Société

Retirés de la plateforme publique, y compris les réseaux sociaux. Deux vidéos clips de 2 artistes différents viennent d'être censurés par le ministère de la Communication et de la Culture (MCC). Ce département ministériel a adressé une lettre aux artistes et producteurs ordonnant d'enlever ces vidéos clips, lesquels nuisent aux bonnes mœurs malagasy. Leurs paroles se composent des mots bruts sur le sexe, faciles à comprendre mais difficile à digérer. « Les artistes devraient servir d'éducateurs, au lieu de véhiculer des messages nuisant aux valeurs.
La saison des pluies en avance que prévu. La première pluie s'est abattue dans la Capitale depuis mardi dernier et a duré jusqu'au petit matin. Par conséquent, bon nombre d'habitants, notamment ceux qui vivent tout au long des canaux d'évacuation d'eau comme à Andranomahery, Ankorondrano, Andraharo, Ambohimanarina, Andavamba, Anjezika, se plaignent déjà de la montée des eaux. Du côté d'Antohomadinika par exemple, l'eau se trouve déjà à quelques centimètres du seuil de la maison.
La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 a favorisé les taxis et taxis-motos clandestins dans la ville d’Antananarivo. Effectivement, ces derniers profitent de la suspension des transports en commun pour exercer illicitement dans les rues de la Capitale, sans licence ni autorisation. Afin d’encourager l’intégration dans le secteur formel, la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) procède actuellement à une opération de poursuite de ces moyens de transport clandestin. Pour la journée d’hier, les forces composées de la Brigade mixte et de la Police municipale ont fouillé les deux-roues et taxis exerçant du côté d’Ankazomanga, Tsarasaotra, 67ha jusqu’à Ankadimbahoaka. Tous…
Malgré la récente action d’assainissement menée par la Commune urbaine d’Antananarivo, une action visant entre autres à débarrasser la ville de ses innombrables véhicules sur cale, cette entité doit encore redoubler d’efforts pour parvenir à un résultat probant. Car le fait est là : les parkings de la Capitale sont bloqués sinon accaparés par ces véhicules hors d’usage. Le cas de la Rue Jean Andriamady sise à Ampandrana, illustre cette situation. Sur 8 voitures garées sur le côté de la chaussée, 5 sont complètement hors de service. Il suffit d’y jeter un coup d’œil pour vérifier. Les passants ne manque…
Une propriété de la Région d'Analamanga. « Analamanga Park », localisé à 30 km de la ville d'Antananarivo, existe depuis 2007. Cet espace de détente et de loisirs a pourtant été fermé à cause de la vétusté et de la destruction de ses infrastructures, au bout de 10 ans. Cependant, les activités au sein de ce parc seront bientôt relancées, à en croire le secrétaire général (SG) de la Région en la personne de Vincent Ravomanana. « La rénovation totale d'Analamanga Park fait partie des priorités du gouverneur Hery Rasoamaromaka, depuis sa nomination.
22.000 euros. C’est la somme convenue entre deux particuliers malagasy pour l’achat de deux voitures d’occasion en France. Les partenaires se connaissent et ont déjà fait affaire ensemble à travers des commandes de pièces détachées ou autres dans le domaine de l’importation. La confiance commence à s’installer entre les deux parties d’autant plus que toutes les commandes ont été honorées par la partie se trouvant en France et qui s’occupe de l’achat et de l’envoi des marchandises à Madagascar.
Fonctionnel depuis février 2020. Le centre « Vonjy » de Taolagnaro vient d'être inauguré hier par le Président de la République Andry Rajoelina, accompagné par quelques membres du Gouvernement. Ce centre accueille et assure une prise en charge intégrée des cas de violences sexuelles sur les mineurs dans la Région d'Anosy. Les victimes peuvent y accéder gratuitement, sous un même toit, aux services de professionnels pour des prises en charge médicale, psychosociale et judiciaire.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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