassiner la victime. Et que cette dernière n’était plus en vie lorsqu’ils ont jeté son corps dans l’eau.
L’aveu du concerné a facilité la tâche des enquêteurs, qui n’ont aucun mal à retrouver les traces des cinq suspects de l’affaire et les arrêter. Et on connaît la suite !
Franck R.



La Commune d’Antsohihy nous cache bien des talents. Wendy Cathalina fait bien partie de ceux-là. Elle nous surprend par sa voix douce et son sublime corps. Belle, douce, un peu timide mais très talentueuse, Cathalina, de son vrai nom Wendy Cathalina Rakotomalala, fait actuellement tourner la tête aux internautes, notamment les facebookers, et ce grâce à son sex-appeal. A chaque photo qu’elle publie sur son compte Facebook, de nombreux fans - surtout les jeunes hommes - se veulent d’être le compagnon de la belle, alors que la jeune fille a déjà trouvé l’élu de son cœur. De plus, la charmante Cathalina n’hésite pas à poster des clichés qui font craquer la gent masculine.
Côté musique, c’était en 2017- à peine âgée de 15 ans - qu’elle avait fait son apparition sur les médias lors de la sortie de son premier tube « Za hiala ». Elle aura été sollicitée par la suite pour quelques featurings avec des jeunes chanteurs dont Yormah, Salva Panga ou Twooki avec le tube « Hiady ho anao ». Actuellement, ses chansons colorées de tropical « house » ou « slow » sont fredonnées par beaucoup de jeunes mélomanes. Son nom est devenu familier  au grand public, non seulement grâce à sa beauté inégalée et son charme, et en particulier en raison de la qualité de ses chansons. Toujours charmante et sexy, Wendy Cathalina n’est plus à présenter au public.
Pépite
En décembre dernier, la chanteuse a fêté ses 18 ans. Et aujourd’hui, Wendy a tout d’une grande, notamment une allure déjà bien affirmée, une assurance sans faille, tout cela orné de ce grain de voix qui la caractérise. De plus en plus suivie et soutenue par le public, elle doit cette notoriété à sa bonne maîtrise des réseaux sociaux, exclusivement Facebook. Elle y poste des vidéos, elle y chante, et cela fonctionne. Il est certain que Wendy Cathalina, cette jeune fille au visage charmant, dotée d’un grand talent et menant une vie sulfureuse, passionnera encore la foule pour un long moment. De mémoire, la jeune star compte aujourd’hui une dizaine de titres et quelques nouveaux clips vidéo, à l’instar de « Efa janga », « Miangotro », « Diso calcul ». Elle prévoit d’organiser plusieurs concerts et faire des projets en collaboration avec d’autres artistes. Que nous prépare la petite merveille dans un futur proche ? Attendons de voir la suite…
Sitraka Rakotobe





A la date d'hier, les Centres de traitement Covid-19 pour Analamanga, installés au Village Voara Andohatapenaka, à l'EPP Soamandrakizay et dernièrement au Lycée technique d’Alarobia, restent toujours accessibles aux patients atteints de la forme modérée de la Covid-19. En tout, 237 lits y sont encore disponibles afin d'accueillir les personnes présentant des symptômes du coronavirus et requérant l'utilisation d'un extracteur d'oxygène. Lors de son intervention télévisée qui s’est tenue avant-hier soir, le Professeur Zely Arivelo Randriamanantany, ministre de la Santé publique, a encore souligné que 200 lits sont encore inoccupés au CTC-19 d’Alarobia, et plus d’une soixantaine au Village Voara. Même si le taux d'admission aux établissements hospitaliers évolue quotidiennement, les trois CTC-19 mis en place ne sont pas pour l'heure saturés. D'autant plus qu’une approche syndromique est déjà menée auprès de plusieurs Centres de santé de base, niveau II.
Notons que la réouverture de ces CTC-19 représente une initiative à titre d’anticipation, étant donné que la situation épidémiologique est alarmante. Le Président de la République a souligné samedi dernier lors de son allocution que la troisième vague du coronavirus s’avère imminente à Madagascar. Rappelons qu’entre le 25 et le 31 décembre 2021, le ministère de la Santé publique a annoncé 2 155 nouvelles contaminations au coronavirus sur 10 284 tests réalisés sur l'ensemble du pays. Un chiffre qui équivaut à un taux de positivité de 20,95 %. Malheureusement, 275 parmi ces patients ont présenté des difficultés respiratoires. Et sur cet intervalle de temps, 40 personnes testées positives ayant présenté le syndrome de détresse respiratoire aiguë ont succombé à la Covid-19.
Recueillis par K.R.

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LA UNE DU 04 JANVIER 2022

Des émissaires de la FIFA attendus au pays vers mi-janvier. Sources contradictoires. Attendus depuis fin novembre, les émissaires de la Fédération internationale de football association (FIFA) et de la Confédération africaine de football (CAF) ne viendraient à Madagascar que vers mi-Janvier, indique une source autorisée auprès de la Fédération malagasy de football. Lesdits émissaires devant notamment trancher en raison de la tension qui règne au sein de la direction de la Fédération malagasy de football (FMF) depuis plusieurs mois.

Coup de tonnerre dans l’affaire des 49 kg d’or saisis aux Comores la semaine dernière. L’identité des deux Malagasy pris dans le filet avec le Comorien E.I.H. a été révélée par la presse comorienne. Et stupeur, il s’agit de deux individus mêlés de près ou de loin à l’exportation illicite des 73 kg en Afrique du Sud à la fin de l’année 2020. 

La troisième vague de la Covid-19 est imminente pour Madagascar. La preuve, le bilan épidémiologique a dépassé les 300 nouvelles contaminations par jour durant la semaine dernière. Pire encore, 275 patients présentent une forme grave de la maladie et sont actuellement pris en charge auprès des établissements sanitaires publics et privés. Mais en plus de souffrir des symptômes de cette pandémie, les malades enregistrés auprès des hôpitaux publics doivent également s'attendre à d'énormes dépenses, même avec un traitement Covid-19 soi-disant gratuit. 

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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