Société

Scène à la fois violente et meurtrière en plein cœur d’Ouagadougou, Capitale du Burkina Faso, lundi dernier. Un assaut de bandit a fait une victime, un ressortissante malagasy. Les tristes faits sont survenus au carrefour avenue Kanazoé, vers 10 heures du matin. D’après des sources convergentes, la malheureuse venait de faire un retrait à la banque, et elle était déjà dans sa voiture, donc prête à partir, lorsque l’assaillant était subitement entré en action.
L’alarme lancée par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) concernant l’intensification de la famine dans le Sud face au coronavirus s’est avérée. Pour cette raison, différents acteurs vont se mobiliser. « Le Fonds des Nations unies pour l’enfance, en collaboration avec l’ONG Action contre la faim (ACF) ainsi que le Programme alimentaire mondial (PAM) vont renforcer les interventions dans les zones concernées. Effectivement, la situation y est alarmante depuis le mois d’août. Une équipe mobile sera déployée à l’immédiat pour une intervention directe », nous a révélé une source auprès de ces organismes onusiens.
Une négligence qui peut être fatale pour les humains. Effectivement, beaucoup de gens minimisent le fait d’être mordus ou griffés par un chien. Ainsi, c’est à partir du moment où leur état de santé se dégrade qu’ils décident de consulter un médecin. Après une attaque, l’individu blessé se contente seulement de nettoyer les plaies. Cependant, d’après Angela Randrianarivelo, vétérinaire, il est important de se faire consulter par un spécialiste, et cela après avoir pratiqué les gestes de premiers secours. « La rage est une maladie animale, très dangereuse pour l’homme. Dans la plupart des cas, les symptômes ne se présentent…
Le déferrement des suspects incriminés pour meurtre survenu le 19 septembre dernier, du ressortissant Indopakistanais de nationalité française, Ameralli Danil Alibay Radjan (44 ans), a eu lieu au Tribunal d’Anosy, hier. Au terme d’un interrogatoire marathon au Parquet, le verdict tombe : trois accusés, des agents de sécurité travaillant pour le compte d’une entreprise de gardiennage local, ont été placés sous mandat de dépôt à Tsiafahy. Quant au quatrième, un ressortissant étranger qui serait le propriétaire de la société employant les trois autres accusés, a été placé sous contrôle judiciaire. Leurs auditions étaient particulièrement longues, car ils n’ont pris fin…
Après une assez longue période d’inertie, les faux-monnayeurs sont de nouveau entrés dans la danse. C’était le cas vers 9h30 dans les parages du marché de Soamanatombo, en face de l’HJRA à Ampefiloha, hier. Les limiers de la Compagnie urbaine d’intervention de la Police (CUIP) ont jeté un suspect de 31 ans dans leur filet. Ce dernier était cueilli sur place avec une somme de 200 000 ariary, constitués de faux billets de 20 000 ariary, soit au nombre de 10 au total.La cible de ce faux-monnayeur, le préposé d’un cash point du quartier. Le suspect a alors effectué un…
La Région d’Ihorombe a identifié 54 personnes testées positives au coronavirus après analyses en laboratoire utilisant la technique GèneXpert. Ces nouvelles contaminations au coronavirus ont figuré parmi les nouveaux cas positifs annoncés hier par le Centre de commandement opérationnel (CCO) - Covid-19, situé à Ivato. 404 analyses en laboratoire ont été réalisées par les laboratoires d’analyse, ce qui a permis d’identifier 63 nouveaux cas. Selon le Professeur Vololontiana Hanta Marie Danielle, porte-parole dudit centre, outre les 54 nouveaux cas déclarés à Ihorombe, la Région d’Analamanga a recensé 6 cas positifs. La Région de Haute-Matsiatra comptait aussi deux nouveaux cas infectés.…
Au grand étonnement de plus d’un, deux personnes en détention provisoire dont une femme, et qui sont impliquées dans une affaire de kidnapping, ont obtenu une liberté provisoire. Il s’agit de cette décision prise le 7 septembre dernier, au niveau du Tribunal de première instance. Les accusés ont été incarcérés, l’un à Antanimora et l’autre à Tsiafahy, en avril dernier. Pour parler de gibiers, on peut dire que ce ne sont pourtant pas des moindres.

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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