Société

Les lignes régionales et nationales reliant Analamanga avec les Régions de Boeny, Sofia, Atsimo-Atsinanana, Alaotra-Mangoro, Vatovavy-Fitovinany, Analanjrofo, Menabe, Melaky et Anosy sont ouvertes à partir de ce jour. Toutefois, les plages et le bord de mer de Mahajanga sont déjà noirs de monde depuis leur réouverture, samedi dernier. Les habitants de cette ville se sont donné rendez-vous aux plages après cinq mois d’interdiction. De plus, avec la réouverture de l’axe routier et la période des vacances, une foule est attendue à Mahajanga, nécessitant ainsi un maximum de surveillance et de vigilance. Malgré l’allègement de différentes mesures liées au déconfinement, le…
Des images positives véhiculées sur les réseaux sociaux. La cote de la Police nationale ne cesse d’augmenter ces derniers temps, notamment depuis le confinement. Cela grâce aux actions remarquables des agents de Police qui viennent en aide aux personnes en difficulté. Cette opération de charme semble réussir, si l’on tient compte des réactions, commentaires, partages et feedbacks positifs reçus par les policiers et leur corps. L’octroi de masques pour les personnes âgées qui n’en disposaient pas dans les rues, au début de la pandémie, fait partie de ces gestes qui ont ému plus d’un. Durant l’examen du CEPE à Antananarivo,…

Droits des femmes - Madagascar à la traîne !

Publié le dimanche, 13 septembre 2020
Taux élevé d’abandon scolaire et de chômage, victimes de violence et de discrimination, moins considérées que les hommes malgré les mêmes diplômes et compétences… Bon nombre de femmes malagasy font face à ces cas, nuisant à leur épanouissement et les bloquant dans la contribution au développement du pays. « J’ai dû arrêter l’école à l’âge de 14 ans, en classe de 4ème puisque mes parents n’avaient plus les moyens de payer les frais d’écolage. A l’époque, mon grand-frère, en classe de 3ème, était la priorité pour eux.
Les gestes barrières bafoués. Tel est le principal constat lors de la réouverture des karaokés et cabarets à Antananarivo et périphéries, notamment le week-end dernier. Pourtant, la distanciation sociale de un mètre, le port de masque obligatoire et la présence des dispositifs de lavage des mains ou encore de gels désinfectants constituent les critères imposés pour la reprise des activités dans ces établissements. « Bon nombre de cabarets et karaokés ont omis les mesures barrières. Les clients se sont attroupés et ont dansé comme si de rien n’était sur la piste, comme dans les boîtes de nuit, malgré les consignes…

Transport urbain et suburbain - La gabegie revient 

Publié le dimanche, 13 septembre 2020
Le pire reste à venir ! Plus de gel désinfectant ni de visière. C’est seulement un ou deux jours après la reprise de leurs activités que les transporteurs exerçant dans les zones urbaines et suburbaines ont respecté les protocoles sanitaires mis en place par le Gouvernement, l’Agence des transports terrestres (ATT) et l’Union des transporteurs dans la Capitale et ses périphéries. En effet, durant la soirée, les mêlées sont de nouveau constatées dans les taxis-be, notamment ceux reliant le centre-ville avec les périphéries.
La Covid-19 n'épargne personne, même les enfants. La preuve, Madagascar a déjà identifié une dizaine d’enfants testés positifs au coronavirus, dont un bébé de 9 mois porteur du virus à Toamasina. Le risque de propagation en milieu scolaire inquiète les parents d'élèves, tout autant que les responsables au niveau des établissements scolaires. Quelles sont les mesures particulières à prendre pour protéger les élèves ? C'est la question qui se pose actuellement face à la propagation du virus. Selon le docteur Lova Ravelomanana, pédiatre au Centre hospitalier universitaire Mère enfant d’Ambohimiandra, aucun dispositif particulier ne protège les enfants à cette maladie…
Déstockage dans certains magasins. La plupart d'entre eux écoulent actuellement les fournitures scolaires importées en 2019, notamment les cahiers et les cartables. Ceci pour mieux vendre la dernière vague de marchandises arrivée en janvier et février derniers. Raison pour laquelle ils vendent à prix bradés certains articles. Contrairement aux craintes des parents sur la hausse de prix des fournitures à cause de la crise liée à la pandémie de la Covid-19, une revue à la baisse se constate notamment dans les magasins.

Fil infos

  • Autoroute Tana–Toamasina - Le projet en suspens
  • Actu-brèves
  • Gouvernement - Un mois après, des ministres encore méconnus
  • Futures élections - Mise en place d’un nouveau cadre juridique électoral inclusif et consensuel
  • Déstabilisation supposée de la Refondation de la République - Silence total !
  • Actu-brèves
  • Vie de la Nation - Le Cardinal Tsarahazana dénonce un « christianisme de façade »
  • Actu-brèves
  • « Perquisition » avec violence - Les parents d’une haute conseillère Constitutionnelle torturés
  • Enseignement supérieur - Tolérance zéro réaffirmée face aux abus sexuels

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Editorial

  • Que d’un raccourci !
    On n’en finit … jamais d’épiloguer sur la galère que la Société nationale d’eau et électricité fait subir aux pauvres et impuissants abonnés. Il n’y a pas un jour ou une nuit sans que la JIRAMA fasse la sienne. D’après les constats quotidiens de tous, les délestages et les coupures se durcissent au fil du temps. Sur le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA), c’est le gala ininterrompu des coupes et des arrêts des machines et appareils ménagers. Ampoules, frigos et autres machines délicates risquent fort d’être endommagées. Au beau milieu du souper, en pleine concentration d’une séance de film, en plein travail dans les ateliers de soudure, en pleine coupe de cheveux ou brushing dans les salons de coiffure, en pleine concentration d’un travail de connexion dans un cybercafé, etc. les coupures intempestives du courant gâchent tout ! La vie quotidienne, de jour comme de nuit, des usagers de la JIRAMA…

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