Unis, il est possible de créer des synergies pour la protection de l'environnement et la préservation des ressources naturelles, tout en servant de modèle pour d'autres nations. Le deuxième jour de la COP29, qui se déroule à Bakou, en Azerbaïdjan, a été marqué par un événement significatif : le lancement officiel de la coalition G-Zéro. Cet événement a attiré l'attention des délégués et des observateurs présents, soulignant l'importance des actions internationales dans la lutte contre le changement climatique. La coalition G-Zéro regroupe quatre pays dont Madagascar, le Suriname, le Bhoutan, et le Panama. Ces pays ont été reconnus pour leurs efforts dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la préservation de la biodiversité. Leurs initiatives respectives témoignent d'un engagement fort envers la protection de l'environnement. Elle a pour objectif principal de développer des actions concrètes et efficaces pour la protection des ressources naturelles. Lors de ce sommet, les membres de cette coalition projettent de partager leurs connaissances, de collaborer sur des projets de conservation et de renforcer leurs moyens de protection des forêts, des océans et de la faune. Ces initiatives visent à établir un cadre de coopération qui pourrait inspirer d'autres pays à s'engager dans des actions similaires.
En ce début de la COP29, ces quatre pays se présentent comme des modèles inspirant et symbolique pour la lutte contre le changement climatique. La coalition renforce la voix des pays les plus engagés dans la protection de la planète, démontrant qu'il est possible de travailler ensemble pour un avenir durable. La coalition se distingue par le fait qu'elle réunit des nations ayant atteint le statut de « Carbone Négatif » ou de « Neutralité Carbone ». Les pays « Carbone Négatif », comme Madagascar, se caractérisent par leur capacité à séquestrer davantage de carbone qu'ils n'en émettent. Ces actions contribuent activement à la réduction du dioxyde de carbone dans l'atmosphère, renforçant ainsi leurs engagements environnementaux.
Nikki Razaf