Société

Le Service des maladies infectieuses et parasitaires au sein du Centre hospitalier universitaire Joseph Raseta Befelatanana (CHUJRB) accueille entre 10 à 15 séropositifs du VIH/Sida par semaine, selon le docteur Mihaja R. Deux d'entre eux nécessitent une hospitalisation à cause de la gravité de la maladie, tandis que les autres suivent seulement un contrôle régulier afin de surveiller la propagation du virus dans leur corps et de renforcer leur anticorps. D'après toujours ce médecin, le résultat du test ainsi que la prise en charge des patients sont strictement confidentiels afin de lutter contre leur discrimination au sein de la communauté.
Un pas vers la sécurité alimentaire. 20.000 ménages ont réussi à sortir de la difficulté absolue grâce à ses initiatives, a déclaré hier Mbuli Charles Boliko, représentant de la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l’agriculture) à Madagascar. Plus de 60.000 ménages ont bénéficié de l'aide de cet organisme onusien pendant la période de « kere » 2020-2021, et les résultats témoignent d'une transformation significative. Après la phase de crise, la FAO a mis en place des programmes, proposant de nouvelles méthodes de production aux ménages en difficulté. Grâce à ces initiatives, 20.000 ménages ont non seulement surmonté …
Stupeur et consternation chez la population de la Commune rurale d'Ampondralava, District d'Ambilobe, hier.
Vers 6h, un témoin a été désagréablement surpris par le cadavre qui fut suspendu au-dessus de lui et sur le manguier. La victime n'était autre que le maire de ladite Commune au nom de Modeste Bemanjary (46 ans). Son corps inerte et retenu par une corde à une branche de cet arbre se balançait au-dessus du vide. La scène de cette macabre découverte se trouvait à 200 mètres au sud du propre domicile du défunt maire.
Le chef de Fokontany d'Ampondralava fut avisé qui, à son…
Situé au cœur du quartier populaire d’Antetezana Afovoany. La maison du Projet de développement urbain intégré et de résilience pour le grand Antananarivo (PRODUIR) accueille les habitants et les personnes affectées par le projet et en quête d’informations. Ce projet financé par la Banque mondiale est actuellement dans sa phase la plus critique et la plus importante, à travers les travaux de curage du canal C3. Les habitants impliqués dans le projet doivent être des acteurs à part entière du processus, d’où la mise en place de ce lieu. « Les personnes affectées par le projet ou les citoyens peuvent…
Depuis maintenant deux mois, Ankazobe est devenue une zone rouge à cause de l'insécurité, ou plutôt un fort degré d'insécurité qui y règne. La localité de Mahavelona est spécialement concernée. Deux mois durant donc, les bandits y sèment systématiquement la terreur : assassinat ciblé, menaces, brigandage, extorsion et viol...Tel est le lot des habitants si bien que ces derniers sont poussés à quitter leurs domiciles la nuit pour se cacher ou se réfugier dans des endroits plus sûrs, la nuit... Ici, ce sont les femmes et les enfants qui doivent se terrer ainsi, soit dans les champs pendant que les…
" Comme l'amour est au-dessus de la loi, de toute loi et on ne sera jugé que pour l'amour". C'est à travers ces propos que le Père Pedro Opeka résume son voyage en Slovénie. Comme à l’accoutumée, il effectue régulièrement un voyage à l'étranger en vue d’une levée de fonds pour le Centre Akamasoa. Après La Réunion dernièrement, il a visité le pays natal de ses parents, la Slovénie, pour quelques jours. Il a rencontré l’édition slovène d’Aleteia pour raconter ses parcours ainsi que le début de l'Akamasoa en 1989.
Actuellement, avec un recensement de 3382 véhicules périurbains à Antananarivo, les chauffeurs dans le transport suburbain font face à des problèmes, selon les chiffres de l'ATT. Une situation exacerbée par des embouteillages monstres entre Anosy et Ampitatatafika où il faut souvent plus de deux heures pour s'en extirper. Un conducteur exerçant sur la ligne Antananarivo-Imerintsiatosika souligne que "la concurrence accrue, notamment avec de nombreux taxis-brousse desservant la même destination, réduit le nombre de trajets quotidiens. Certains chauffeurs, par manque d'alternatives, appelé "mpitsoraka" optent pour des méthodes non conventionnelles comme les arrêts non réglementaires, mais cela ne résout pas leurs problèmes…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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