dimanche, 13 juillet 2025

La une du 14 juillet 2025

Publié dans La Une
dimanche, 13 juillet 2025

Signal fort !

Les riziculteurs d’Ambohijanahary, District d’Amparafaravola (Ambatondrazaka) – Région d’Alaotra – Mangoro, ont procédé à la récolte du riz, espèce hybride. Pour une première récolte, c’en est une réussite. En effet, les producteurs d’Ambohijanahary ont réalisé de rendements record si exceptionnels avec 8,6 tonnes à l’hectare. Du signal fort annonçant du début effectif du redressement, et ce, pour atteindre, entre autres, l’autosuffisance alimentaire. Un des objectifs vitaux du régime Orange en place. Tahian’Ny Avo Razanamahefa, secrétaire d’Etat en charge de la souveraineté alimentaire se dépêchait sur place pour constater de visu et superviser la récolte en présence des riziculteurs et autorités locales. Cela me rappelle le bon vieux temps des années de prospérité agricole du pays. Au cours d’une grandiose cérémonie pleine de symboles et de fierté que présidait le Président de la République, feu Philibert Tsiranana, il y avait eu la fête des prémices du riz (Santa-bary) sur le jardin verdoyant d’Ambohijatovo en Imerina, dans l’Alaotra ou sur la plaine du Bas  - Mangoky, à l’Ouest. Une grande fête foraine et populaire au cours de laquelle les paysans riziculteurs offraient fièrement au Chef de l’Etat les premières récoltes du riz. Un symbole fort témoignant de la vitalité et du dynamisme agricole (rizicole) de Madagasikara. Enfin, moment incarnant concrètement l’autosuffisance alimentaire. Un signal fort mettant en évidence la réussite de la politique du régime PSD, la « politikan’ny kibo » ainsi que le slogan « asa fa tsy kabary ». Une politique « terre-à-terre » mais très efficace dans la mesure où les paysans producteurs, riziculteurs  ou autres, saisissent facilement le message et mettent en pratique sans difficultés les consignes données. Bien sûr accompagnées des techniciens agricoles sur terrain.

Devant l’ampleur des insuffisances chroniques alimentaires, en quantité et en qualité, étouffant la population, le régime dirigé par Rajoelina Andry place la lutte pour l’autosuffisance alimentaire parmi les priorités les plus urgentes. La mise sur rail du secrétariat d’Etat en charge de la souveraineté alimentaire en témoigne suffisamment.  C’est une structure gouvernementale rattachée directement à la Présidence. Razafimahefa Tahian’Ny Avo dirige les actions en partenariat direct avec les paysans agricoles  et des pays ayant une longue expérience en la matière. Razanamahefa a une mission cruciale pour que le pays puisse jouir concrètement de cette souveraineté alimentaire. 

Dans une certaine mesure et dans les faits réels, Razafimahefa Tahian’Ny Avo ne s’aventure point dans une mission impossible exigeant d’une expertise certaine. La Grande île dispose des atouts palpables pour réussir. Nous avons une main-d’œuvre qualifiée en la matière notamment dans le domaine de la riziculture et des espaces cultivables à … l’infini. Il reste une bonne volonté politique pour enclencher dans la pratique les efforts nécessaires. Il nous faut également un bon choix de partenaire, en d’autres termes, bien choisir un bon accompagnement d’un pays ou des pays amis riches en expertise dans la culture du riz hybride.

La Chine, une superpuissance économique, possède une longue tradition et riche expérience en culture de riz hybride, accompagne Madagasikara. Un choix judicieux afin d’assurer les meilleurs résultats. Et ils sont là ! Ambohijanahary – Amparafaravola nous livre une réalité selon quoi, il est possible d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. Un rendement de 8,6 tonnes à l’hectare ne relève pas d‘une fiction.

Maintenant, il s’agit de continuer la vulgarisation  de la nouvelle méthode.

