Société

Deuxième ajournement. Le concours d'entrée en classe de seconde pour l'enseignement général et en première année pour l'enseignement technique au sein de l'école de l'Armée nationale (SEMIPI) vient à nouveau d'être reporté. Prévue se tenir d'abord au mois d'août et ensuite le 21 septembre, la session aura finalement lieu du 28 septembre au 7 octobre prochain auprès des Régiments militaires (RM) 1, 2, 3, 4, 5, 7 ainsi qu'au 2/RM5 Taolagnaro et 3/RM5 Morondava. Selon le communiqué de l'Etat-major de l'Armée en date du 27 août dernier, ce report d'une semaine s'explique par l'ajournement de l'examen du BEPC, lequel se…
Sauf imprévu, un portier du palais de justice à Anosy devra être déféré au Parquet, soit ce jour, soit mardi prochain. Motif : il devra répondre de ses actes devant le procureur pour son incrimination pour viol et séquestration. La victime : une jeune fille de 17 ans, qui est donc finalement saine et sauve après l’annonce de la brève période de sa séquestration, mais qui présente surtout une instabilité psychique. C’est du moins le développement de cette affaire quelques heures après son arrestation à Sabotsy-Namehana où le suspect a ramené sa victime dans cette localité où elle réside, une…

Examen du CEPE - Ruée vers les centres d’écrit

Publié le dimanche, 30 août 2020
 Un grand soulagement pour les parents et les élèves. Les convocations des candidats aux examens du CEPE ont été distribuées vendredi dernier pour la majorité des écoles privées dans la Circonscription scolaire (CISCO) d’Antananarivo ville. D’après les parents, ils n’ont aucun problème à acquérir les convocations bien que les frais de scolarité ne soient pas encore payés. Dès hier, les parents se sont rués vers les centres d’écrit pour vérifier le nom et le numéro de la salle d’examen de leur progéniture et ils l’auront encore jusqu’à cet après-midi pour le faire.
Trois décès ont été signalés par le Professeur Vololontiana Marie Hanta Danielle, porte-parole du Centre de commandement opérationnel (CCO) - Covid-19, samedi dernier. L’un de ces patients morts du coronavirus a suivi son traitement au Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Andrainjato. D’après les informations, il s’agit d’un prisonnier âgé d’une vingtaine d’années, incarcéré au sein de l’établissement pénitentiaire d’Ankazondrano Fianarantsoa. « Il a présenté une crise d’asthme en prison il y a une semaine de cela. Les agents pénitentiaires l’ont ainsi transféré à l’hôpital de Tambohobe Fianarantsoa pour cette maladie. Son état de santé s’est par la suite dégradé.
Le 20 août dernier, une station-service Jovena du quartier d'Andakabe, à Morondava, fut le théâtre d'un braquage. Depuis, l'enquête de la Police a débouché sur l'arrestation de deux suspects qui, par la suite, ont été placés sous mandat de dépôt. Mais l'affaire ne s'est pas arrêtée là. La poursuite de l'investigation des Forces de l'ordre a conduit à une révélation. Bien que l'information soit officieuse, et en attendant que tout soit confirmé, l'arme de poing que le gang a utilisée durant son forfait, appartiendrait à un membre de ces Forces de sécurité.
Dans le Sud, les enfants albinos ne peuvent plus vivre en paix comme leurs camarades à pigmentations ordinaires. Ils sont constamment exposés au risque d’être enlevés, notamment depuis ces deux dernières semaines. Ce qui a récemment fait sortir de sa réserve l’un des chefs de « Dinabe » au sein des collectivités locales. A ce leader de groupe d’auto-défense locale de faire alors une mini-révélation à propos de la filière. D’après ses dires, et ce, sur la base d’un renseignement, le réseau aurait établi sa base dans la ville de Sakaraha. « Tous les petits innocents qui ont été enlevés…
Toutes les places réservées. La majorité des coopératives de transport national desservant Antananarivo et Toamasina affichent un guichet fermé. Ceci dès la première journée de réouverture de la RN 2, annoncée par le Président de la République Andry Rajoelina. Parmi ces voyageurs figurent des vacanciers, lesquels ont attendu depuis des semaines la réouverture des frontières pour humer le vent marin. La ruée vers la mer semble inévitable dans les prochains jours pour ceux qui en ont les moyens. « Nous nous étouffons à Antananarivo depuis ces 5 derniers mois. L’évasion, le changement d’air et les vacances au bord de la…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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