Société

Le secteur privé en phase avec le projet gouvernemental. Le groupe Sodiat a marqué sa présence durant le lancement de cette campagne à Firarazana. Le Président directeur général, Mamy Ravatomanga, a d'ailleurs témoigné son enthousiasme pour ce reboisement. Outre le fait qu'il a mis en terre les pépinières, le PDG a mobilisé 150 employés pour participer activement à la cause. « Je suis tellement heureuse de participer à ce reboisement. Vu les enjeux climatiques auxquels nous faisons face actuellement, il est grand temps de penser à l'avenir de la génération future.
Chaque élève ayant rempli les critères requis pourra passer l’examen officiel du CEPE, BEPC ou Baccalauréat. Pourtant, des écoles privées à Antananarivo et dans les autres régions bafouent ce droit, si l’on tient compte des plaintes reçues auprès du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et professionnel (MENETP) ainsi que par l’Office national de l’Enseignement privé (ONEP). « Certains établissements imposent d’autres critères à leurs élèves inscrits aux examens officiels. Ceux qui obtiennent une moyenne inférieure à 10/20 sont écartés à toute participation. Il en est de même pour ceux dont les parents n’ont pas pu régler à temps…
Demande de démission du ministre Blanche Nirina Richard !Tel est l’un des messages que l’on peut lire affichés sur des banderoles à l’esplanade de l’Université d’Antananarivo dans le cadre de la grève du Syndicat des enseignants- chercheurs et des chercheurs-enseignants (SECES) ces derniers jours. Au final, c’est la principale revendication que l’on retient de cette longue période de grève. Un message, à forte connotation politique, qui n’étonne pas une grande partie de l’opinion publique. En effet, beaucoup soupçonnaient déjà que les revendications avaient une autre finalité que celle de la question du paiement des indemnités, des heures supplémentaires et autres.…
L'affaire s'est produite le 15 janvier dernier à Antohomadinika. Elle concerne les aberrations d'un homme, accusé à la fois d'usurpation de fonction et de titre d'un gendarme mais surtout aussi de tentative de viol. La victime : sa propre belle-mère qui est paralysée à la suite d'un accident vasculaire cérébral (AVC). La plainte a émané de l'épouse du suspect. Et elle ne s'était pas adressée à n'importe qui. Elle s'est tournée directement au commandant de la circonscription régionale de gendarmerie d'Antananarivo.
Quoique le Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs enseignants (SECES), soit encore en grève, les dates des concours d’entrée en première année ne sont pas reportées, avance le président du SECES, le professeur Sammy Grégoire. Pour la Faculté des lettres, les concours se tiendront le 28 janvier, tandis que ceux du Faculté d’économie, de gestion et de sociologie aura lieu le 26 février prochain. Ainsi, des examens semestriels se tiennent à Ankatso depuis le début de cette semaine.
Coup de filet des limiers de l’enquête spécialisée, vendredi dernier à Behoririka : deux Chinois et une femme malagasy sont tombés dans le piège. Le lundi 13 janvier dernier, les trois ont été placés sous mandat de dépôt à Antanimora. Tout a commencé le 9 janvier 2020 lorsqu’une Malagasy était sur le point de prendre le vol à destination de Sri Lanka, à l’aéroport d’Ivato. Puisque le comportement de la dame a suscité la méfiance chez les policiers de l’aéroport, ils l’ont alors confiée aux mains de leurs collègues de l’enquête spécialisée pour le besoin de l’enquête.
« Mon mari ne me laisse pas travailler, ni dehors ni à domicile. Il me répète souvent qu’une épouse et mère doit se dévouer à sa famille et que c’est son rôle de subvenir à nos besoins. Pourtant, il a du mal à assumer ce rôle, vu son salaire. Quand je lui demande de l’argent pour les besoins supplémentaires, par exemple pour l’achat de vêtements et accessoires pour les enfants, il s’énerve et me crie dessus, au point de me dénigrer et de m’insulter à haute voix », nous confie Sitraka R., mère de famille résidant à Itaosy.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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