Ndrianaivo

 

Publié dans Editorial

Des mesures exceptionnelles pour garantir l'intégrité de l'examen. Face aux inquiétudes grandissantes concernant la circulation de faux sujets d'examen, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a mis en place un dispositif de sécurité drastique pour l'organisation du baccalauréat 2025 à Madagascar. L'objectif est de préserver la crédibilité des épreuves, en s'assurant de leur bon déroulement sur l'ensemble du territoire. La première mesure liée à ce dispositif est la mise en « conclave » de toutes les personnes impliquées dans la préparation des sujets d'examen. Du 23 juin au 31 juillet 2025, ces responsables seront placés dans un lieu sécurisé, en isolement complet, sans aucune possibilité de sortir ou de communiquer avec le monde extérieur. Pour garantir une sécurité maximale, il leur est formellement interdit d'introduire tout objet personnel comme le téléphone portable, livre, clé USB ou autres documents. Dès leur entrée dans le conclave, l'ensemble des sujets d'examen est immédiatement réélaboré pour déjouer toute fuite potentielle.

 

Surveillance technologique et logistique renforcée

Pour compléter cet isolement, une surveillance technologique de pointe est déployée. Les sites du conclave sont équipés de caméras fonctionnant 24 heures sur 24. De plus, la chaîne logistique du transport des épreuves a été renforcée grâce à l'installation de 208 caméras dans les véhicules de transport, un don octroyé par le Fonds commun de l’éducation (FCE). Ce système permet un suivi en temps réel et une traçabilité complète des sujets, depuis leur conception jusqu'à leur distribution dans les centres d'examen.

Au-delà des mesures physiques, l'Etat mène une lutte active contre la désinformation en ligne. En collaboration avec la Brigade de lutte contre la cybercriminalité, une surveillance des réseaux sociaux est effectuée pour traquer les individus propageant de fausses informations ou de faux sujets. « Il ne s’agit que d’anciens sujets dont la date a été simplement modifiée et non de vrais sujets d’examen de l’année en cours, dans le but de tromper les gens », selon les explications. Cette initiative a déjà conduit à l'arrestation de quatre personnes, dont trois ont été placées en détention provisoire. Le ministère rappelle au public qu'un numéro, le 038 12 586 86, est disponible pour signaler tout acte suspect ou toute tentative de corruption liée aux examens.

Nikki Razaf

Publié dans Politique

Le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO), par le biais de sa direction de l’investigation, a publié en fin de semaine dernière un avis de recherche visant Hachimy Abdelkader. Dans ce document officiel, l’entité d’Ambohibao indique avoir « l’honneur de demander le concours des Forces publiques en vue de rechercher et de procéder à l’arrestation » de cette personne, identifiée comme étant le gérant-propriétaire de l’établissement « Hachimy et Compagnie ».

L’intéressé est poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation, à savoir infractions de corruption, faux et usage de faux en écriture de commerce, spoliation foncière et détournement de biens publics. Ces faits, s’ils étaient avérés, relèveraient d’une gravité particulière, compte tenu des fonctions politiques précédemment exercées par l’homme, ancien député élu dans la Province de Mahajanga sous le régime de Didier Ratsiraka.

Ce développement judiciaire pourrait faire suite aux révélations qui avaient récemment suscité un vif émoi dans l’opinion publique. Il y a quelques semaines, notre journal rapportait une affaire de grande ampleur autour de l’accaparement de plus de 1 129 hectares de terrains à Nosy Be. Ces propriétés, autrefois dans le giron de l’ancienne société d’Etat SIRAMA, avaient été placées sous hypothèque forcée provisoire au profit de la société Hachimy & Cie SARL. L’ordonnance en question, signée par une magistrate du Tribunal de première instance de Nosy Be, avait déclenché une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.

Bien que des procédures judiciaires aient été engagées et que la Cour suprême ait rendu un arrêt définitif sur certains aspects du dossier, les accusations pesant désormais sur l’ancien parlementaire dépassent le simple cadre d’un contentieux foncier. Selon certaines sources, des plaintes auraient été déposées contre lui auprès du Pôle anti-corruption, ce qui aurait conduit à l’ouverture d’une enquête.

Le BIANCO appelle toute personne disposant d’informations sur la localisation de Hachimy Abdelkader à les communiquer aux autorités compétentes. L’affaire est en tout cas désormais entre les mains de la Justice.

La Rédaction

Publié dans Politique

Samedi dernier, l’ambassade de Corée du Sud a organisé pour la première fois un concours de cuisine coréenne en présentiel à Antananarivo. « L’objectif était de faire découvrir la véritable gastronomie de notre pays aux Malagasy, surtout aux jeunes déjà attirés par la culture sud-coréenne à travers la K-pop et les séries télévisées », a déclaré l’ambassadrice, S.E. Madame Park Ji Hyun lors de son discours. D’après elle, plusieurs restaurants coréens existent déjà à Tanà, mais le public n’est pas encore familier aux recettes traditionnelles. De plus, les produits authentiques restent difficiles à trouver sur le marché local. Cette initiative a ainsi été lancée pour faire connaître les saveurs de la Corée et encourager l’importation de certains ingrédients, notamment les sauces fermentées typiques. L’édition s’est concentrée sur trois condiments essentiels : Gochujang (pâte de piment), Doenjang (pâte de soja fermentée), Ganjang (sauce de soja). Ces bases sont incontournables dans la majorité des plats du pays.

 

Tradition

Parmi les 26 participants, huit finalistes ont été sélectionnés. Ils ont revisité des spécialités culinaires coréennes en utilisant des ingrédients locaux. C’est Andriambololona Lucile qui a remporté la première place, grâce à sa créativité, son respect des goûts originaux et sa maîtrise technique, selon les membres du jury. En parallèle avec la compétition, un atelier de démonstration a permis aux visiteurs de s’initier à l’art culinaire coréen. L’ambassade prévoit d’organiser ce type de session une à deux fois par mois afin de sensibiliser encore davantage le public.

L’ambassadrice de Corée du Sud a également annoncé la participation future de son équipe à des salons gastronomiques malagasy, comme la Foire internationale de l’agriculture et le Festival de la gastronomie, prévu en septembre. Pour elle, la table constitue un lien fort entre les peuples. « Dans notre pays, partager un repas, c’est comme faire partie d’une même famille », a-t-elle ajouté. Elle espère que ces initiatives permettront aux Malagasy de mieux connaître la culture sud-coréenne et que les produits de son pays seront bientôt disponibles dans les rayons des supermarchés à Madagascar.

Carinah Mamilalaina

Publié dans Culture

Pari réussi pour cette première édition. Le sport s’impose désormais comme un vecteur d’unité au sein du groupe SODIAT. Le tout nouveau complexe sportif de la Madagascar Security Academy (MSA), situé à Andakana, a été le théâtre du premier tournoi inter-sites du groupe SODIAT, une initiative inédite alliant sport, cohésion et esprit d’entreprise. Pendant trois jours, du vendredi 11 au dimanche 13 juillet, les différentes sociétés du groupe se sont affrontées dans une ambiance festive autour de trois disciplines à savoir le football à six, basket-ball 5x5 et pétanque en triplette.

Placée sous le signe du partage et du dépassement de soi, la compétition a vu la participation de dizaines d’équipes issues des différentes entités du groupe SODIAT,  Borosy Sécurité, Pradon, SMS ( Société mitambatra SODIAT, le rassemblement de quelques sociétés en une équipe), Polyclinique, et Amarante, entre autres. Une édition qui restera marquée par l’excellente performance globale de la société Amarante, grand vainqueur de cette première édition.

Amarante, champion toutes catégories

En basketball, les équipes d’Amarante ont littéralement surclassé leurs adversaires. Chez les dames, elles ont infligé une sévère défaite de  34-8 à l’équipe de SMS (Société Mitambatra SODIAT).en finale du basket. Même domination chez les hommes où Amarante s’est imposée avec autorité contre Polyclinique sur le score sans appel de 56-33.

La discipline de la pétanque, qui comptait pas moins de 60 triplettes en lice, a également souri à Amarante. La triplette composée de Haja, Rolland et Hary (Amarante 2) a décroché le trophée, confirmant l’omniprésence de la société dans tous les classements.

