Politique

TIM - Le linge sale étalé en public

Publié le jeudi, 21 avril 2022
Les députés du TIM n’hésitent plus à étaler les déchirements en interne sur la place publique. Le président du groupement parlementaire du TIM à l’Assemblée nationale s’est lâché dans une interview accordée à une station de télévision privée de la Capitale, dénonçant le cavalier seul de certains députés dissidents sur lesquels il brandit des sanctions contre ces personnes qu’il qualifie pourtant d’ « amis ». Etalant les secrets d’alcôve de la famille TIM à la Chambre basse, le député Fetra Ralambozafimbololona confirme l’existence d’un projet ou d’une démarche de certains « amis » de mettre en place un nouveau groupement…
Mi-janvier dernier, l'ancien ministre malgache de la Justice a fait des révélations surprenantes au sujet du trafic d'or. En conférence de presse à Antananarivo après son retour de Moroni, la capitale des Comores où 49 kilos d'or avaient été interceptés, le ministre Herilaza Imbiki a indiqué qu'il y avait un projet d'exporter illégalement deux tonnes d'or de Madagascar ; qu'il n'y avait pas que de l'or saisi aux Comores le 28 décembre dernier, mais aussi un kilo d'héroïne ; et surtout que les deux cerveaux du réseau sont connus de ses services mais il n'a pas révélé leur identité.
La baisse continue. Selon le bilan épidémiologique publié par le ministère de la Santé publique, dimanche dernier, une personne est déclarée décédée de l'épidémie du coronavirus durant la semaine du 9 au 15 avril. Un chiffre en baisse continue. Deux décès avaient été déclarés, la semaine précédente, à savoir du 2 au 8 avril, et quatre durant la semaine du 26 mars au 1er avril.
Rassurant. C’est de cette manière que pourraient se traduire les propos du directeur général de l’office malagasy des hydrocarbures à l’occasion d’un point de presse qui s’est tenu hier à Behoririka. Cela a été organisé par l’OMH pour rendre compte des consommations mensuelles enregistrées ainsi que de la continuité de l’approvisionnement sur tout le territoire national. « Le tanker censé approvisionner notre stock pour ce mois d’avril est présentement en rade en attendant le débarquement à Toamasina. En provenance du Sultanat d’Oman, ce navire embarque à son bord 74 millions de litres de carburant dont 17 millions de litres de…
Une grande première dans l’histoire de Bretton Woods. Les dirigeants du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, deux institutions financières mondiales se sont réunis sur une même table pour se pencher sur une même cause qu'est le redressement de Madagascar. En effet, en marge de la réunion de printemps de la Banque mondiale et du FMI, le Président de la République Andry Rajoelina a rencontré le président du groupe de la Banque mondiale, David Malpass, et la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva lundi à Washington. « Ce dialogue est essentiel pour assurer l’efficacité, la coordination…
De Toamasina à Farafangana, les rives du Canal des Pangalanes sont en danger ! « Moi aussi, j'en ai marre, marre et marre. Encore et encore. Tous les jours, toutes les nuits, pendant les cyclones, pendant les pleines lunes, sous la pluie, avec des vents de dingue, rien ne les arrête. Ils sont libres. Aucun contrôle des autorités ? Malgré nos démarches ». C'est ainsi que Stéphane Decampe, un opérateur touristique basé à Andranokoditra, Commune rurale d'Ambinaninony Brickaville, a fait savoir son mécontentement samedi.
Pataugeoire. Les négociations sur les accords de pêche, toujours en gestation, entre l'Union européenne (UE) et la Grande île ont du mal à accoucher jusqu'à présent. La semaine dernière pourtant, une autre société a réussi à renouveler ce précieux sésame pour une durée de deux ans à condition de payer le triple de ce qu'elle devait débourser auparavant en guise de compensation financière. Certes, l'envergure des accords ne sont pas comparable avec d'un côté un peu moins de deux milliards d'ariary pour la société Interatun et de l'autre côté, des dizaines de millions d'euros demandés à l'Union européenne.

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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