Société

Une nouvelle organisation s'implique au cimetière d'Anjanahary. Effectivement, seuls 60 % des propriétaires de tombes dans ce lieu sont enregistrés au sein du Bureau municipal d'Hygiène (BMH), tandis que les 40 % restants sont inconnus et n'y disposent d'aucun tombeau familial. Afin d'éviter la gabegie, ceux qui voudraient inhumer un corps dans ce cimetière devront disposer des décisions d'attribution de parcelles. D'après le docteur Njarasoa Rasoanomenjahary, chef de service de l'hygiène auprès de la Direction de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène auprès de la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA), les familles concernées devront prouver qu'elles disposent légalement d'une tombe dans…
D’ après un article publié par le site d’information belge 7sur7.be hier, l’Afrique est un bon élève de la lutte contre la Covid-19. Dans l’émission “Newsday” de la BBC, le virologue John Nkengasong, directeur des Centres africains de contrôle des maladies (CDC), une agence de la santé des 55 membres de l’Union africaine, a affirmé que les interventions précoces mises en place par différents pays ont également contribué à contenir le virus sur le territoire africain. L’intensification des tests et le suivi de la recherche des contacts et, ce qui est très important, le port du masque en constituent. A…
Augmenter les frais des taxis-brousse est passible d’une lourde sanction. Le directeur de l’Agence des transports terrestres (ATT), le Général Reribake Jeannot, de rappeler que changer les frais de transport, que ce soit à la hausse ou à la baisse conduit les coopératives à de lourdes sanctions. « Bien que nous soyons actuellement en période de vacances, où bon nombre des transporteurs en tirent profit pour combler la perte durant l’année, Madagascar est encore dans une crise sanitaire », avance-t-il. Par conséquent, la hausse des frais de transport est intolérable. Les autorités ont gardé la configuration classique des places dans…
Fonctionnaire au sein d’un département ministériel. Il a dû faire face à plusieurs difficultés pour réussir ses études et pour décrocher ce poste, notamment avec sa perte de l’audition en classe de seconde. Ce portrait d’Elie Anselme Harivelo rapporte une bonne leçon de persévérance d’un Malagasy vivant avec un handicap et est dédié aux malentendants en cette semaine internationale des personnes sourdes. Il est jeune, sympathique, discret mais laborieux. Elie Anselme Harivelo ne supporte pas le mensonge, la discrimination et surtout le fait de rabaisser les autres. Il avait une enfance rayonnante au bord de la mer de Morondava où…
Décidément, ces derniers jours, les incendies font rage dans la Capitale et ses environs. Hier, au cours de l'après-midi, l'air était devenu pratiquement irrespirable dans la rue faite de pavés qui passe à Ampatsakana via la CNaPS, et cela à cause d'un grave incendie. Là, c'est un entrepôt, situé au pied d'un grand immeuble en cours de finition qui a pris feu, dégageant ainsi une fumée particulièrement épaisse, sinon âcre. Pire, au fur et à mesure que les flammes aient pris de l'essor, des craquements sinistres et des petites explosions se faisaient entendre de la construction en feu. Même si…
Un avertissement pour les loueurs illicites. Environ 70 pavillons de la Commune urbaine d'Antananarivo, se trouvant au marché d'Ampanotokana, sont transformés en local illicite depuis 2011. Après que le maire de la Capitale, Naina Andriantsitohaina, s'est penché sur l'assainissement des pavillons, villas et autres logements de la CUA, il est passé à l'action. Les occupants illicites des pavillons du marché d'Ampanotokana, et ceux d'Ambatomaro sont avertis pour quitter les lieux dans un délai de 15 jours. D'après ses explications, ces endroits sont destinés à l’habitation mais non pour effectuer du commerce.
Les flammes font des ravages ! Ces derniers temps, bon nombre de Communes urbaines et rurales enregistrent de cas d’incendies destructeurs. Les dégâts matériels y sont considérables, malgré l’absence de perte en vie humaine. Celui survenu le 12 septembre dernier à Tsiroanomandidy, touchant un magasin grossiste à cause d’un court circuit, en fait partie. Même origine pour l’incendie au Collège Notre Dame de Lourdes à Manjakandriana, samedi dernier. Les feux ont été difficiles à maîtriser pour les résidents qui s’en sont chargés. En fait, ces Communes ne disposent pas de corps de sapeurs-pompiers, malgré le nombre conséquent d’habitants et d’infrastructures…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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