Super User

Super User

Le suspense était à son comble lors de la demi-finale de la saison 13 de l'émission « Le meilleur pâtissier », diffusée sur la chaîne de télévision M6. Tsiory Razafinimanana, 36 ans, auditeur informatique et pâtissier amateur autodidacte, a su renverser la situation après une première partie des demi-finales difficile. Alors que ses concurrents, José, Benjamin et Timothée, avaient chacun décroché un top lors de la première partie, Tsiory s'est retrouvé en difficulté, n'ayant pas réussi à marquer de points. Cependant, la seconde partie des demi-finales, diffusée hier soir, a été marquée par une performance éclatante du candidat malagasy.

Les concurrents ont été confrontés à trois épreuves, dont l'ultime enjeu était de cumuler deux tops pour accéder à la finale. Tsiory a brillamment relevé le défi dès l'épreuve créative, où il a présenté une boule de neige inspirée de la Laponie, séduisant ainsi le jury et remportant un top. La tension a continué à monter d’un cran avec l'épreuve « surprise », où Tsiory a de nouveau impressionné le jury, lui permettant ainsi de décrocher un deuxième top. Grâce à cette performance, il a validé son ticket pour la finale, reléguant Benjamin à l'élimination.

Les finalistes de cette saison 13 sont désormais Tsiory, José et Timothée, prêts à s'affronter pour le titre tant convoité. Le thème des demi-finales était placé sous le signe du Portugal, un challenge que Tsiory a su relever avec brio. Son talent et sa créativité ont su conquérir les papilles des membres du jury, lui permettant de se distinguer au sein d'une compétition de haut niveau. En parallèle de sa passion pour la pâtisserie, Tsiory est également professeur de swing, ce qui apporte une touche artistique à son parcours. La finale, qui promet d'être riche en émotions et en délices sucrés, sera diffusée sur M6 ce jeudi 9 janvier. Tsiory, armé de son expérience et de sa créativité, tentera de remporter le titre de meilleur pâtissier. Les amateurs de pâtisserie et les fans de cette émission attendent avec impatience de découvrir les réalisations des finalistes et de voir qui succédera au titre. Reste à savoir si notre candidat saura transformer son rêve en réalité et s'imposer dans cette ultime épreuve.

Si.R

La Fédération malagasy de football (FMF) est en pleine ébullition. La nomination du futur sélectionneur de l’équipe nationale des Barea est imminente, mais rien n’est encore officialisé. « Cela reste une décision cruciale que nous prenons très au sérieux », a déclaré le président de la FMF, Alfred Randriamanampisoa. 
Cinq techniciens sont actuellement en lice pour ce poste prestigieux, mais leurs noms demeurent un mystère. Le président de la FMF s’est refusé de tout commentaire sur l’identité des candidats, notamment sur la rumeur persistante concernant Tony Da Silva, entraîneur portugais. « Aucune nomination n’a encore été faite. Nous examinons chaque détail pour ne pas nous tromper dans notre choix », a-t-il affirmé, soulignant l’importance capitale de cette décision pour l’avenir des Barea. 
La FMF travaille en étroite collaboration avec une commission ad hoc composée de représentants de l’Etat, du ministère des Sports et des sponsors pour finaliser cette nomination. « C’est une affaire nationale, pas seulement celle de la FMF », a rappelé Alfred Randriamanampisoa. Les médias jouent également un rôle essentiel dans cette démarche, selon lui. 
Le futur sélectionneur bénéficiera d’un soutien financier tripartite assuré par la FMF, l’Etat et les sponsors, un partenariat inédit visant à garantir des conditions optimales. 
Alors que le premier match de qualification pour la Coupe du monde approche à grands pas en mars, la pression est palpable. Actuellement, les Barea occupent la troisième place du groupe I avec 7 points, derrière le Ghana et les Comores (9 points chacun). Le vainqueur du groupe se qualifiera directement pour le tournoi mondial, tandis que les quatre meilleurs deuxièmes accéderont aux barrages continentaux. 
Pour maximiser les chances, la FMF espère voir les Barea  jouer au stade Barea parmi les six matchs. Des démarches sont en cours pour obtenir l’homologation des infrastructures nationales par la CAF, avec l’appui des instructeurs locaux certifiés. 
La qualification pour la Coupe du monde est un objectif prioritaire pour le président de la FMF. « Nous ne ménagerons aucun effort pour fournir à l’équipe nationale les moyens nécessaires à cette réalisation », a-t-il affirmé. 
Elias Fanomezantsoa

