Publié dans Politique

Fonctionnaires - Les salaires versés depuis hier

Publié le lundi, 19 décembre 2022

Les agents de l'Etat poussent un ouf de soulagement. Après quelques jours d'incertitude, le paiement des rémunérations de leur salaire est effectif depuis les dernières heures. Les agents non détenteurs d'un compte bancaire peuvent récupérer leurs bons de caisse et retirer leur salaire au niveau des guichets du Trésor public, selon les explications de sources au niveau du ministère de l'Economie et des Finances.

Pour les agents dont le paiement des salaires se fait habituellement par le mode de règlement bancaire, la perception de leur salaire dépend des procédures au niveau de leurs banques respectives. Cette nouvelle a été accueillie avec un ouf de soulagement par de nombreux fonctionnaires chez qui l'inquiétude commençait à poindre le bout de son nez après un inhabituel retard du paiement de leur salaire. 

D'ordinaire, le dernier mois de l'année, les salaires des fonctionnaires sont versés un peu plus tôt, si d'ordinaire, les autres mois, il est versé le vingtième jour. C'est le cas notamment du côté des Forces de l'ordre dont les inquiétudes ont été partagées au niveau de la société. Des inquiétudes amplifiées par les diverses informations non démenties par les responsables étatiques, déversées en masse sur les réseaux sociaux notamment par les détracteurs du régime actuel. Des informations relayées abondamment sur les réseaux sociaux faisaient même état de bons de caisse non payés. Au niveau du ministère de l'Economie et des Finances, on se veut en tout cas rassurant. A entendre nos sources, tout est en ordre. L'on ne peut pas parler de retard car le salaire est versé habituellement le vingtième jour, remarquent-ils par ailleurs. Le moment de flottement est passé. A priori, de longues files vont se former devant les  guichets des banques et des guichets du Trésor public ces prochains jours.  

 

La Rédaction

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Editorial

  • A la dérive !
    L’heure est grave. De fortes secousses ébranlent l’édifice. Le navire perd le cap et risque de chavirer. L’image répercutée n’est pas du tout encourageante ! Le message émis semble sonner le … glas ! Dans un pays empêtré dans les marécages des difficultés complexes avec un dénominateur commun la misère, les malheurs se bousculent au portillon. Madagasikara devient le point de rencontre des délits inimaginables parfois inhumains. Une jeune mère de 23 ans s’effectue un montage de film pornographique avec son propre fils, un petit garçon d’à peine cinq ans et propose le macabre film sur les réseaux sociaux. Evidemment, les amateurs de pédopornographie, des obsédés sexuels s’arrachent de ces obscènes produits. Pour une question de jalousie et surtout de vengeance, on a aucun scrupule de mettre en danger de mort plus d’une cinquantaine de concitoyens dont parmi eux des membres de la famille. Trente-deux personnes, jusque-là, ont trouvé la…

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