Société

318 540 242 ariary. Tel est le montant total actuel des chèques non encaissés auprès de MAMA ou Mutuelle d’Assurances Malagasy. D’après les explications d’un responsable, 336 chèques en guise de dédommagement n’ont pas été récupérés par leurs clients entre l’année 2013 et 2020. Et cette somme appartient plus précisément aux personnes ayant présenté un dossier complet suite à des incidents requérant l’intervention de cette compagnie d’assurance. « Nous ne sommes pas en mesure d’identifier les véritables raisons pour que ces chèque ne soient pas récupérés. Toutefois, il est possible que l’information concernant l’aboutissement de leur dossier ne soit pas…
Une mère de famille de 30 ans a été interpellée par la Brigade criminelle pour le meurtre de ses filles de 7 et de 10 ans au cours du week-end dernier. Son arrestation s’est produite à sa sortie même de l’hôpital HJRA, hier. Après avoir été soumise à une enquête de la Police, la concernée fut déférée au Parquet, puis finalement placée sous mandat de dépôt à la prison d’Antanimora en début de soirée, hier. Parallèlement à cela, les victimes ont été inhumées le même jour. Toutefois, aucun autre complément d’information n’a été divulgué là-dessus, du moins du côté de…
Innommable ! C’est ce qu’on peut qualifier du geste d’une mère de famille d’une trentaine d’années. Les faits se sont déroulés la nuit du vendredi dernier dans le quartier d’Ankasina aux 67ha. Le lendemain, sur le lit d’une chambre d’hôtel de ce quartier, les corps sans vie de deux fillettes de 9 et de 12 ans entouraient encore celui de leur maman, qui était dans le coma lorsque les secours sont intervenus pour les sauver. D’après une information, les petites mouraient à la suite d’un empoisonnement, probablement avec de l’insecticide. A l’index : leur propre maman.
Deux jours d’activités pour la préservation de l’environnement. Dans le cadre de la 11ème édition du projet « Tagnamaro », initié par le ministère de la Communication et de la Culture (MCC), des centaines de collaborateurs issus de différents services de ladite entité se sont mobilisés ces deux derniers jours. Le premier projet « Tagnamaro » de cette nouvelle année 2020 est marqué par un reboisement, l’événement qui coïncide avec le lancement national des opérations dans le cadre du reboisement 2020. Samedi dernier, plus de 500 personnes issues du ministère de la Communication et de Culture, venant d’Antananarivo, se sont…
Parmi les 8 500 nouveaux recrus au titre de l’année 2019. Plus de 500 enseignants recrutés en tant que fonctionnaires viennent de recevoir officiellement leurs contrats de travail, samedi dernier à Mahamasina. Il s’agit de la seconde vague, après la première composée de 700 enseignants dont les contrats de travail leur ont été remis la fin de l’année dernière. La plupart d’entre ces nouveaux recrus sont des sortants du Centre régional de l’institut national de formation pédagogique (CRINFP) Analamanga et de l’Ecole normale supérieure (ENS).
Le secteur privé en phase avec le projet gouvernemental. Le groupe Sodiat a marqué sa présence durant le lancement de cette campagne à Firarazana. Le Président directeur général, Mamy Ravatomanga, a d'ailleurs témoigné son enthousiasme pour ce reboisement. Outre le fait qu'il a mis en terre les pépinières, le PDG a mobilisé 150 employés pour participer activement à la cause. « Je suis tellement heureuse de participer à ce reboisement. Vu les enjeux climatiques auxquels nous faisons face actuellement, il est grand temps de penser à l'avenir de la génération future.
Chaque élève ayant rempli les critères requis pourra passer l’examen officiel du CEPE, BEPC ou Baccalauréat. Pourtant, des écoles privées à Antananarivo et dans les autres régions bafouent ce droit, si l’on tient compte des plaintes reçues auprès du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et professionnel (MENETP) ainsi que par l’Office national de l’Enseignement privé (ONEP). « Certains établissements imposent d’autres critères à leurs élèves inscrits aux examens officiels. Ceux qui obtiennent une moyenne inférieure à 10/20 sont écartés à toute participation. Il en est de même pour ceux dont les parents n’ont pas pu régler à temps…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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