Publié dans Société

Faux et usage de faux et Arnaque à Toamasina - Deux employés d'une agence de microfinance recherchés

Publié le mercredi, 04 novembre 2020

Actuellement, le commissariat de police de Tanambao II à Toamasina, lance un avis de recherche sur deux employés d'une agence de microfinance  de cette localité. Il s'agit de Haingonirina serge Aimé Randriarimanana, chef d'agence, mais aussi de Natacha Randrianomenjanahary, cette jeune caissière au sein de la première agence  de microfinance. Plusieurs accusations present sur les fugitifs. Mentionnons entre autres un abus de confiance, du vol mais aussi de faux et usage de faux. Les forces de l'ordre préviennent désormais que tous ceux qui les hébergent ou  les cachent, sont considérés comme des complices et sont donc passibles d'une poursuite, selon la loi en vigueur. 

Pour le moment, il n'y a encore aucune nouvelle  des suspects en cavale. Ce qui pousse la police à exhorter le public à la contacter sur le 034.05.531.30 si jamais il détient un quelconque renseignement sur les concernés.

En l'espace d'une semaine, la ville de Toamasina connaît deux affaires similaires. Souvenons que l'arnaque à l'échelle du pays dont on incrimine un couple mixte, actuellement en cavale aussi,  a pris racine dans cette cite portuaire de l'Est. Mais à la difference des deux employés d'agence de microfinance, le couple en question, un Indien et une Malagasy sont recherchés pour escroquerie dont des grossistes de certaines villes du pays, en sont  les victimes.  Ces dernières n'ont pas cessé de passer leurs commandes en produits de première nécessité don't notamment du riz auprès de  la petite entreprise d'importation gérée par le couple. Or, cette société en question a cessé d'exister depuis le début de cette année, pour une raison non élucidée, alors que les suspects ont continué  de recevoir les commandes, donc d'empocher d'énormes sommes d'argent, avant qu'il n'ait pris la fuite à l'étranger. Les derniers faits en date remonte la semaine passée à Antsirabe où la police a émis un mandat de recherche à l'encontre des fuyards.

Franck R.

Fil infos

  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff