Société

Des coups de feu ont été entendus tôt hier matin, à Toliara. En effet, il s'agissait d'une opération policière musclée en vue de contrecarrer les actions néfastes menées par des malfaiteurs armés, et qui s'acharnaient sur un piéton à Tsongobory. Ils étaient 5 à perpétrer cette agression mais deux d'entre eux ont finalement trouvé la mort à l'issue de leurs affrontements avec la Police. Ce qui fait que les trois autres bandits rescapés à ces échanges de tirs, ont réussi à se faire la belle, et sont activement recherchés.
La présidente de la délégation spéciale (PDS) de la Commune urbaine d’Antananarivo, Harilala Ramanantsoa, a rencontré, mardi dernier, les propriétaires des box de brocante à Ambodivona, Andravoahangy. L’objectif est de mettre en place une nouvelle organisation au niveau du marché, ainsi que l'assainissement de leurs lieux d'activité. Des aménagements ont été apportés, et bien évidemment avec le consentement des commerçants.
Des signes alarmants. Bon nombre d’habitants font actuellement face à des problèmes de santé mentale. Ces derniers se manifestent par de l’hypersensibilité, la frustration constante, d’autres maladies comme le trouble du sommeil ou le diabète, etc. Certaines personnes parlent toutes seules dans les rues, d’autres n’entendent même pas les klaxons de voitures. Beaucoup expriment leurs frustrations par des méchancetés gratuites et insultes en public ou sur les réseaux sociaux. Cette situation pourrait s’expliquer non seulement par la pauvreté mais aussi les problèmes sociaux actuels, conduisant à la dépression.
Une sévère mise en garde a été émise contre la propagation de fausses nouvelles qui sèment l’émoi et salissent la réputation de Toamasina. Selon une information diffusée sur les réseaux sociaux, l’insécurité dans la ville du port aurait causé un « génocide » ayant tué 227 individus en août et septembre. De ces décès d’origine criminelle, 128 auraient été enregistrés en août et 99 en septembre. Selon la source, des bandits tombés sous les balles des Forces de l’ordre sont comptés parmi les victimes. Pas plus qu’il n’y a pas d’endroits entièrement sûrs dans le monde, la capitale économique de…
La réfection des rues dans la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) continue. Depuis lundi, plusieurs engins lourds ont été mobilisés afin d’accélérer les travaux. Ces derniers concernent l’axe menant vers le croisement Betongolo jusqu'à Andravoahangy Ambony, d’Ampasika jusqu' à Anosipatrana et Ankorondrano Ibis jusqu'au Rond-point La City, Ivandry. Des travaux sont aussi en cours sur les axes Antsakaviro vers Bel'Air et Isotry. Le tronçon situé à Ankorondrano a déjà commencé lundi dernier, tandis que le croisement situé à Ampasika jusqu'à Anosipatrana a commencé hier. Ces axes font partie des tronçons de route qui ont suscité beaucoup de mécontentement de la part…
L’hiver n’a pas encore dit son dernier mot. Selon le média Cyclone Océan Indien, la situation dans le bassin de l'océan Indien est caractérisée par la présence de la tempête tropicale Ancha, représentante de l'été, et de l'autre, un front froid qui ne se laisse pas narguer par une tempête tropicale modérée. Le temps actuel est la conséquence d’un changement climatique. En attendant l'épilogue final, l'hiver est loin d'avoir jeté l'éponge. A l'arrière du système frontal, les températures chutent. Ce coup de fraîcheur sera bien marqué sur le Sud, le Sud-est et les hauts plateaux de Madagascar. Et ces derniers…
A Madagascar, l’accès à l’électricité reste un défi majeur. Actuellement, seulement 35,5 % de la population en bénéficie, avec un écart significatif entre les zones rurales (15,1 %) et les zones urbaines (60 %), selon les données de 2022. Toutefois, une situation encore plus préoccupante concerne l'accès à des sources d'énergie de cuisson propre. D'après le Dr Edouard Christophe, représentant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), hier à Ivato, lors du lancement des travaux d'élaboration de la politique nationale pour la cuisson propre à Madagascar, « 90 % des Malagasy dépendent encore du bois pour cuisiner »,…

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  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
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  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs
  • Perquisitions abusives et musclées - Les Forces de l’ordre invoquent la sûreté de l’Etat
  • RN7 en chantier  - Le calvaire jusqu’à la fin des pluies
  • A défaut d’armes et d’argent cachés - Pillage et vandalisme à Mantasoa
  • Lutte contre la corruption - L’ENMG plaide pour une transmission rapide des preuves
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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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