Par piqures ou verres infectés. Dans plusieurs villes françaises, le fléau des drogues du violeur fait l’actualité depuis quelques mois. Les médias français ont révélé quasi-quotidiennement de nouveaux témoignages de victimes, droguées à leur insu à ces stupéfiants. Ces produits peuvent très facilement être glissés sous la forme d’une poudre ou d’un liquide, dans un verre, dans des bars, parfois même par des piqûres en boite de nuit, ou encore dans la rue. Ces drogues sont connues pour provoquer des états seconds, désinhibés et très souvent des pertes de mémoire.