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« Egalité des droits et autonomisation pour toutes les femmes et jeunes filles ». Ce thème adopté pour la célébration de la Journée internationale des droits de la femme (JIDF) résume à la fois le combat et les actions entreprises en faveur de la gent féminine à Madagascar. « Le 8 mars est un jour de l’année pour réfléchir, renouveler son engagement et mener des actions concrètes. Ce n’est qu’une célébration mais chacun de nous, présent ici, sait que chaque femme et mère de famille mène au quotidien ses propres combats », a affirmé la Première dame Mialy Rajoelina, samedi dernier lors de son discours au Village touristique de Mahajanga. 

La semaine dernière, SIPEM Banque a tenu à Antsirabe la deuxième édition de son Forum Clients, un événement dédié aux entrepreneurs, en particulier les petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que les très petites entreprises (TPE) de la Région du Vakinankaratra. Cette rencontre s'inscrit dans une série d'initiatives visant à offrir aux acteurs économiques locaux un espace d'échanges, de partage d’expériences, et surtout d'accès à des solutions financières adaptées à leurs besoins. 

Un événement d'envergure. Du 16 au 18 mai prochain, Antananarivo sera le théâtre d’un événement sans précédent : les « Afromada Music Awards ». Cette première édition vise à rassembler des artistes venant de tout le continent africain, ainsi que ceux issus des diasporas européennes et américaines, tout en mettant en lumière la scène musicale locale malagasy. L’Arena Ivandry vibrera sous les performances d’une trentaine d’artistes, ce qui permettra de montrer les talents africains dans toute leur diversité. Choisie pour sa richesse culturelle, la Grande île est le lieu idéal pour cet événement qui ambitionne de promouvoir le pays sur la scène internationale. 

L’affaire de l’assassinat de Ranivoarivony Narindraniaina, connue sous le nom de Rasazy Narindra, maire de Mangataboahangy, continuent de retenir l’attention des observateurs. Dix-huit suspects dans cette affaire ont été déférés au Parquet du Tribunal d’Antananarivo, le vendredi 7 mars dernier. Lors d’une déclaration hier, la procureure de la République, Narindra Navalona Rakotoniaina, a mis en avant des éléments clés qui ont conduit au placement en détention provisoire des inculpés, en attendant leur procès.

L'Ordre national, symbole de reconnaissance et d'honneur, revêt une importance capitale dans la promotion des valeurs qui unissent une nation. Lors de la première réunion du Conseil de l’Ordre national de Madagascar, le Président Andry Rajoelina a clairement énoncé que « les médailles doivent être attribuées à ceux qui en sont réellement dignes ». Cela implique un processus rigoureux où le Conseil se doit de discerner les individus qui ont apporté une contribution tangible au développement et à la prospérité de Madagascar. En portant haut les couleurs de notre pays, ces personnes doivent incarner l'exemplarité et l'engagement envers les valeurs nationales. 

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ACTU-BREVES

Précieux G. Rajaofera, un pont interculturel entre Madagascar et l'Université du Sussex. 

Brillant boursier malagasy du prestigieux programme Chevening, Précieux G. Rajaofera, a franchi une nouvelle étape remarquable en devenant le premier ambassadeur interculturel malagasy de l'Université du Sussex. Dans ce rôle novateur, il collabore étroitement avec l'Université du Sussex pour transformer le campus en un véritable carrefour mondial de l'interculturalité. Sa vision est celle d'un lieu où la diversité est non seulement reconnue comme une valeur, mais aussi activement célébrée et vécue au quotidien. Un pilier de son action est la série « Réflexion interculturelle », un espace dynamique où les étudiants internationaux peuvent tisser des liens culturels solides et approfondir leur sentiment d'appartenance au sein de la communauté universitaire. Ces rencontres favorisent l'échange et le dialogue, renforçant l'esprit d'ouverture et de compréhension mutuelle. A travers son engagement et leadership, Précieux G. démontre un impact qui dépasse les frontières de Madagascar. Il est un véritable modèle d'ouverture et d'engagement global, contribuant à construire un avenir plus inclusif et connecté.

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ACTU-BREVES

Précieux G. Rajaofera, un pont interculturel entre Madagascar et l'Université du Sussex. 

