Publié dans Politique

Marché d'Analakely - Naina Andriantsitohaina à l'écoute des commerçants

Publié le vendredi, 25 octobre 2019

Le candidat de l'IRD à la Mairie d'Antananarivo continue son périple dans la Ville des mille. Là où il passait, Naina Andriantsitohaina  écoute les desiderata des habitants et discute avec eux des problèmes vécus dans le quotidien. Hier, l'opérateur économique candidat a effectué une descente au cœur de la Capitale et lieu incontournable de la ville. Il s'agit d'Analakely qui, avec ses centres commerciaux, boutiques, ses places historiques et son marché, est l'endroit le plus fréquenté d'Antananarivo ville. Cependant, Analakely est également l'un des lieux les plus insalubres et insécurisés de la Capitale et où règnent, malheureusement, l'incivisme et l'indiscipline. Circulation infernale, vols à la tire, détritus de tous genres et bien d'autres figurent sur la longue liste des maux qui minent le centre-ville.

 

Naina Andriantsitohaina, accompagné par des candidats conseillers municipaux et des habitants du 1er Arrondissement, y est venu pour entendre les souhaits des principaux acteurs à savoir les commerçants. Lors de cette rencontre avec le candidat, ces derniers ont soulevé quelques points entre autres la réorganisation des marchés, le cas des marchands illégaux qui inondent le centre et le problème des parkings. Ce dernier point s'avère nécessaire pour booster le commerce. Les commerçants ont soufflé mot également au candidat Naina Andriantsitohaina l'insécurité dans leur zone. L'installation des caméras de surveillance paraît la solution efficace pour lutter contre ce phénomène. Par ailleurs, la remise aux normes des infrastructures telles que le « fast food malagasy » appelé communément « zaimaika » et l'esplanade sont aussi souhaités par les habitants et les commerçants rencontrés, lors de cette visite à Analakely. Il en est de même de la multiplication des toilettes publiques et la fluidité de la circulation.

Les interlocuteurs du candidat Naina Andriantsitohaina ont eu devant eux une oreille attentive et un homme qui a des idées réalistes pour solutionner les problèmes évoqués.

La Rédaction

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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