Politique

Spéculation à bannir, c’est en ce sens que la société State Procurement of Madagascar a importé près de 35 000 tonnes de ciment de la marque Lucky pour alimenter le marché malagasy victime de fluctuation des prix depuis un certain temps. En effet, cette hausse des prix s’explique surtout par les frais de transport élevés. Le ciment doit, en effet, être transporté par voie maritime au vu de son poids. « Tous les matériaux de construction ont subi une flambée de prix. La hausse est presque hebdomadaire.
Consternation. Récemment, quelques patrons de petites et moyennes entreprises ou des entreprises individuelles ou encore les très petites et moyennes entreprises se plaignent à propos des procédures de recouvrement fiscal effectuées par la Direction générale des impôts qu’ils jugent inopportunes compte tenu de la situation économique du pays.
Des postes de responsabilité de la représentation de Madagascar, auprès des organisations internationales, restent inoccupés. Il s’agit notamment des postes d’ambassadeur dont la nomination se fait attendre après celle effectuée au temps de Naina Andriantsitohaina. Lors de son face- à- face avec les représentants étrangers à Madagascar, dans le cadre de la « rencontre diplomatique » au mois de septembre dernier, le ministre malagasy des Affaires étrangères, Patrick Rajoelina a révélé deux nouveautés qu’il compte mettre en œuvre. Primo, la création d’une académie pour former les futurs diplomates et secundo l’appel à candidature pour les postes d’ambassadeur et de consul…
Les missions de Rothschild & Co se concentreront sur le conseil et la proposition. Toutes les décisions à prendre reviennent à l’Etat central. Ce sont les précisions de la direction communication du ministère de l’Economie et des Finances hier en conférence de presse. Le réseau et les compétences de cette holding financière ont dicté le choix de l’Etat malagasy de recourir à Rothschild & Co. Selon les explications, dans un secteur en perpétuelle évolution comme celui de la Finance, Madagascar se doit de suivre la tendance, d’où le choix de recourir à ce leader dans le domaine du conseil financier.…
Ses qualités d'ex-parlementaire et d'ex-ministre ont-elles joué en faveur de Vaonalaroy ? C'est la question des uns et des autres à l'issue de son déferrement au Parquet avant-hier. Accusée d'escroquerie et émission de chèques sans provision, l'ancienne ministre de l'Artisanat et de la Culture du Gouvernement de Kolo Roger, a évité de peu la prison. Dans l'attente de son procès, Vaonalaroy Randrianarisoa est, en effet, placée sous contrôle judiciaire.
Lourde peine. La Cour criminelle ordinaire du Pôle anti-corruption (PAC), lors de sa dernière session, a infligé une peine de huit ans de Travaux forcés à temps à l’ex-Directeur administratif financier (DAF) du ministère de la Population, Tsohara Mampalaza. Détournement de deniers publics, abus de confiance, faux et usage de faux, tels sont entre autres les chefs d’inculpation de ce haut responsable de ce département ministériel ainsi que les 14 co-accusés dont deux autres agents du ministère et des fournisseurs. Le procès s’est déroulé le 22 octobre dernier et c’est l’ex-DAF qui a écopé la plus lourde peine, contre une…
Jean Eric Rakotoarisoa est sorti de son silence devant les fausses informations diffusées principalement par des obédiences politiques qui ne partagent pas les points de vue du pouvoir en place, dans le dessein de fomenter des troubles dans le pays. Dans une publication sur ses réseaux sociaux, l’ancien président de la Haute Cour constitutionnelle a tenu à mettre les points sur les « i », face aux propos qui lui sont prêtés. Réagissant principalement face à une « déclaration faussant complètement ses propos », Jean Eric Rakotoarisoa confirme s’être entretenu avec des journalistes sur les décisions prises après les évènements…

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Editorial

  • Idem !
    Et nous y revoilà ! Dix personnes écopent une peine de détention préventive à la prison de Moramanga. Elles sont accusées de fuite de sujets lors de l’examen du BEPC dans la Circonscription scolaire de Moramanga. Encore et toujours des fuites de sujets. Tous les ans, ou presque, le pays doit faire face à des délits de fuites de sujets d’examen officiel. Neuf candidats à l’examen du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) 2025 ainsi que le proviseur d’un lycée privé sis à Belavabary, de la même CISCO, ont été placés sous mandat de dépôt à la prison de Moramanga à l’issue de leur comparution devant le juge d’instruction. Idem des cas de fuites de sujets. Le ministre de l’Education nationale déclarait, à ce sujet, comme suit : « tolérance zéro à l’encontre des fauteurs de trafics de sujets d’examen officiel ». Avec tous les respects à votre endroit Mme …

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