L'économie des entreprises formelles a connu un ralentissement notable au dernier trimestre 2024, loin des prévisions optimistes émises au début de l'année. La dynamique des ventes a considérablement chuté - avec un solde d'opinion depuis l’enquête de conjoncture économique effectuée par la Banque centrale - de -4,2 % contre +27,8 % précédemment. Ce recul a été particulièrement sévère dans les secteurs primaire et secondaire, où les ventes ont chuté respectivement de –20,7 % et –45,8 %. Par contraste, le secteur tertiaire s’est montré plus résilient, affichant une légère amélioration avec un solde de +17,4 %. Parmi les entreprises les plus impactées, les petites structures ont ressenti les effets du ralentissement avec un solde d’opinion de –15,6 %, tandis que les grandes entreprises ont mieux résisté, affichant une légère hausse de +3,6 %. L’une des principales raisons de ce repli généralisé réside dans la baisse des commandes, particulièrement marquée dans le secteur secondaire (-21,4 %). Toutefois, les secteurs primaire et tertiaire ont montré des signes de reprise, enregistrant des hausses de commandes respectives de +4,9 % et +14,8 %. Un chef d’entreprise opérant dans le secteur manufacturier confie : « La chute des commandes nous a contraints à revoir nos objectifs de production. Le coût des matières premières a explosé, nous forçant à répercuter ces hausses sur nos prix de vente, ce qui n’est pas sans conséquence sur la compétitivité ».
Exacerbant
Les coûts d’exploitation hors énergie, qui n’ont cessé d’augmenter, ont touché de plein fouet les entreprises, en particulier celles du secteur primaire. En effet, 91,7 % des entreprises dans ce domaine ont rapporté une augmentation de leurs coûts. Dans ce contexte, les bénéfices ont diminué, exacerbant une situation déjà tendue. Malgré cela, les investissements ont progressé, notamment dans les secteurs primaire et tertiaire. Cependant, les petites entreprises semblent moins enclines à investir en raison de la contraction de leurs marges. « Nous faisons face à une pression croissante sur nos coûts d’exploitation, mais il est impératif de continuer à investir pour rester compétitifs. Malheureusement, cela devient de plus en plus difficile sans une réelle stabilité économique », témoigne un entrepreneur dans le domaine agricole.
Face à ce contexte incertain, les perspectives sont mitigées, avec des entreprises qui espèrent une reprise des ventes et des commandes, mais qui restent prudentes quant à l’évolution de leurs coûts et de leur rentabilité. En effet, l'inquiétude des chefs d'entreprise ne s'arrête pas à la baisse des ventes et des commandes. En parallèle, les coûts unitaires ont également poursuivi leur progression, affectant près de la moitié des entreprises (+47,4 %). Cette hausse, couplée à celle des coûts d'exploitation hors énergie, crée une pression supplémentaire sur les marges déjà fragiles des entreprises, en particulier pour les petites structures qui peinent à répercuter ces augmentations sur leurs clients, sans risquer de perdre en termes de compétitivité.






L’année 2025 s’annonce cruciale, mais peu chargée, pour les Barea de Madagascar. Non qualifiée pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se déroulera au Maroc à partir du 21 décembre 2025, la sélection malgache se concentrera sur les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Un défi de taille pour une équipe qui peine à retrouver son éclat d’antan.  

 

Depuis trois jours, la Gendarmerie de Vohémar est sur les traces d'Y.G.R. En effet, ce jeune étudiant de l'université d'Ankatso demeure introuvable depuis cette date alors qu'il est poursuivi pour injure publique à connotation diffamatoire. Sa victime : une personnalité à la Primature, sans que la source ne donne plus de détails.

Les faits ne se sont pas déroulés sur la voie publique, ni dans un quelconque bureau administratif. L'injure adressée à la victime se serait plutôt passé à travers un support informatique, autrement dit sur les réseaux sociaux, selon toujours l'information.

 

L’année jubilaire de l'Eglise catholique ne prendra fin qu’en décembre 2025. Le pèlerinage est un événement marquant cette célébration. Dans le cadre des vœux du Nouvel an, le Nonce apostolique de Madagascar, Monseigneur Thomasz Grysa, a annoncé dans une vidéo la tenue d’un pèlerinage national. Il se tiendra le 18 mai prochain à l'Ilot de la Vierge, situé à Ampefy. Cet événement religieux sera organisé pour ceux qui ne pourront pas se rendre au pèlerinage à Rome (Italie). Dans de cette vidéo, il a également précisé que ceux qui ne pourront pas se rendre à Ampefy auront la possibilité de se rendre à la nonciature apostolique du Saint-Siège, située à Villa Roma, Ivandry,  qui aura lieu le 20 mai, à l'occasion de la fête du Pape. Cet évènement sera marqué par une sainte messe. 

 

Le calendrier officiel des jours fériés pour l’année 2025 à Madagascar compte dix jours fériés habituels. Toutefois, seuls sept d’entre eux seront chômés et payés pour les travailleurs. Cela est conforme à la législation en vigueur. Le premier jour férié de l’année, le Nouvel an, a été célébré avant-hier. Les prochains jours fériés et chômés incluront le 1er mai, Fête du travail, un jeudi.

%PM, %02 %948 %2025 %21:%Jan

Attentes et actions !

Le Nouvel an pointe son nez. L’année 2025, la bienvenue, débarque de nulle part. Qu’elle apporte dans son escarcelle, si le Bon Dieu veuille bien, paix et sérénité, bonheur et prospérité !

« Attendre et agir ». Voilà les deux mots magiques qu’il faille retenir en ce début d’année. Suite au discours de fin d’année du Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina, les attentes pour une meilleure condition de vie de tous les Malagasy sonnent fortes. Déterminé à prendre à bras-le-corps tous les  dispositifs nécessaires pouvant redresser le pays, le Président de la République annonce des mesures drastiques. 

Le ministère de l’industrialisation et du commerce (MIC) a récemment organisé sa première édition des portes ouvertes, le mois dernier à Ambohidahy. Cet événement a rencontré un franc succès, attirant de nombreux visiteurs issus de divers horizons. Quarante-trois stands étaient installés, offrant aux participants un aperçu complet des services et activités proposés par le MIC, les agences sous sa tutelle ainsi que ses partenaires. Cette initiative visait à rapprocher le ministère du grand public, en facilitant l’accès à l’information et en renforçant les échanges entre les différentes parties prenantes. « J’ai découvert des programmes qui pourraient grandement bénéficier à ma petite entreprise. 

Après une semaine de congé, le Musée de la photographie, situé à Andohalo, est de nouveau ouvert au public, invitant ainsi les passionnés d'art et de culture à découvrir une programmation riche et variée. L’exposition baptisée « Lutteurs bara » se démarque parmi les autres, offrant un regard unique sur la pratique ancestrale de la lutte à Madagascar. Cette exposition est une extension de « Voyage en pays bara et vezo », et elle met en avant le travail de Jacques Faublée, ethnologue et photographe (1912-2003), dont les œuvres saisissantes plongent les visiteurs au cœur de cette tradition. 

 

Fil infos

  • Fête nationale - Le Président Rajoelina pense aux plus vulnérables 
  • Disparition d'un navire dans l'Ouest - Le sort de ses 19 passagers inconnu
  • Fête nationale - LET 410 pour l’armée, bus électriques pour la population
  • Société JIRAMA - Le Président dénonce des vols et sabotages
  • Décès de 20 personnes lors d'un anniversaire - L'acte criminel confirmé ! 
  • ACTU-BREVES
  • Sénat – Exécutif - Une communication optimum entre les deux institutions réclamée par les sénateurs
  • Intoxication alimentaire ou empoisonnement à Ambohimalaza - Le traiteur placé en garde à vue
  • Lutte contre la corruption - Le sénateur Ndremanjary Jean André plaide pour la fin des immunités  
  • Ntsay Christian - « Il faut dénoncer toute forme de dérive ! »

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Enfin !
    De la lumière ! Qu’importe jusqu’à quand ! Ne soyons pas trop grincheux ni trop hargneux ou d’éternels insatisfaits. Les délestages seront réduits de 6 heures à 20 heures. C’est déjà ça ! Sur le plateau de la Télévision nationale (TVM), le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina annonce dans la soirée de jeudi dernier la réduction notable des délestages sur la zone interconnectée (RIA) mais aussi à Mahajanga et à Antsiranana. A l’issue d’une réunion du locataire d’Iavoloha, au Palais, avec les responsables dirigeants de la Société nationale qui ont pris l’engagement à condition qu’on augmente la quantité du carburant livré, ce que le Président Rajoelina concède. Et donc, la galère due aux coupures de courant intempestives devra cesser du moins limiter à des heures de la nuit, de 20 heures jusqu’à 6 heures. En personne, il l’a fait savoir pour rassurer la population. Enfin ! Toutefois, on croit…

A bout portant

AutoDiff