Société

22 octobre. Telle est la date exigée pour la mise en place d’un centre de réhabilitation nutritionnelle intensive et médicale respectivement à Ambovombe, Tsihombe, Ampanihy, Beloha et Amboasary Sud. Cela fait partie des actions immédiates imposées et validées en Conseil des ministres en date du 7 octobre dernier, face à l’insécurité alimentaire dans la partie Sud de Madagascar. D’ailleurs, le Président de la République Andry Rajoelina a exigé des actions immédiates lors de son dernier périple dans le Sud, le week-end dernier. La mise en place d’une « banque alimentaire » et de médecins traitants ainsi que l’approvisionnement en alimentation…
Vendredi 2 octobre dernier, les limiers du commissariat d’Alasora ont arrêté quatre personnes pour une affaire de meurtre associée à une attaque à main armée survenue dans la localité d’Ambohibary-Alasora. Mercredi dernier, l’affaire a été déférée au Parquet, à la suite de quoi, les suspects ont été finalement placés en détention provisoire à la maison de force de Tsiafahy, en attendant leur prochaine comparution devant le Tribunal, mais aucune date n’a été encore avancée. Mais revenons aux faits. Vers 20h30, le 2 octobre dernier, une patrouille de police du poste d’Ampahibato a intercepté deux inconnus sur son chemin. Ces derniers…
Le Sud de Madagascar fait face à un épisode de sécheresse exceptionnelle et la population souffre de famine. Cela fait plus d’un an que la région n’a pas connu de pluies. Plus d’1,6 million d’habitants ne peuvent plus manger à leur faim. Il n’y a plus de riz. Les hommes se nourrissent de cactus et d’argile mélangé à du jus de tamarin. La télévision nationale malgache a diffusé des images de la population en souffrance, des images qui ont largement ému. Le Sud de la Grande île est gravement touchée par la sécheresse, en conséquence de quoi la population se…
Encore une vie sacrifiée de plus et tant d'hémorragies sur une route nationale ! La scène fut atroce car rien n'a plus permis de reconnaître ce véhicule tout-terrain qui s'est retourné au milieu de la voie, tant il a été abîmé. C'était vers 9h30, hier matin, lorsqu'une terrible collision s'est produite à un point kilométrique sis au niveau de la localité d'Ambohimarina, à quelques kilomètres de Moramanga, sur la RN2. Le 4x4 Toyota Hi-Lux en question, qui roulait en direction de Toamasina avec 7 personnes à son bord, a non seulement fait une sortie de route, mais il s'est finalement…
Retirés de la plateforme publique, y compris les réseaux sociaux. Deux vidéos clips de 2 artistes différents viennent d'être censurés par le ministère de la Communication et de la Culture (MCC). Ce département ministériel a adressé une lettre aux artistes et producteurs ordonnant d'enlever ces vidéos clips, lesquels nuisent aux bonnes mœurs malagasy. Leurs paroles se composent des mots bruts sur le sexe, faciles à comprendre mais difficile à digérer. « Les artistes devraient servir d'éducateurs, au lieu de véhiculer des messages nuisant aux valeurs.
La saison des pluies en avance que prévu. La première pluie s'est abattue dans la Capitale depuis mardi dernier et a duré jusqu'au petit matin. Par conséquent, bon nombre d'habitants, notamment ceux qui vivent tout au long des canaux d'évacuation d'eau comme à Andranomahery, Ankorondrano, Andraharo, Ambohimanarina, Andavamba, Anjezika, se plaignent déjà de la montée des eaux. Du côté d'Antohomadinika par exemple, l'eau se trouve déjà à quelques centimètres du seuil de la maison.
La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 a favorisé les taxis et taxis-motos clandestins dans la ville d’Antananarivo. Effectivement, ces derniers profitent de la suspension des transports en commun pour exercer illicitement dans les rues de la Capitale, sans licence ni autorisation. Afin d’encourager l’intégration dans le secteur formel, la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) procède actuellement à une opération de poursuite de ces moyens de transport clandestin. Pour la journée d’hier, les forces composées de la Brigade mixte et de la Police municipale ont fouillé les deux-roues et taxis exerçant du côté d’Ankazomanga, Tsarasaotra, 67ha jusqu’à Ankadimbahoaka. Tous…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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