Publié dans Société

Equipements médicaux et de laboratoires - L'IEMédical mise sur les produits de marque

Publié le dimanche, 23 juin 2019

Fondée officiellement en 2008. La société IEMédical se spécialise dans la fabrication et la distribution d'équipements médicaux et de laboratoires. Puisque le moins cher peut devenir très cher s'il n'est pas durable, le défi de ladite société de distribution étant de fournir des produits de marque, ayant obtenu des certifications. Elle se positionne toutefois comme la référence qualité-prix. « Percher sur le marché malagasy s'avère encore difficile, avec le pullulement des produits chinois. Les petits laboratoires préfèrent par exemple acheter ces produits moins chers, sans garantie, en se référant aux moyens de leurs clients et cibles.

Les réactifs de mauvaise qualité pourraient pourtant fausser les résultats des analyses et induire en erreur le traitement des patients concernés. Raison pour laquelle notre société mise sur les produits de marque, malgré un prix plus cher. La santé requiert plus d'exigence et de professionnalisme puisque nous parlons de la vie des gens », argue  Valéria Ralimalala, responsable marketing de ladite société localisée à Alarobia Amboniloha. Outre les produits certifiés, celle-ci assure également un service technique complet, dont une formation, une garantie, un service après-vente et un contrat d'entretien aux clients. Ces derniers se composent d'organismes internationaux, cliniques, cabinets dentaires et grands hôpitaux ou encore les laboratoires et particuliers.

« Cypress Diagnostics », nouveau partenaire

Présente dans 140 pays à travers le monde. La marque  « Cypress Diagnostics » se joint à l'IEMédical pour l'approvisionnement en équipements et consommables de laboratoire, y compris les réactifs. « Cette marque belge propose des réactifs fiables puisqu'un seul test suffit pour vérifier leur efficacité. Il n'est plus nécessaire de faire plusieurs tests pour la vérification et contre-vérification. Les laboratoires pourront ainsi en tirer profit, au lieu d'acheter un test de 500 ariary nécessitant plusieurs contre-vérifications, dont plus de dépenses », explique notre interlocutrice. L'officialisation de ce nouveau partenariat, faisant suite à la célébration du 10ème anniversaire de ladite société, s'est tenue le 18 juin dernier. Une séance de formation avec son équipe interne s'est tenue dans la matinée, suivie par une réunion d'information avec les laboratoires d'analyses, sous le thème « Les outils et solutions qui vous permettent de délivrer des résultats de diagnostics clairs et précis ». D'autres partenariats sont en cours de finalisation.

Patricia Ramavonirina

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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