Brillant boursier malagasy du prestigieux programme Chevening, Précieux G. Rajaofera, a franchi une nouvelle étape remarquable en devenant le premier ambassadeur interculturel malagasy de l'Université du Sussex. Dans ce rôle novateur, il collabore étroitement avec l'Université du Sussex pour transformer le campus en un véritable carrefour mondial de l'interculturalité. Sa vision est celle d'un lieu où la diversité est non seulement reconnue comme une valeur, mais aussi activement célébrée et vécue au quotidien. Un pilier de son action est la série « Réflexion interculturelle », un espace dynamique où les étudiants internationaux peuvent tisser des liens culturels solides et approfondir leur sentiment d'appartenance au sein de la communauté universitaire. Ces rencontres favorisent l'échange et le dialogue, renforçant l'esprit d'ouverture et de compréhension mutuelle. A travers son engagement et leadership, Précieux G. démontre un impact qui dépasse les frontières de Madagascar. Il est un véritable modèle d'ouverture et d'engagement global, contribuant à construire un avenir plus inclusif et connecté.

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la Une du 110325

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La une du 10 mars 2025

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Menace permanente

Question pour un champion « menace permanente ! ». Ou un énoncé pour les amateurs de mots croisés, des cruciverbistes, passionnés des exercices cérébraux, « menace permanente » pour 10 cases. Celui ou celle qui ambitionne d’avoir un corps sain et dynamique doit se soumettre à des activités physiques continues. Celui ou celle qui aspire à un esprit pointu et un cerveau vivace a intérêt faire des exercices faisant travailler les méninges au quotidien (lecture, mots croisés, sudoku, etc). La rouille atteint facilement et rapidement le cerveau inactif. « Qui veut aller loin, ménage sa monture » !

La réponse à ce jeu cérébral, vous le saviez déjà « INSECURITE ». C’est un problème permanent du monde notamment d’aujourd’hui. Aucun pays ou Etat pauvre ou riche, de Sud ou du Nord, d’Est en Ouest, ne peut prévaloir le luxe d’être épargné par la menace permanente liée à l’insécurité. Certes, il y a des nuances à relever entre « insécurité et insécurité » celle dans les pays nantis et celle dans les pays en difficulté d’ordre social et économique. Elle peut dépendre de la Région du  globe où l’on se trouve. Au Moyen-Orient ou Proche-Orient, en Afrique (proche du Sahel, subsaharienne, dans la région des grands lacs, etc). En Europe, aux Amériques, etc. Dans l’Océan Indien, etc.  A chaque Région correspond à peu près à son type d’insécurité.

Mais, il ne faut pas confondre « insécurité » et « situation de guerre » ! Un pays qui n’est pas en guerre pourrait être victime de grave insécurité. Un autre qui souffre des atrocités des conflits armés, pourrait également subir d’insécurité. La population vit ainsi sous la coupe de deux enfers !

Madagasikara, de par sa situation géographique, pays insulaire, n’a jamais connu de guerre.  Cela n’empêche pas que les malagasy souffrent des affres de l’insécurité récurrente. Mise à part la problématique de la misère contre laquelle le pays est confronté au quotidien, l’insécurité a pris ces derniers temps une ampleur compromettante et préoccupante. En ville tout comme en milieu rural, il n’y a pas un jour sans que la presse fasse état des actes sinon des délits alarmants. Panique en ville, psychose à la campagne ! Kidnappings, viols souvent suivis de meurtres à l’encontre des mineures, vols à main armée, braquage sur les routes nationales, etc. Les éléments des Forces armées ne pouvaient plus dissimuler leur limite pour ne pas avouer leur impuissance. A Toamasina, la capitale économique de Madagasikara, les bandits de grand chemin imposent leur loi. Ils tuent, dérobent et font main basse sur les biens de la population. A Mahajanga, la plus grande ville de destination, la population locale et les personnes de passage souffrent de la panique et de la psychose dues aux attaques brutales et meurtrières des malfrats. A Antananarivo, la capitale du pays et les environs immédiats, la recrudescence des actes de banditisme ont pris des allures terrifiantes. Les gendarmes et les policiers multiplient les contrôles et traquent les voyous jusqu’à sévir contre leurs vies. Mais, il reste encore beaucoup à faire. D’autres faits troublants comme les meurtres de Narindra Rasazy à Ambatofinandrahana et des coréens à Morararano Gare assombrirent davantage  le tableau.

Le combat s’annonce dur !

Ndrianaivo

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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