Société

A l'issue du premier appel, le centre d'examen du baccalauréat au Lycée moderne Ampefiloha (LMA) n'a enregistré que 48 candidats absents sur 1 602 inscrits. Hier, c'est-à-dire après 5 épreuves écrites passées, le chiffre émis par Manjato Rasamimanana Eddy, chef de centre, a pourtant augmenté. Hier, ledit centre a recensé 24 futurs bacheliers qui ont abandonné les épreuves, ce qui fait un total de 72 candidats qui vont certainement échouer à cet examen officiel. En tenant compte des précédents examens, cet effectif pourrait encore évoluer jusqu'à cet après-midi, lors de la dernière épreuve à traiter.
 Fin de l'état d'urgence sanitaire. Le nombre de passagers dans les véhicules routiers de transport en commun au niveau régional et national est rétabli à celui inscrit dans la licence d'exploitation, selon une note de service publiée par le ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie. Une situation qui témoigne le retour à la routine quotidienne. Même si certaines dispositions ont été modifiées et complétées, Madagascar n'est pas encore entièrement hors de danger et la vigilance est toujours de mise.
Baisse du taux de malnutrition à Madagascar. Tel est le résultat concret des actions menées ces dernières années dans le cadre de la lutte contre la malnutrition. Ce taux est passé de 47,3% à 41,6% de 2012 à 2018 et ce au niveau national. Pour la Région Analamanga, le taux de malnutrition chronique chez les enfants de moins de 5 ans est désormais de 47% contre 51% auparavant. « Les activités menées au niveau des communautés ont porté leurs fruits. Les sensibilisations et l’éducation culinaire pour une alimentation saine, variée et équilibrée en font partie », constate Alitiana Randrianandrasana, coordonnateur…
L’heureuse élue « Miss Madagascar 2020 », Nellie Njaratiana a été très attendue dans la Région de Vatovavy-Fitovinany, la semaine dernière. Préoccupée par la situation des jumeaux de Mananjary, elle s’y est dépêchée pour constater de visu la réalité. « Dès l’arrivée au centre Fanatenane, un mélange d’émotions et d’appréhensions bouillonne à l’intérieur de moi. L’accueil chaleureux des enfants et leur surprise de rencontrer une Miss m’ont beaucoup fait chaud au cœur. J’ai été par contre attristée de voir les nourrissons abandonnés. Ce sont des aperçus qui ont encore plus renforcé mon objectif de les aider. Cette ambition voire une…

Soarano - Une dizaine de box démolis

Publié le lundi, 19 octobre 2020
La décongestion et l'assainissement d'Antananarivo est au centre des priorités de la Municipalité de la ville. Après l'expulsion des commerçants ambulants, des revendeurs et réparateurs de téléphones, ainsi que des voitures encombrantes du côté d'Analakely, Soarano, Behoririka et l'avenue de l'Indépendance, la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) a procédé, hier, à la démolition des box illicites se trouvant à Soarano, à côté du marché Pochard. Il s'agissait d'environ une dizaine de box, composés de boutiques conçues pour la vente de téléphone et d'accessoires, gargotes, service de « Mobile Money », etc.
Des stèles vivantes. Les journalistes doyens continuent à véhiculer la paix au niveau de la société. De plus, ils ne cessent de partager leurs vécus et expériences aux nouvelles générations de journalistes, tout en leur passant le flambeau et les valeurs acquises au cours de leurs années d'exercice. Toutefois, ils deviennent vulnérables une fois retraités à cause des ressources limitées. Raison pour laquelle le Club des journalistes doyens (CJD) fait souvent appel au ministère de la Communication et de la Culture (MCC) pour soutenir ses projets ou activités.
Entre le 15 et le 17 octobre dernier, les limiers du Poste de police de Soavina ont porté un rude coup sur la « bande des 4 » qui a longtemps semé la terreur dans les quartiers du District d'Antananarivo-Atsimondrano, dans la banlieue sud de la Capitale. A commencer par l'arrestation d'un suspect à Bevalala. Deux jours après cela, c'était au tour de deux autres de tomber dans les filets de la Police. Ces derniers étaient encore surpris en train d'agresser et voler une victime sur les rives d'un lac à Anosimahavelona, juste en face du « Fasan'ny Karàna ».

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Editorial

  • Que d’un raccourci !
    On n’en finit … jamais d’épiloguer sur la galère que la Société nationale d’eau et électricité fait subir aux pauvres et impuissants abonnés. Il n’y a pas un jour ou une nuit sans que la JIRAMA fasse la sienne. D’après les constats quotidiens de tous, les délestages et les coupures se durcissent au fil du temps. Sur le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA), c’est le gala ininterrompu des coupes et des arrêts des machines et appareils ménagers. Ampoules, frigos et autres machines délicates risquent fort d’être endommagées. Au beau milieu du souper, en pleine concentration d’une séance de film, en plein travail dans les ateliers de soudure, en pleine coupe de cheveux ou brushing dans les salons de coiffure, en pleine concentration d’un travail de connexion dans un cybercafé, etc. les coupures intempestives du courant gâchent tout ! La vie quotidienne, de jour comme de nuit, des usagers de la JIRAMA…

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