Côté football, si Amarante n’était pas en finale, la compétition n’en fut pas moins intense. Chez les dames, l’équipe Borosy a eu raison de Pradon avec une victoire serrée de 2 à 1. Quant à la finale masculine, elle s’est décidée aux tirs au but après un match nul (2-2) entre Borosy Sécurité et Borosy Sodiat, la première l’emportant finalement.

Les participants redemandent

Au-delà des résultats, ce tournoi a surtout été une occasion de renforcer la cohésion interne. « Cet événement vise à resserrer les liens entre collaborateurs. Nous souhaitons en faire un rendez-vous annuel », a déclaré Laza Rajaonary, responsable des ressources humaines et principal organisateur.

Elias Fanomezantsoa 

 

Publié dans Sport

A Madagascar, beaucoup de grandes entreprises sont encore dirigées par des étrangers. Pourtant, les Malagasy ont du talent et de l’ambition, que ce soit sur place ou dans la diaspora. Alors, pourquoi les Malagasy ne prennent-ils pas plus souvent la tête de leurs propres entreprises ? Ce sujet a été discuté samedi dernier lors de « Samedi Oser parler », une initiative de JPM – Juniors pour Madagascar. L’idée était de comprendre ce qui bloque les jeunes entrepreneurs et pourquoi ils ont du mal à diriger de grandes entreprises. Herizo Randria, entrepreneur et vice-président de l’Ordre des architectes malagasy, explique que créer une entreprise demande beaucoup d’argent au départ. « Beaucoup de jeunes malagasy n’ont pas assez d’argent ni de réserves pour commencer leur business », dit-il. Il ajoute que les banques, les fonds d’investissement et les incubateurs (structures d’aide aux jeunes entreprises) existent, mais pas assez dans tout le pays, surtout en dehors de la Capitale Antananarivo. Du coup, les jeunes entrepreneurs ont du mal à trouver les financements nécessaires. Les étrangers, eux, ont souvent plus de garanties et d’argent pour démarrer.

Un réseau fermé

Nina S, consultante en digital, dit que le réseau est très important à Madagascar, mais que c’est difficile d’y entrer. « Il faut parfois faire des compromis, vendre son âme, pour se faire une place », déclare-t-elle. Ceux qui n’ont pas de contacts ou de soutien doivent souvent chercher ailleurs leurs chances. Cela rend la situation difficile pour les jeunes qui veulent réussir dans leur pays. Ce n’est pas pour blâmer qui que ce soit, mais pour réfléchir ensemble. Madagascar a besoin que ses jeunes, ici ou à l’étranger, prennent la place qu’ils méritent dans l’économie. Pour cela, il faut plus d’aides financières, plus de structures d’accompagnement dans toutes les Régions, et un accès plus facile aux réseaux professionnels. Avec ces soutiens, les jeunes entrepreneurs malagasy pourront mieux réussir. « Aujourd’hui, les jeunes de 18 à 30 ans représentent environ 13 % de la population. Ils sont nombreux à vouloir entreprendre. Il est temps de leur donner les moyens de construire l’avenir économique de Madagascar », a ajouté Herizo Randria

Carinah Mamilalaina

Publié dans Economie

Valorisation des productions rurales. Après la visite du Président de la République, Andry Rajoelina dans le District de Sainte-Marie, la Secrétaire d’État auprès de la Présidence chargée de la Souveraineté alimentaire, Tahian’Ny Avo Razanamahefa, a procédé à une opération de distribution d’engrais. Plus de 200 agriculteurs issus des Fokontany de Vohilava et de Mahavelona ont bénéficié de matériels de production composés de 120 outils agricoles, de 2 tonnes de compost organique, et de 500 sachets de semences maraîchères comprenant de légumes, tomates, choux et concombre.

 

Chacun de ces producteurs, exploitant en moyenne une superficie de cinq ares, a également reçu un guide technique pour une meilleure maîtrise des pratiques agricoles durables. Cette initiative vise à renforcer les capacités de production locale et à garantir une alimentation saine et suffisante pour les ménages.

