Société

Des habitués se sont opposés à l'organisation. Certaines coopératives œuvrant sur les axes RN2 reliant Antananarivo-Toamasina et la RN5 desservant Antananarivo et Fénérive-Est ont continué à opérer à Ambodivona dans la matinée d'hier, jour prévu de leur déménagement à la Gare routière d'Andohatapenaka. « Nous allons rester ici, comme les autres coopératives d'en haut. C'est inacceptable que certaines coopératives de transport déménagent tandis que d'autres continuent à exercer librement », crie un guichetier mécontent.
Le quartier d’Antafihakely situé dans le cœur de la ville d’Ambanja, a été le théâtre d’une sanglante attaque de bandits, vers 18h30 mercredi. Les assaillants, au nombre de trois, et qui étaient munis d’objets tranchants, se sont violemment comportés envers leur cible dans son domicile. Il s’agit d’un certain Bebera pour les intimes, et non moins propriétaire de l’hôtel « La Piscine ». Ce dernier est grièvement blessé et présente de larges et profondes entailles sur presque tout le corps, surtout au bras. L’os apparaît même dans cette partie du corps de la victime, blessures occasionnées par les objets tranchants…
Actuellement, quatre responsables chinois au sein de l’entreprise d’exploitation de graphite dénommée Gallois à Marovintsy Vatomandry, sont gravement blessés. Certains des employés le sont également. Mercredi, ces responsables de l’entreprise s’étaient affrontés avec les employés grévistes, des Malagasy. Des véritables batailles rangées au cours desquelles les Chinois ont utilisé des objets tranchants pour charger les salariés, qui ont répliqué à coups de pierres. Mais des villageois se sont mêlés aussi à l’affrontement. Il a fallu l’intervention de la Gendarmerie sur place afin de calmer les esprits. Les victimes se trouvent dans un état critique dont certaines souffrent de multiples fractures.
Malgré l’avancée de la technologie dans le monde, Madagascar est toujours en retard quant à l’utilisation de l’internet. A cause de la cherté de la connexion à domicile, la majorité de la population mise encore sur la connexion internet, qui, d’une part, est visible dans toute l’ile et de l’autre, à prix abordable. Cependant, l’utilisation de l’internet est au centre de tous les mouvements dans un pays comme l’éducation, la santé, la sécurité. Elle est inséparable avec l’éducation et notamment le système LMD. D’ailleurs, ce sont les universitaires qui sont les principaux usagers de l’internet. Il est alors important de…
Après quelques jours de suspense total, la Justice a finalement prononcé sa sentence à la salle no 1 du Tribunal d’Anosy, hier. La directrice de publication d’un quotidien local et l’administrateur d’un compte sur facebook, tous deux accusés de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles à propos du motif du survol du stade de Mahamasina par un hélicoptère de l’Armée, quelques jours avant l’arrivée du Pape François, doivent s’acquitter chacun d’une amende de 10 millions d’ariary, et d’un franc symbolique à titre de dommage envers l’Armée malagasy.
Mardi dernier, un chef de famille de 45 ans fut grièvement blessé à la suite de son agression par un rabatteur ou « mpanera » et le fils de celui-ci. Les faits se sont déroulés à la gare routière d’Analavory Itasy. La victime était déjà dans le taxi-brousse pour rentrer chez lui lorsque le rabatteur en cause l’a obligé de sortir du véhicule et de monter dans un autre. Puisque le quadragénaire n’a pas voulu bouger d’un iota, l’agresseur supposé et son fils l’ont entraîné de force hors du véhicule.
L’homme de 46 ans qui est pointé du doigt pour une affaire de viol survenue le week-end dernier à Ambohidratrimo, et dont la victime est une jeune fille de 17 ans, sera déféré au Parquet ce jour. Hier, il a été toujours placé en garde à vue dans les locaux de la Brigade de gendarmerie à Mahitsy. Les faits. Vendredi soir dernier, des individus qui ont requis l’anonymat ont informé la compagnie de gendarmerie d’Ambohidratrimo à propos d’un cas de viol survenu dans la localité d’Ambohitrombibe, quartier d’Andakana. Là, deux jeunes filles âgées de 17 et de 20 ans en…

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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