 

 

Une parcelle vitrine

 

Afin de valoriser la culture de riz hybride, une parcelle vitrine - à savoir un terrain choisi pour servir d'exemple ou de modèle de 30 ares - a été mise en place à Loukintsy, une localitésituée au centre ouest de Sainte-Marie. Cette exposition illustre le savoir-faire des producteurs de la Région d’Analanjirofo et les résultats probants du programme « vary safiotra ». Depuis son lancement, ce programme a permis de soutenir plus de 1.200 producteurs, avec la distribution de 101 tonnes de semences et d’engrais pour une superficie de 150 hectares.

 

Autre point fort de cette mission, la visite du site d’Analaranja, à Ambodifotatra, principale ville et chef-lieu de l'île Sainte-Marie, où sera érigé un centre moderne de décorticage de riz. Ce centre viendra structurer l’ensemble de la chaîne de valeur rizicole dans le District, en réduisant les pertes post-récolte et en améliorant la qualité du riz mis sur le marché. Un second site a également été visité à Loukintsy, où sera implantée une unité de transformation des produits agricoles. Ces deux infrastructures stratégiques seront gérées par des coopératives paysannes, avec comme objectifs de créer des emplois locaux et de valoriser durablement la production. Une enveloppe de trois millions d’ariary a été remise aux associations féminines d’Analaranja et de Loukintsy afin de soutenir leurs activités et d’encourager leur engagement dans le développement agricole.

 

Anatra R.

Publié dans Société

Encore une de ces curieuses prises par les contrôleurs aéroportuaires en matière de lutte contre l'évasion de nos richesses nationales à l'aéroport d'Ivato. Vers 13h samedi dernier, le passager thaïlandais d’un vol d'Ethiopian Airlines, avait été arrêté avec des rubis au moment de l'embarquement. En effet, les pierres précieuses ont été trouvées, non dans ses valises, mais plutôt cachés dans son anus. Les agents de l'ANAF ou Agence nationale anti-fraude y ont alors décelé l'existence de 54 pièces de rubis, pesant au total 59,3 grammes.

D'après les informations, le Thaïlandais en cause aurait envisagé de  transiter les rubis à Bangkok. Dans la salle d'embarquement, il aurait crû que son manège allait se passer inaperçu, du moins chez les contrôleurs aéroportuaires. Pour ces derniers, il a ainsi fallu soumettre le passager suspect à un contrôle par imagerie corporelle, littéralement connu sous le jargon de « body scan ». C'était dans ces circonstances que l'ANAF a décelé la présence d'objets suspects dans le rectum du Thaïlandais. La douane fut informée, laquelle était intervenue sur-le-champ pour arrêter le concerné. Une contre-vérification a confirmé les objets suspects dans ses entrailles. Du coup, la douane et l'ANAF se sont concertés et ont convenu d'envoyer le passager à l'hôpital CENHOSOA de Soavinandriana où ce dernier fut obligé d'expulser les rubis de son corps.

Actuellement, le passager thaïlandais devra répondre de ses actes devant les enquêteurs de la douane avant l'étape décisive de ce dossier. Déjà en mars dernier, un passager indien du vol d'Ethiopian Airlines avait été arrêté avec de la poudre d'or enfermée dans des boulettes également dissimulées dans son rectum.

F.R.

Publié dans Société

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    Les riziculteurs d’Ambohijanahary, District d’Amparafaravola (Ambatondrazaka) – Région d’Alaotra – Mangoro, ont procédé à la récolte du riz, espèce hybride. Pour une première récolte, c’en est une réussite. En effet, les producteurs d’Ambohijanahary ont réalisé de rendements record si exceptionnels avec 8,6 tonnes à l’hectare. Du signal fort annonçant du début effectif du redressement, et ce, pour atteindre, entre autres, l’autosuffisance alimentaire. Un des objectifs vitaux du régime Orange en place. Tahian’Ny Avo Razanamahefa, secrétaire d’Etat en charge de la souveraineté alimentaire se dépêchait sur place pour constater de visu et superviser la récolte en présence des riziculteurs et autorités locales. Cela me rappelle le bon vieux temps des années de prospérité agricole du pays. Au cours d’une grandiose cérémonie pleine de symboles et de fierté que présidait le Président de la République, feu Philibert Tsiranana, il y avait eu la fête des prémices du riz (Santa-bary) sur le jardin…

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